(Alpha raconte)
Nous étions déjà venus dans ce
club bordelais deux ans auparavant pour un délicieux trio avec une amie
libertine locale (voir récit du 22 août 2012: "un trio FFH à Bordeaux"). Depuis, de mauvais échos nous étaient parvenus, avec
également un changement de propriétaire, il semblait que l’ambiance du club
n’était plus vraiment la même. Mais nous voulions en avoir le cœur net et pour
cela, rien de tel que d’aller y voir nous-mêmes!!!
Chat échaudé craignant l’eau
froide, nous optons pour un samedi soir, réservé aux couples – malgré nos
principes, le risque de nous ennuyer en soirée couples est grand ! – en
nous disant qu’au moins nous ne serons pas harcelés par des hordes de morts de
faim… Et en effet, nous n’avons pas été harcelés du tout …
Coup de chance dès l’arrivée, une
place de parking en or sur l’avenue à l’intersection de la ruelle du
club ! Bon signe… La rue du club est une vieille ruelle en pavés du
quartier des Chartrons, bordée d’anciens entrepôts de vin et d’immeubles
d’habitation anciens pas très reluisants. Ce n’est probablement pas très
engageant pour des débutants mais bon, nous ne sommes plus des jeunots, et en
plus nous y sommes déjà venus auparavant.
L’entrée du club est très, très
discrète : une porte entr’ouverte donnant sur un espace sombre derrière un
portail de garage en métal… Aucune enseigne, si on ne le sait pas, on passe
devant sans le voir. Dans la pénombre à droite, un petit guichet faiblement
éclairé. Une femme brune nous aperçoit et nous dit qu’elle ouvre la porte
blindée, à l’autre extrémité de cet espace. Nous entrons.
A l’intérieur il fait noir comme
dans un four, j’aperçois à peine l’angle du bar éclairé par une lampe de
chevet, où la jeune femme dépose nos serviettes et paréos contre espèces
sonnantes et trébuchantes. Ma miss semble beaucoup plus à l’aise, elle doit
avoir une vision de chat car elle se dirige d’un pas décidé vers les vestiaires
alors que je ne vois même pas où je mets les pieds !
Nous traversons la zone lounge /
bar – à petits pas en ce qui me concerne – tournons à gauche dans un couloir
pas plus éclairé que le bar, puis encore à gauche où nous trouvons le vestiaire
couples. Il n’y a personne, nous avons tout loisir de nous déshabiller, ranger
nos affaires et nous accommoder à l’obscurité ambiante. Juste à temps car cet
espace se remplit dès que nous avons terminé : deux ou trois autres
couples viennent d’arriver.
Nous retournons au bar prendre un
rafraîchissement, ça va mieux maintenant et je distingue des plateaux couverts
de succulentes choses : brownies au chocolat, tarte au citron, tarte aux
pommes, chamallows et fraises tagada…
Mmmm, pour l’instant l’ambiance nous paraît plutôt bonne !
Mais nous ne nous y attardons pas
car nous avons envie de revisiter le club, je n’ai pour ma part que de vagues
souvenirs des installations, et même pas de la partie humide. Le couloir du
vestiaire mène d’abord sur des sanitaires avec, sur la gauche, un grand coin
câlin équipé de miroirs puis un labyrinthe obscur avec, au centre, un grand
coin câlin qui ferme à clef. Un peu plus loin, nous retrouvons la pièce où nous
avions fait notre trio deux ans avant : celle du grand lit à barreaux avec
la petite fenêtre (voir récit un trio HHF
à Bordeaux). Au bout de ce couloir il y a encore deux coins câlins qui
ferment, dont un équipé de glory holes avec de petits rideaux… Mmmm, il nous
paraît intéressant celui-ci !
On tourne à droite et nous
arrivons devant le grand rideau en plastique épais qui délimite la zone humide.
Derrière celui-ci se trouvent le hammam (délicieuse odeur d’eucalyptus) et le
jacuzzi en contrebas, nous y reviendrons tout à l’heure. Le sauna, lui, donne
directement sur le couloir, juste avant un petit salon en osier où débouche un
couloir noir venant des glory holes.
On continue un peu, nous passons
une lourde porte et parvenons dans une autre partie du club, manifestement deux
maisons différentes ont été réunies pour constituer cet ensemble. On tombe tout
d’abord dans une sorte d’antichambre gothique comprenant deux fauteuils
antiques, un écran vidéo et un recoin en pierre de taille fermé par une lourde
grille rouillée. A l’intérieur, il y a juste la place de mettre une personne
debout, un(e) soumis(e) en cage attaché(e) par des anneaux au mur pour y faire
pénitence…
Nous passons une deuxième porte
sur la droite et trouvons de nouveaux coins câlins. Il semble que cette partie
du club soit plutôt dédiée aux pratiques spéciales, bisexualité et SM soft.
Nous trouvons sur la gauche un coin à 5 glory holes, entouré d’un couloir
obscur qui donne sur un 2ème grand coin câlin à miroirs. A droite du
couloir, un petit donjon fermant par une grille comprend un matelas haut et des
attaches fixées au mur. Sur la gauche en avançant dans le couloir, un grand
coin câlin avec un ventilo (nous y reviendrons) puis des sanitaires à droite et
la fameuse Citroën DS coquine dont l’intérieur a été remplacé par un grand
matelas. Des vidéos gays surplombent la voiture. Enfin, au fond à gauche, on
trouve un labyrinthe avec des matelas, entièrement plongé dans le noir total…
Il n’y a pas beaucoup d’ambiance
en ce début de soirée, nous supposons que l’essentiel doit se passer dans le
jacuzzi. Nous y retournons et le trouvons en effet rempli de couples, peut-être
une douzaine en tout. Le bassin est en deux parties: la première, à la descente
de l’escalier, comprend sur la droite un débordement et, en surplomb, un coin
câlin avec un matelas. Un muret peu épais sépare la partie gauche de la
deuxième partie du bassin, au fond, plus obscure.
Nous nous installons d’abord au
milieu du bassin, il n’y a en effet plus de place pour s’asseoir sur les
banquettes. Nous nous câlinons à deux tout en jetant des regards
circulaires : aucune interaction, les couples sont deux par deux et se
regardent presque en chiens de faïence ! On entend de vagues gémissements
dans le bassin obscur du fond mais on ne peut rien voir à cause du muret.
Finalement, nous parvenons à nous asseoir le dos à celui-ci lorsqu’un couple
sort du bassin.
Nous tentons de caresser le dos
d’une de nos voisines, elle se laisse faire mais ne nous donne aucun retour
même visuel. Au bout d’un moment, je cesse, il n’y a manifestement pas de
recherche d’interaction là non plus. Au bout d’un long moment de détente dans
le bassin, nous finissons par sortir, il ne se passe toujours rien, c’est
devenu pathétique les soirées couples, on se demande ce que ces gens sont venus
faire là…
Nous retournons vers la partie SM
/ bisex… Toujours très peu de monde, nous optons pour le coin du ventilo. Miracle,
il fonctionne ! Nous pouvons le régler sur 3 positions en fonction de la
fraîcheur désirée, cool… Nous laissons la porte grande ouverte au cas où. Et
nous commençons à nous câliner sur le matelas. J’entame un doux cunni sur ma
chérie, elle aime toujours beaucoup cette caresse et cela la fait rapidement
faire des vocalises susceptibles d’attirer des partenaires…. En effet, du monde
passe et s’arrête même dans l’encoignure de la porte pour nous regarder, mais
personne n’entre.
Nous nous mettons en 69 car ma
Caresse a maintenant très envie de me sucer. Mmmm, un délice, j’adore sentir sa
bouche humide sur mon gland gonflé et ma verge dure. Difficile de résister à un
tel traitement… Une fois que je suis bien en forme, ma miss m’équipe de mon
cockring en cuir noir qui enserre mes boules et la base de mon sexe, elle
ajoute nos pinces japonaises sur mes tétons, excitation et durabilité de
l’érection garanties ! Mais là, nous sommes sûrs de faire fuir les rares
couples qui auraient eu de timides velléités de nous rejoindre !
Ma Caresse se retourne pour que
je la prenne en levrette, notre position favorite. « Hummm, comme je te sens bien… » me dit-elle ! Avec le
clito excité comme il l’est, elle ne tarde pas à jouir de son point G deux ou trois
fois de suite, avant que je ne jouisse à mon tour, la queue fichée tout au fond
de son vagin que j’inonde de grands jets de sperme chaud…
Mmmm, c’était encore une fois
très bon, un peu dommage que personne ne nous ait rejoints mais bon, pas grave,
nous prenons toujours autant de plaisir à deux. Nous retournons profiter du bar
avant de repasser par le vestiaire et quitter les lieux. Franchement, les
installations du club nous ont plu. L’ambiance du samedi soir est lose, comme
partout ailleurs désormais quand il s’agit de soirées couples. Nous sommes cependant
bien décidés à y revenir, mais seulement en mixte !
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