(Alpha raconte)
Nous avions passé quelques jours dans la région poitevine pour des raisons professionnelles et notre chemin de retour serait buissonnier tout au long du weekend, de Poitiers à Toulouse, en passant par Bordeaux où nous avions prévu de visiter enfin un club dont une amie nous avait dit beaucoup de bien (voir récit suivant).
Après les dernières civilités d’usage, nous filons sur l’autoroute en abandonnant derrière nous Poitiers et sa vie nocturne limitée. Pour cette première étape, nous avons choisi d’aller à l’Elixyr, un club perdu au milieu de nulle part aux portes de la Charente maritime. Nous en avons eu également de très bons échos et surtout, ce club offre une possibilité d’hébergement sur place combinée avec l’entrée au club... Un motel et une pizzeria jouxtent en effet ce club discrètement niché dans un hameau en bordure de l’ancienne route nationale, à une trentaine de kilomètres au sud de Niort.
Comme nous sommes en avance et qu’il fait très beau, nous faisons une halte pour visiter cette ville que nous ne connaissons pas. Nous y découvrons, en face de notre terrasse de café ensoleillée, un donjon médiéval imposant et de vieilles halles de marché. Sympa... mais bon, pas de quoi justifier un séjour de longue durée non plus !
Nous prenons possession de notre chambre au motel LX en fin d’après-midi. Confort simple mais bien adapté à notre style de vie, avec petit déjeuner déjà dans la chambre. Ceci permet de se lever à l’heure souhaitée, après la nuit au club, la seule contrainte étant de libérer la chambre à midi.
Nous dînons au restaurant voisin, qui ne nous laisse pas un souvenir impérissable, puis allons nous préparer dans la chambre, le club Elixyr ouvre à 22h ce vendredi. Je m’habille en noir, pantalon de cuir à lacets et top moulant en lycra, ma chérie met des cuissardes noires, sa guêpière et sa mini-cape en dentelle noires ainsi que son corset de velours noir, qui lui donnent un petit air inquiétant, légèrement satanique.
A l’entrée du club, le patron nous accueille avec raffinement. C’est un homme qu’on sent élégant et professionnel, avec le zeste d’attention au client qui convient parfaitement. Il nous indique que sa charmante épouse, Dominique, va nous faire visiter le lieu. Nous savons que Dominique est sa soumise et que ce club offre notamment un superbe donjon que les propriétaires ne doivent pas être les derniers à utiliser.
Notre hôtesse est une belle femme blonde d’une cinquantaine d’années, vêtue d’une guêpière en vinyle noir largement échancrée, laissant admirer ses seins pointant bien vers l’avant et presque entièrement exhibés de par la forme de sa tenue. Le club est aménagé dans une vaste grange en pierre de la région. Le rez-de-chaussée est principalement occupé par le vaste bar et la piste de danse ainsi que par la partie humide (sauna, jacuzzi), assez sombre avec une cascade lumineuse à l’extrémité du jacuzzi, et le donjon. Dans une aile adjacente, le coin fumeurs a presque la taille d’un club à lui tout seul, avec son propre bar, ses tables, ses chaises et fauteuils « lounge ».
Le bar de la partie discothèque est superbe, très long, large et massif, avec deux barres de pole dance à l’une de ses extrémités, auxquelles on accède par quelques marches, ce qui permet aux exhibs d’aller se montrer debout sur le bar. A l’étage, en surplomb du bar et de la piste de danse, se trouve une vaste mezzanine équipée de quelques matelas puis derrière celle-ci une enfilade de coins câlins aux décorations diverses : rétros aux tons bleus ou rouges, moderne avec notamment une pièce décorée de disques vinyle sur les murs, un coin avec fenêtre sur la mezzanine, traversé par les lasers de la discothèque, un coin-cage au ras du sol, une « boîte » noire à glory holes... Certains coins peuvent être fermés à clef. Au fond du couloir se trouve également un lit rond, ce qui nous rappelle quelques souvenirs en d’autres temps et d’autres lieux. A noter spécialement : de superbes sanitaires avec plancher en teck et abondance de serviettes de toilette, gels et produits de toilette, et également, chose rarissime, des piles de draps propres en libre service pour utiliser, à la demande, dans les coins câlins. Jusqu’à présent nous n’avions vu cela que dans le superbe club de l’Absolu près de Cannes.
La pièce qui nous intéresse le plus est le donjon du rez-de-chaussée... A droite de l’entrée, derrière une sculpture moderne en métal de taille humaine, une porte s’ouvre au fond d’un recoin sombre sur l’antre du Maître des lieux : un vaste donjon très bien équipé, dans le style de ce que nous avions vu jadis à la Villa Panthère près de Bordeaux. Deux hauts lits à baldaquin au matelas revêtu de vinyle rouge ou noir, avec une série d’anneaux et de chaînes aux extrémités. Un pilori, une croix de St André en métal, des attaches de toutes sortes dans les poutres de la grange, des râteliers de liens et chaînes aux murs, martinets et autres jouets complètent le tableau.... Quel bel endroit !
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Nous prenons un premier verre avec Dominique au bar. Le club se remplit petit à petit, nous hésitons à nous installer au donjon mais il est encore vide. Les participants commencent à affluer, beaucoup d’habitués qui se connaissent et se font la bise, mais nous tiquons un peu sur les tenues que nous trouvons un peu trop « rurales » pour un club qui pourtant affiche un dress code assez strict.
Nous montons finalement dans la mezzanine, puis optons pour la boîte noire à trous, dans l’espoir de pouvoir sucer quelques queues. Rapidement nous voyons arriver des hommes seuls et même des couples, intrigués. Certains regardent par les trous pour tenter de voir à l’intérieur – mais c’est entièrement noir. D’autres essayent d’écarter le rideau par où nous sommes entrés... Cela nous énerve rapidement et je me mets à tenir le rideau pour les empêcher de regarder. En attendant, aucun n’ose aventurer sa queue à l’intérieur car un type a chuchoté aux autres, l’air un peu effaré, qu’il y ait un mec à l’intérieur de la boîte ! Nous avons un peu le sentiment d’être arrivés chez les ploucs...On se demande même s’ils savent se servir d’un glory hole ! Mdr !
Finalement, une queue plus téméraire que les autres ose s’avancer. Ma chérie s’en empare et se met à la sucer avec délectation, tandis que je poursuis ma surveillance tous azimuts sur le rideau et les autres trous. Une 2ème bite puis une 3ème apparaissent... Des bras s’introduisent également pour guider la tête de ma Caresse et insidieusement vérifier qu’il s’agit bien d’une femme en lui palpant les seins. Nous commençons à avoir trop chaud dans cet espace confiné et les gens dehors ne sont pas joueurs comme nous aimons, aussi ressortons-nous de notre boîte.
Nous optons pour le coin rétro aux tentures rouges équipé d’un grand miroir, et laissons la porte ouverte. Un homme seul que ma miss a sucé dans le glory hole nous a suivis, un autre arrive sur ses talons. Les deux se masturbent tandis que je me mets à lécher le sexe de ma miss. Le premier homme, déjà bien échauffé par la fellation de ma chérie, s’approche sur sa gauche pour qu’elle le masturbe de la main. Mais elle commence à peine à le caresser que l’homme jouit et éjacule sur son avant-bras et sur le matelas, il était décidément plus que mûr ! Nous décidons de faire un passage aux sanitaires puis de retourner au bar.
Puis nous nous dirigeons vers le donjon... Mais là, argh ! La porte est fermée, des gens ont dû s’enfermer à l’intérieur !!! Nous sommes un peu dépités car nous ne savons pas combien de temps cela va durer. Nous décidons par conséquent de remonter dans la mezzanine où nous nous câlinons à deux en profitant de la musique et du spectacle de la discothèque. Sur le mur derrière le bar, des films érotiques sont projetés. Il s’agit de films muets en noir et blanc, style années 20-30, mettant en scène surtout des femmes dans des scènes saphiques ou D/s. Dans le dernier, que nous regardons en nous caressant mutuellement, deux femmes qui jouent aux dames sont importunées par une troisième qui n’a de cesse d’interrompre leur partie. Les deux premières la neutralisent progressivement en la ligotant et la fessant, elle finit quasiment en hogtied, bâillonnée et fouettée.
Le DJ annonce que des participantes vont monter faire un strip-tease à la barre de pole dance. Nous voyons en effet deux jeunes femmes blondes, maigres, s’effeuiller sur le bar, mais elles sont limite anorexiques, le spectacle n’a rien de palpitant pour nous, au contraire ! Le volume de la musique finit par nous insupporter, nous décidons de repasser dans les coins câlins pour avoir un peu moins de bruit.
Cette fois nous allons dans le coin rétro aux tons bleus. Je reprends mon cunni sur ma chérie quand un homme seul entre en se masturbant ouvertement et s’approche de nous dans mon dos, jusqu’à presque toucher ma chérie sur ma droite. Elle le fait plusieurs fois reculer car elle craint de le voir éjaculer sur elle.
Un 2ème homme entre et referme la porte derrière lui. Il se fait vertement réprimander par ma chérie qui le pétrifie quasiment sur place de « sa voix de Domina » en lui intimant de laisser la porte ouverte. Stressé, le nouvel arrivant a beaucoup de mal à défaire la ceinture de son pantalon, il semble avoir la tremblotte ! Il y parvient enfin, et commence lui aussi à se branler sous nos yeux. Il tente également, par des mimiques de sa bouche, de convaincre ma chérie de le laisser la lécher, mais elle refuse car c’est moi qui suis en pole position et elle n’échange pas son baril d’Ariel même pour 2 barils de lessive ordinaire.
Le premier homme s’éclipse discrètement après s’être fait éjaculer sur le matelas. L’autre commence à devenir insistant et collant, il prétend faire du magnétisme et des massages à ma miss mais la tournure du jeu ne plaît pas à ma chérie : elle me fait arrêter mon cunni et nous redescendons au bar.
Pas beaucoup d’ambiance au rez-de-chaussée non plus, le donjon est de nouveau ouvert, mais vide. Nous finissons par penser que nous serons tout aussi bien dans la chambre de notre motel pour terminer nos câlins à deux.
Nous saluons nos hôtes et regagnons notre chambre pour un doux moment de tendresse avant de nous endormir. Demain nous avons encore de la route à faire, et un autre club nous attend à Bordeaux, nous ne serons pas déçus !