Dérapages incontrôlés dans les toilettes

Soirée au donjon (1ère partie)
(Alpha raconte)

Nos amis Antoine et Coralie nous ont conviés à une nouvelle soirée dans leur Donjon. C’était chez eux, la première fois, que j’étais sorti travesti en brune, et la dernière fois, il y a un mois, j’étais en mec pur hétéro, avec mon pantalon de cuir noir. Cette fois, j’ai envie d’y aller en blonde... La blonde est déjà sortie plusieurs fois avec succès dans notre club favori en ville, je suis curieux de voir l’effet produit sur nos amis, qui ne m’ont pas encore vu en blonde sexy...
 

Je réfléchis minutieusement à mon « accoutrement » : guêpière noire et corset rouge par-dessus, mes nouveaux gants en dentelle noire, mon collier de chien rouge et noir et des bas résilles neufs dans mes escarpins noirs de 12cm de talon. Ma chérie choisit, elle, de s’habiller style domina : tenue sexy en vinyle noir dégageant ses beaux seins couverts de 4 rangées de chaînettes en métal argenté... elle a un air redoutable !

Comme nous ne sommes pas du tout sûrs de pouvoir nous garer à proximité de leur Donjon en centre-ville, nous nous changerons seulement sur place. En fait, nous avons eu de la chance cette fois-ci, nous avons pu nous garer dans leur rue, à seulement 150m de leur porte !

Embrassades à l’arrivée, nous demandons un peu de temps à nos hôtes pour nous changer dans le vestiaire, puis nous passons dans l’arrière-cuisine pour les finitions de maquillage. Ma brune farfouille dans nos affaires et, ne trouvant pas tout de suite ce qu’elle cherche, vide tout sur la table. Nous verrons plus tard que cette méthode nous sera fatale, elle y laissera notre gros pot de lubrifiant anal – « Lubrifist, auquel rien ne résiste » – que nos amis retrouveront le lendemain, en se demandant ce qu’il fait là et si ce serait goûtu d’en étaler sur le pain grillé au petit déj...

Apres nous être faites belles toutes les deux, nous descendons les marches, comme au festival de Cannes, pour rejoindre la libertine assemblée au sous-sol. Il y a déjà du monde au bar, mais pas d’effet de surprise cette fois-ci, nos hôtes savaient que nous nous préparions en haut. Mon allure, en tout cas, plaît beaucoup, nous retrouvons des coquins déjà rencontrés dans ce lieu, ils s’amusent à m’affubler d’horribles prénoms : Brigitte, Pascaline... ma miss déteste !

Je m’accoude au bar à côté d’un bel homme dont le visage me dit quelque chose... Yes, ça y est, c’est S..., le patron du sauna-club libertin le plus connu de la ville, nous le saluons mais évidemment il ne nous remet pas, vu notre look, nous avons pourtant longuement et assidûment fréquenté son club jusqu’à il y a peu, moins maintenant que nous n’allons plus dans les jacuzzis.

Nous découvrons aussi un couple de jeunes, blonds tous les deux, et très bcbg. Un peu intimidés sans doute par l’exotique population de cet endroit... Ils sont passés cet après-midi faire des courses à la boutique coquine et Antoine les a illico invités à la soirée, il n’ont pas dit non !

D’autres couples sont présents : un couple D/s, lui en tenue type de Maitre SM, jupe-pantalon et haut moulant noirs, elle une belle rousse en tenue sexy de soumise, avec son collier de chienne... Un autre couple se fait remarquer par le style verbal un peu véhément de madame, vêtue d’une jupe noire plissée d’écolière et d’un chemisier blanc. Monsieur est brun, mince, mais plutôt effacé comparé à sa femme, à tel point que ma miss n’avait pas perçu que c’était un couple D/s. Ils sont venus avec un couple d’amis de Normandie. Elle aussi porte une jupe d’écolière, lui n’a en revanche fait aucun effort vestimentaire, il a un jean des plus ordinaires. Ils ont l’air sympa, mais ils repartent dès le lendemain vers leur région, 800 km au compteur les attendent, ils ne resteront pas longtemps !

Nous retrouvons l’homme qui avait craqué pour moi, la belle brune sexy le 18 juin : Edouard ! Il est vêtu d’un pantalon noir avec un haut moulant noir et gris, et des chaussures noires très classe. Il est venu seul apparemment, sa miss l’ayant quitté, selon ses propres dires à ma Caresse. La séparation n’a pas duré, nous les reverrons tous les deux ensemble dans notre club favori quelques semaines plus tard !

Derrière le bar, nous avons aujourd’hui une équipe super sexy et très professionnelle : Gino et Ginette... Elle avec un petit nœud blanc de soubrette et une jupe en latex brillant rouge, un string rouge et un porte-jarretelles noir fixé dessus, des bas clairs et des chaussures à hauts talons… Gino est habillé en barman sexy, les yeux légèrement maquillés : soulignés en haut et en bas par un trait de eye-liner)... Ils font la paire, même si nous savons que Gino est plutôt homo et Ginette libertine « débutante », d’après ses patrons.

Au fil de l’eau arriveront encore:

- Un couple d’hommes homosexuels tenant un restaurant réputé dans les environs ;

- Un homme seul présenté comme l’ami du patron de l’autre club, apparemment homo lui aussi !

Nous éclusons quelques coupes au bar, chacun a amené une bouteille de champagne, il y a de quoi faire ! Ces instants de baguenaudage préliminaire entre libertins ressemblent aux pince-fesses (expression purement abstraite...) des cocktails en ville, à la différence qu’ici on se pince vraiment les fesses et on se caresse en parlant, on se roule des pelles à l’occasion... et plus si affinités! L’ambiance est belle et la chaleur monte doucement !

A force de jacasser avec Coralie, mon rouge à lèvres est rapidement « détruit », je décide donc de passer à la salle de bains pour me refaire une beauté. En mon absence très temporaire, ma brune – elle me le racontera ensuite – se fait entreprendre par Edouard qui désire coquiner. Mais elle lui rétorque qu’elle ne joue pas sans sa blonde et lui propose de me rejoindre dans la salle de bains/douche/wc. Je suis encore en train de parfaire mes lèvres devant le grand miroir quand j’entends du bruit et que je vois apparaître ma Caresse avec Edouard sur les talons.

Je suis un peu interloquée, mais Edouard entre de suite dans l’action et commence à nous peloter toutes les deux. Je comprends qu’il va me falloir écourter mes finitions. Notre homme a déjà baissé son pantalon et il bande ferme ! Je m’agenouille pour mieux évaluer la situation : je prends sa bite dans une main, ses lourdes couilles dans l’autre et commence à lui sucer le gland. Il en profite, en même temps, pour malaxer avec tact les seins de ma chérie et l’embrasser à pleine bouche.

Mais le jeu se corse très vite : Coralie, attirée par le bruit, est venue voir ce qui se passe... Notre affaire prend une tournure SM. Coralie est très peu vêtue, elle a les fesses quasiment à l’air et Edouard sait qu’elle adore les fessées. Il est d’humeur « fesseuse » ce soir d’ailleurs. Il retourne Coralie contre le lavabo et commence à la gratifier de grandes claques sonores sur son popotin coquin qu’elle tend de plus belle à chaque nouvelle fessée !

Puis il l’installe assise sur le rebord du lavabo et lui fait un cunni. Je fais de même avec ma belle qui s’assied en équilibre à droite de Coralie et nous voilà lancés dans un double cunni improvisé dans les toilettes.

Nous entendons derrière nous quelques allers et venues d’invités qui souhaitent accéder aux toilettes et à la douche. Tous en profitent pour se rincer l’œil au passage ! Le couple qui est allé aux toilettes, ne peut résister à l’ambiance « sexe », Monsieur se met illico à prendre sa miss en levrette à côté de nous ! Il prend un pied pas possible à nous regarder en même temps qu’il prend sa compagne, apparemment.

Puis la rouquine bi vient se doucher, l’ambiance ne la laisse pas de marbre non plus, elle décide de se branler et finit par exploser de jouissance, expulsant vers nous un jet de sève féminine comme savent le faire les femmes-fontaines !

Finalement Gino arrive avec sa serpillière... Il n’a pas tort, Coralie vient, elle aussi, de jouir bruyamment en aspergeant Edouard d’un puissant jet de son jus intime, la dame est fontaine également: nous le savions depuis notre première rencontre à l’Estrella, où elle m’avait copieusement inondé le visage lors d’un cunni ! Ma chérie a son premier orgasme de la soirée également, mais elle a davantage de retenue, elle ne vrille pas le revêtement de sol de la salle de bains, ni ma belle tenue, j’aurais détesté !

Nous retournons ensuite, l’air de rien, rejoindre les autres au bar. Les invités en sont encore à siroter des coupes, mais les sourires entendus qu’ils nous lancent montrent bien qu’ils n’ont pas perdu une miette des raisons de notre longue absence dans les toilettes !

(à suivre...)