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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

jeudi 30 juillet 2015

Retour au sauna Le Différent (Bordeaux)


    (Alpha raconte)


Nous étions déjà venus dans ce club bordelais deux ans auparavant pour un délicieux trio avec une amie libertine locale (voir récit du 22 août 2012: "un trio FFH à Bordeaux"). Depuis, de mauvais échos nous étaient parvenus, avec également un changement de propriétaire, il semblait que l’ambiance du club n’était plus vraiment la même. Mais nous voulions en avoir le cœur net et pour cela, rien de tel que d’aller y voir nous-mêmes!!!

Chat échaudé craignant l’eau froide, nous optons pour un samedi soir, réservé aux couples – malgré nos principes, le risque de nous ennuyer en soirée couples est grand ! – en nous disant qu’au moins nous ne serons pas harcelés par des hordes de morts de faim… Et en effet, nous n’avons pas été harcelés du tout …

Coup de chance dès l’arrivée, une place de parking en or sur l’avenue à l’intersection de la ruelle du club ! Bon signe… La rue du club est une vieille ruelle en pavés du quartier des Chartrons, bordée d’anciens entrepôts de vin et d’immeubles d’habitation anciens pas très reluisants. Ce n’est probablement pas très engageant pour des débutants mais bon, nous ne sommes plus des jeunots, et en plus nous y sommes déjà venus auparavant.

L’entrée du club est très, très discrète : une porte entr’ouverte donnant sur un espace sombre derrière un portail de garage en métal… Aucune enseigne, si on ne le sait pas, on passe devant sans le voir. Dans la pénombre à droite, un petit guichet faiblement éclairé. Une femme brune nous aperçoit et nous dit qu’elle ouvre la porte blindée, à l’autre extrémité de cet espace. Nous entrons.

A l’intérieur il fait noir comme dans un four, j’aperçois à peine l’angle du bar éclairé par une lampe de chevet, où la jeune femme dépose nos serviettes et paréos contre espèces sonnantes et trébuchantes. Ma miss semble beaucoup plus à l’aise, elle doit avoir une vision de chat car elle se dirige d’un pas décidé vers les vestiaires alors que je ne vois même pas où je mets les pieds !

Nous traversons la zone lounge / bar – à petits pas en ce qui me concerne – tournons à gauche dans un couloir pas plus éclairé que le bar, puis encore à gauche où nous trouvons le vestiaire couples. Il n’y a personne, nous avons tout loisir de nous déshabiller, ranger nos affaires et nous accommoder à l’obscurité ambiante. Juste à temps car cet espace se remplit dès que nous avons terminé : deux ou trois autres couples viennent d’arriver.

Nous retournons au bar prendre un rafraîchissement, ça va mieux maintenant et je distingue des plateaux couverts de succulentes choses : brownies au chocolat, tarte au citron, tarte aux pommes, chamallows et fraises tagada…  Mmmm, pour l’instant l’ambiance nous paraît plutôt bonne !

Mais nous ne nous y attardons pas car nous avons envie de revisiter le club, je n’ai pour ma part que de vagues souvenirs des installations, et même pas de la partie humide. Le couloir du vestiaire mène d’abord sur des sanitaires avec, sur la gauche, un grand coin câlin équipé de miroirs puis un labyrinthe obscur avec, au centre, un grand coin câlin qui ferme à clef. Un peu plus loin, nous retrouvons la pièce où nous avions fait notre trio deux ans avant : celle du grand lit à barreaux avec la petite fenêtre (voir récit un trio HHF à Bordeaux). Au bout de ce couloir il y a encore deux coins câlins qui ferment, dont un équipé de glory holes avec de petits rideaux… Mmmm, il nous paraît intéressant celui-ci !

On tourne à droite et nous arrivons devant le grand rideau en plastique épais qui délimite la zone humide. Derrière celui-ci se trouvent le hammam (délicieuse odeur d’eucalyptus) et le jacuzzi en contrebas, nous y reviendrons tout à l’heure. Le sauna, lui, donne directement sur le couloir, juste avant un petit salon en osier où débouche un couloir noir venant des glory holes.

On continue un peu, nous passons une lourde porte et parvenons dans une autre partie du club, manifestement deux maisons différentes ont été réunies pour constituer cet ensemble. On tombe tout d’abord dans une sorte d’antichambre gothique comprenant deux fauteuils antiques, un écran vidéo et un recoin en pierre de taille fermé par une lourde grille rouillée. A l’intérieur, il y a juste la place de mettre une personne debout, un(e) soumis(e) en cage attaché(e) par des anneaux au mur pour y faire pénitence…

Nous passons une deuxième porte sur la droite et trouvons de nouveaux coins câlins. Il semble que cette partie du club soit plutôt dédiée aux pratiques spéciales, bisexualité et SM soft. Nous trouvons sur la gauche un coin à 5 glory holes, entouré d’un couloir obscur qui donne sur un 2ème grand coin câlin à miroirs. A droite du couloir, un petit donjon fermant par une grille comprend un matelas haut et des attaches fixées au mur. Sur la gauche en avançant dans le couloir, un grand coin câlin avec un ventilo (nous y reviendrons) puis des sanitaires à droite et la fameuse Citroën DS coquine dont l’intérieur a été remplacé par un grand matelas. Des vidéos gays surplombent la voiture. Enfin, au fond à gauche, on trouve un labyrinthe avec des matelas, entièrement plongé dans le noir total…

Il n’y a pas beaucoup d’ambiance en ce début de soirée, nous supposons que l’essentiel doit se passer dans le jacuzzi. Nous y retournons et le trouvons en effet rempli de couples, peut-être une douzaine en tout. Le bassin est en deux parties: la première, à la descente de l’escalier, comprend sur la droite un débordement et, en surplomb, un coin câlin avec un matelas. Un muret peu épais sépare la partie gauche de la deuxième partie du bassin, au fond, plus obscure.

Nous nous installons d’abord au milieu du bassin, il n’y a en effet plus de place pour s’asseoir sur les banquettes. Nous nous câlinons à deux tout en jetant des regards circulaires : aucune interaction, les couples sont deux par deux et se regardent presque en chiens de faïence ! On entend de vagues gémissements dans le bassin obscur du fond mais on ne peut rien voir à cause du muret. Finalement, nous parvenons à nous asseoir le dos à celui-ci lorsqu’un couple sort du bassin.

Nous tentons de caresser le dos d’une de nos voisines, elle se laisse faire mais ne nous donne aucun retour même visuel. Au bout d’un moment, je cesse, il n’y a manifestement pas de recherche d’interaction là non plus. Au bout d’un long moment de détente dans le bassin, nous finissons par sortir, il ne se passe toujours rien, c’est devenu pathétique les soirées couples, on se demande ce que ces gens sont venus faire là…

Nous retournons vers la partie SM / bisex… Toujours très peu de monde, nous optons pour le coin du ventilo. Miracle, il fonctionne ! Nous pouvons le régler sur 3 positions en fonction de la fraîcheur désirée, cool… Nous laissons la porte grande ouverte au cas où. Et nous commençons à nous câliner sur le matelas. J’entame un doux cunni sur ma chérie, elle aime toujours beaucoup cette caresse et cela la fait rapidement faire des vocalises susceptibles d’attirer des partenaires…. En effet, du monde passe et s’arrête même dans l’encoignure de la porte pour nous regarder, mais personne n’entre.

Nous nous mettons en 69 car ma Caresse a maintenant très envie de me sucer. Mmmm, un délice, j’adore sentir sa bouche humide sur mon gland gonflé et ma verge dure. Difficile de résister à un tel traitement… Une fois que je suis bien en forme, ma miss m’équipe de mon cockring en cuir noir qui enserre mes boules et la base de mon sexe, elle ajoute nos pinces japonaises sur mes tétons, excitation et durabilité de l’érection garanties ! Mais là, nous sommes sûrs de faire fuir les rares couples qui auraient eu de timides velléités de nous rejoindre !

Ma Caresse se retourne pour que je la prenne en levrette, notre position favorite. « Hummm, comme je te sens bien… » me dit-elle ! Avec le clito excité comme il l’est, elle ne tarde pas à jouir de son point G deux ou trois fois de suite, avant que je ne jouisse à mon tour, la queue fichée tout au fond de son vagin que j’inonde de grands jets de sperme chaud…

Mmmm, c’était encore une fois très bon, un peu dommage que personne ne nous ait rejoints mais bon, pas grave, nous prenons toujours autant de plaisir à deux. Nous retournons profiter du bar avant de repasser par le vestiaire et quitter les lieux. Franchement, les installations du club nous ont plu. L’ambiance du samedi soir est lose, comme partout ailleurs désormais quand il s’agit de soirées couples. Nous sommes cependant bien décidés à y revenir, mais seulement en mixte !

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