Une gâterie pour l’anniversaire de Michel (2/2)

(suite du récit précédent, Alpha raconte)

...Après ces jeux bien agréables avec notre ami Terrence, nous prenons un verre au bar. Jo, l’épouse de Michel est arrivée pour lui permettre de faire une pause... il a fêté ses 60 ans mardi et il a besoin de se détendre énormément ! Pourtant il vient de passer quelques jours à faire la tournée des clubs libertins bordelais avec sa jolie femme...ils ont passé de superbes moments semble-t-il ! Mais c’est une autre histoire qu’il faudra réclamer à Michel et Jo !

Une grande trav mince et habillée de vinyle noir est assise sur la banquette du salon: petit top, ultra mini jupe, talons de 15cm...Elle est splendide et se prénomme Tania, mais quel caractère, d’une humeur bien souvent « cassante » et « glaciale ». Ce lundi toutefois, elle est de bonne humeur. Et Michel a bien l’intention d’en profiter. Tania s’est assise sur une des banquettes juste devant le bar. Michel lui dit : « Bon Tania, c’est l’heure de ma sucette, il faut que tu me détendes ! » Et il fait le tour du bar tout en défaisant sa queue de son pantalon, pour la faire sucer par Tania. Elle lui fait de gros yeux et le menace de lui mettre son poing dans les couilles s’il continue, en prenant un ton outré de fille de bonne famille ! Michel argumente qu’il va devoir aller la fouetter pour qu’elle soit obéissante... elle gémit qu’elle adorerait, alors Michel se ravise et lui dit « seulement lorsque tu m’auras sucé » en mettant sa queue à deux pas de la bouche de la trav ! Nous sommes morts de rire !

Le jeu dure un moment... mais Tania ne plie pas. Elle croit avoir gagné la partie mais Michel est juste allé faire un tour dans le club. Lorsqu’il revient, il tape sur les fesses de Tania et il lui ordonne : « Suce salope, tu aimes ça ! »  La trav s’exécute alors, elle ne demandait que ça en fait... elle suce si bien la queue de Michel qu’il se retrouve avec un braquemart énorme impossible à ranger dans le pantalon ! « Il va falloir passer la queue à l’eau froide... » dit Michel en  joignant le geste à la parole... « Ouhhhhh, que c’est froid ! Tania tu as vu ce que tu as fait ! Ce n’est pas possible une salope comme toi, et tu aimes ça en plus ! » Et Michel exhibe alors fièrement un gros gode en silicone qu'il avait dissimulé dans son pantalon! Tout le monde y avait cru!

Après cette pause tout aussi hilarante que désaltérante au bar, nous sucerons encore quelques véritables queues (pas en silicone) mais franchement aucune qui nous ait laissé une impression durable ce jour-là: molles et sans rythme, rien de mémorable. Je me mets donc à faire un cunni bien appuyé à ma Caresse, elle a été sevrée plusieurs jours de suite pour cause de sa période rouge, alors je m’applique et elle monte haut dans les tours. Au moment où elle est en train d’atteindre le paroxysme, la porte du coin couples s’ouvre...

Un couple apparaît, lui 35 ans, elle 50 ans, nous regarde par la porte ouverte puis décide de s’installer sur le matelas à côté de nous. Ma miss les a encouragés du regard et de la main, moi je n’ai rien vu, le visage enfoui dans son délicieux minou... Mais je sens la présence du couple, je me décale et essaie d’activer mes caresses pour la faire jouir. J’emploie les grands moyens : j’ajoute mes doigts à ma langue et vient lui titiller vigoureusement le point G... En quelques secondes, ma chérie rugit de plaisir, trop bon, ça va émoustiller l’autre couple et l’aider à entrer dans le jeu !

L’homme – Sylvain -  s’est allongé sur le dos et la femme – Gisèle – suce consciencieusement son gros gland. Il a une queue énorme, très longue et épaisse, en pleine érection elle doit faire plus de 20cm. Ma chérie aide Gisèle qui l’a invitée, elles caressent le torse de Sylvain. Je me contente pour l’instant de le caresser moi aussi, en passant mes ongles longs et vernis sur sa peau. On entend du bruit de l’autre côté de la cloison, les voyeurs sont au rendez-vous !

Je me rapproche de Gisèle, lui caresse un peu le dos, puis ses seins lourds qui pendent comme des fruits bien mûrs. Elle se redresse un peu, puis va sucer les couilles de Sylvain. Je le prends pour une invitation à la remplacer, je me penche et embouche la grosse queue de notre nouvel ami. Elle est vraiment délicieusement énorme: je me régale rien qu’avec la moitié supérieure qui me remplit complètement la cavité buccale. Mais notre homme n’est pas passif, il se met à donner des coups de bassin pour s’enfoncer plus profond en moi. Dans notre position en quasi-69, la courbure de son gros braquemart épouse bien celle de mon gosier et je n’ai pas de difficulté à lui faire des gorges profondes, avalant la quasi-totalité de sa bite sans déglutir ni m’étrangler...

Je finis par l’enjamber pour lui proposer ma queue à sucer. Il n’est pas resté inactif pendant tout ce temps, il a doigté ma miss dans son minou et son petit trou: je l’ai entendue jouir déjà deux ou trois fois ! Je le sens maintenant prendre ma bite dans sa bouche, sa langue humide s’entortille autour de mon gland et il avale ma queue toute entière en donnant un mouvement de va-et-vient de la tête. Je l’accompagne avec mon bassin, en rythme avec ses propres mouvements qui font coulisser son long barreau de toute sa longueur jusqu’au fond de ma gorge.

Après un nouvel orgasme de ma miss, nous nous reconfigurons un peu. Je me redresse et passe derrière Gisèle, qui a les pieds au sol et est penchée en avant sur le matelas. Ma nouvelle position me permet de lui brouter le minou par-derrière. Je m’agenouille pendant qu’elle reprend la queue de Sylvain dans sa bouche et je me mets à lui lécher la chatte ainsi que son petit trou. J’ai du mal à atteindre son clito, un peu trop loin pour ma langue dans cette position et je me concentre donc sur sa vulve et son anus, tous deux délicatement parfumés. Je la sens onduler en rythme et gémir doucement, elle apprécie cette caresse, ma miss me le confirmera : Gisèle avait les yeux remplis de plaisir, elle avait même des difficultés à se concentrer sur la queue de son compagnon..

Mais la position est inconfortable. Sylvain se réinstalle tout au fond du coin câlin, dos au mur. Gisèle et ma miss le sucent, Gisèle est toujours à quatre pattes, son petit cul tourné vers moi, ma langue se fait très coquine, elle s’insinue plus profondément entre ses cuisses, pour lui lécher le clito... Ma miss lui a vanté la qualité de mes cunnis, Gisèle confirme apprécier ! Je la lèche donc un long moment pour notre plus grand plaisir, puis j’ajoute deux doigts dans son vagin trempé, à la recherche de son point G. Là aussi, bingo, c’est le feu d’artifice ! Gisèle est presque tout de suite ravagée par un orgasme qu’elle a du mal à exprimer, bâillonnée comme elle l’est par la grosse bite de Sylvain !

Nous changeons de position, Sylvain est fou de voir sa compagne dans cet état. Il a trop envie de la prendre, il passe derrière elle et la prend en levrette en faisant très attention à la façon de la pénétrer, il est dans un état incroyable, sa queue est énorme !

J’avise une queue d’allure sympathique dans un glory hole sur ma gauche et je me mets à la masturber, mais elle semble peu motivée... Je passe alors devant Gisèle et me mets à genoux devant elle pour qu’elle me fasse une fellation. Elle ne se fait pas prier et me suce agréablement tandis que Sylvain la bourrine vigoureusement par-derrière. A la demande de Sylvain, ma miss s’est jointe à lui et sodomise Gisèle avec un doigt pendant qu’il la prend.

Gisèle réagit immédiatement, elle se tortille et gémit de plus en plus. Ma miss décide, tout en continuant de jouer avec l’anus de Gisèle, d’en faire autant avec celui de Sylvain... hummm... Le coquin adore ça lui aussi, ils jouent un long moment ainsi avant que Sylvain ne demande à ma miss d’aller lui faire un anulingus. Elle lui dit qu’elle adore et se retire de Gisèle pour aller s’occuper complètement du petit trou de Sylvain. Il devient littéralement fou et il décharge longuement dans la chatte de sa compagne... Celle-ci relâche ma queue pour crier plus facilement puis la reprend, cette fois dans sa main, avec l’intention de me faire jouir. Il ne faut en effet plus très longtemps pour que j’éjacule deux ou trois jets de liqueur blanche sur sa poitrine et sa main.

Quel délicieux moment de partage libertin, on en redemande des comme ça ! Mais là tout de suite, nous sommes tous les quatre demandeurs d’une douche et d’une pause au bar.

Il se fait tard (23h30), nous rentrons, demain nous travaillons !