Soirée au donjon (2ème partie)
(Alpha raconte)
(Alpha raconte)
...la soirée est déjà assez avancée et nous avons envie d’aller faire un petit tour dans le donjon. Il est encore vide et j’avise avec concupiscence le beau pilori de bois, capitonné aux ouvertures. J’en avais déjà eu envie la dernière fois, il faut que je l’essaie : je place ma tête et mes mains dans les encoches et ma brune referme le lourd morceau de bois par-dessus, cadenassé par la targette métallique à l’extrémité. Même si celle-ci n’est pas fermée à clef, il me serait impossible de rouvrir cet étau tout seul, je me trouve donc à la merci du bon vouloir des participants présents !
Justement, Edouard nous rejoint.... Je m’attends à ce qu’il me fasse à nouveau sucer sa grosse queue, comme la toute première fois: j’aurais bien du mal à lui refuser cette gâterie dans ma position, et quel régal aussi ! Mais non, il passe derrière moi, je me dis alors qu’il va me sodomiser... Deuxième erreur, il est d’humeur fesseuse aujourd’hui, il me baisse mon string en dentelle rouge sur les genoux pour me gratifier d’une bonne correction ! Ouille ! L’animal frappe fort avec le plat de la main, mes deux fesses dérouillent pendant un bon moment. Malheureusement pour lui et moi, ce genre de jeu ne m’excite pas du tout !
Comme ma chérie le sait parfaitement, elle propose rapidement de changer de jeu et me délivre. Nous reprenons les jeux habituels de fellations et de doigts. Puis ma miss se met en position jambes écartées et dos cambré et c’est à son tour de « bénéficier » d’une monumentale fessée d’Edouard pendant que celui-ci me contraint (enfin!) à lui sucer la bite en me forçant la tête de sa main libre. Edouard bande comme un taureau, il est visiblement très excité par ces jeux. Mais ma chérie a plutôt envie de s’occuper de moi. Elle s’agenouille à son tour pour me sucer.
Edouard a le membre en feu, il dit qu’il a envie de pénétrer ma brune. Cela ne devrait d’ailleurs pas empêcher celle-ci de continuer à me sucer en même temps... Pour ce faire, Caresse me demande de m’asseoir sur le cheval d’arçon, ce qui lui permet de se tenir debout sur ses jambes, penchée sur mon sexe, pendant que notre ami la prend en levrette.
Nous avons de la visite, un Dom et sa soumise nous ont rejoints. Il crucifie la jeune femme, face à la croix de St André, lui place un bâillon-boule et se met à cravacher ses fesses de plus en plus fort. Dans notre position sur le cheval d’arçon, nous gênons un peu ses mouvements, aussi nous déplaçons-nous un peu sur la droite, en nous rapprochant du chevalet de torture. Nous continuons un moment notre trio dans cette position...
Mais un autre « meuble » nous fait de l’œil depuis pas mal de temps. Le fauteuil de dentiste, une vraie antiquité datant du début du XXème siècle... Bien solide avec des arceaux en métal pour les pieds et les mains, un véritable instrument de torture médiéval ! Ma chérie l’essaie en premier mais ne le trouve pas très agréable pour ce que nous aimons en faire. C’est donc Edouard qui hérite de sa place. Nous profitons de sa position offerte pour nous occuper de lui. Ma brune lui pince et mordille les tétons comme il aime, pendant que je suce sa grosse bite toujours bien dressée. Il apprécie visiblement mais il est certain que le confort de ce fauteuil antédiluvien est plus que sommaire. Nous ne nous attardons pas et retournons avec les autres dans le salon adjacent.
Ici aussi il y a du spectacle. Plusieurs groupes s’ébattent à divers endroits : près du bar, sur les tabourets hauts, Coralie et Ginette, la barmaid soi-disant farouche, se gougnottent allègrement. Ginette a tombé en partie son uniforme de soubrette sexy : elle n’a plus que son nœud pap et ses bas tenus par le porte-jarretelles, elle a les seins complètement à l’air et Coralie lui titille les pointes avant d’aller lui lécher le minou.
Sur un autre tabouret, un Dom debout prend sa soumise en levrette devant tout le monde, tout en fumant sa cigarette et en discutant avec ses voisins... De temps en temps, il saisit une coupe et boit un coup ! Nous allons plutôt nous installer sur la banquette au fond du salon, à côté de nous le jeune couple timide rencontré en début de soirée fait un peu tapisserie.
Nous entamons précautionneusement la conversation avec eux. Ils ont l’air contents de parler avec nous, apparemment ils sont un peu restés sur la touche depuis le début de soirée, pas facile de s’intégrer quand on est débutants. Ils s’enhardissent un peu à notre contact et madame commence à caresser monsieur de manière un peu plus appuyée, puis entreprend de lui faire une timide fellation.
Nous nous mettons à les caresser doucement, ils se laissent faire, mais difficile pour nous de savoir jusqu’à quel point ils acceptent d’aller. Une fois que nous les voyons bien partis à deux, nous les laissons ensemble et nous remettons à nous caresser toutes les deux, c’est délicieux aussi.
Notre répit est de courte durée car Edouard réapparaît et vient s’asseoir sur un fauteuil bas juste à côté de nous. Nous échangeons quelques mots avec lui et comprenons qu’il a de nouveau envie de jouer... Je me remets donc à genoux devant lui pour le sucer activement. Il profite d’avoir les mains libres pour stimuler le clito de ma belle et son point G... j’entends ma chérie monter rapidement en puissance et elle gémit de plus en plus fort.
Dans mon champ de vision, un peu sur la droite, je repère un couple qui n’était pas là en début de soirée. L’homme est chauve, d’une cinquantaine d’années, assis au fond d’un fauteuil bas comme Edouard, et il tient sa coupe de champagne à la main. La femme a de longs cheveux blonds, et est agenouillée sur le sol entre ses cuisses en train de le sucer. Elle est vêtue d’une guêpière sexy, de jarretelles, bas et escarpins... Elle met beaucoup d’énergie à sucer la grosse queue de son ami, alternant la bouche et la main, elle a pour ce faire posé sa flûte à champagne sur le sol à côté d’elle.
Dans le fond, derrière eux, j’aperçois aussi Coralie et Ginette en pleines coquineries débridées. Ginette qui parlait déjà un peu fort en début de soirée ne cesse de rire et de pousser des cris de plaisir sonores... Je me dis qu’elle a dû boire un peu trop !
La blonde s’active sans discontinuer sur la bite de l’homme chauve qui semble parfois se raidir de tout son long. Il jette des regards alentour, notamment dans ma direction, peut-être intrigué sur la nature de mon sexe ( !) mais visiblement satisfait d’être regardé. Il profite aussi du spectacle que nous lui offrons, moi la blonde en train de sucer la grosse bite d’Edouard qui doigte et lèche ma chérie debout à côté de lui.
Au bout d’un moment, la blonde prend la queue de l’homme dans sa main et se met à le branler vigoureusement et sans relâche. En même temps elle saisit sa flûte à champagne sur le sol. L’homme gémit de plus en plus fort, il murmure dans un râle : « ah, oui ! je viens... » Et effectivement, la blonde lui soutire deux ou trois jets puissants de sperme qu’elle « verse » dans sa flûte à champagne... Joli précipité ! Tout le monde les regarde, et la blonde, sans sourciller, lève sa flûte à la santé de tous puis l’avale d’un trait !
Ils ont obtenu leur petit effet avec ce jeu....
Pour ma part, je n’ai pas de flûte à champagne et Edouard ne semble pas avoir tellement envie de jouir avec moi. C’est étrange, il était terriblement collant avec moi la dernière fois, je l’avais pris pour un mort de faim au début tellement il me serrait de près en me disant, les mains plaquées sur mes fesses, qu’il adorait les belles travs sexy comme moi... En fait, il a expliqué à ma miss qu’il adorait les brunes... mais pas les blondes, ça ne passe pas, il les trouve trop bêtes ! Cela nous un peu hallucinées mais c’est ainsi : en blonde je ne lui fais pas plus d’excitation que ça ! Bon à savoir en tout ca...
Il commence à se faire tard, et certains sont déjà partis. Nous faisons nos adieux au bar, bisous ici et là, suçotement de tétons de Ginette et Coralie, petites caresses amicales... puis nous regagnons la voiture. J’ai décidé de ne pas me changer car nous sommes garées assez près et il y a peu de monde dans la rue à 2h du matin... En revanche je demande à ma chérie de conduire, je me sens un peu fatiguée.
Bien nous en a pris. Arrivées au dernier rond-point avant la maison, barrage de gendarmerie, contrôle d’alcoolémie ! J’ai eu juste le temps d’arracher ma perruque et de la jeter sur la banquette arrière. Le reste était camouflé par mon manteau mais que va-t-il se passer si ma chérie est contrôlée positive (la probabilité est forte !) et que je doive prendre le volant à sa place ? Je devrais sortir de la voiture pour la contourner, en bas résille et escarpins de 12 cm devant les gendarmes, goguenards... Gulp ! Un cauchemar !
Ma miss souffle dans l’alcootest, le gendarme, voyant sa mine déconfite, lui demande si elle a bu cette nuit.... Elle s’est en fait arsouillée toute la soirée au champagne, mais elle n’avoue, d’une toute petite voix, qu’une ou deux coupes... Le gendarme lui montre l’alcotest : zéro gramme ! Merci m’sieur l’agent, nous repartons sans demander notre reste ! Ouf, nous l’avons échappé belle !
Tout de même, nous sommes intriguées, ce n’est pas possible qu’elle n’ait même pas eu un semblant d’haleine alcoolisée avec tout ce qu’elle a bu ! Ils doivent avoir des alcootests factices avec tri des automobilistes au faciès, réservant les vrais alcootests aux jeunes mecs... car dans l’autre file, il y avait deux voitures avec des jeunes ! Nous, les vieilles rombières, on n’est pas suspectes a priori, mdr... !