De délicieuses fraises et abricots (1ère partie)

(Alpha raconte)

Bien installés dans le mini donjon, nous attendons nos proies…Elles tardent un peu à venir, tandis que ma chérie s’est agenouillée pour me sucer délicieusement.

Soudain, une belle queue apparaît dans le glory hole que nous n’avons pas obturé avec notre serviette. Elle est grosse et longue, nous échangeons un regard complice et admiratif tandis que ma Caresse la saisit et se met à la masturber sur toute sa longueur. Je prépare illico un de nos préservatifs car je commence à connaître notre scénario maintenant bien rôdé. Ma miss l’enfile sur le fier phallus pendant que je la contourne pour venir m’agenouiller  à sa gauche.

Elle a eu un peu de mal à enfiler le gant en latex car cette bite est vraiment énorme…. Mais c’est fait, elle la maintient de ses doigts en anneau à la base et s’écarte légèrement pour me laisser la place… A moi de jouer, je m’agenouille à côté d’elle et prends le gland entre mes lèvres, je le suce doucement et m’enfonce dessus progressivement, en le massant de ma langue et de mes lèvres…

Je fais un mouvement régulier de va-et-vient, de haut en bas, tantôt en relâchant la pression, tantôt en l’augmentant… Parfois j’avale le membre le plus loin possible, jusqu’à venir me caler contre les doigts de ma chérie qui maintient la hampe à sa base, le gland tout au fond de ma gorge, et je reste ainsi quelque secondes en serrant les lèvres, puis je relâche ma proie. Notre partenaire semble aimer ce jeu, il ondule de temps à autre, et nous l’entendons soupirer de contentement derrière la paroi …

Au bout d’un moment, je fatigue un peu car la position n’est pas complètement confortable pour moi, il me faudrait une petite marche de 10 cm pour appuyer les mains, le trou est légèrement trop haut placé dans la cloison. Je me retire et laisse la place à ma miss, mais l’homme se retire également… Nous regardons par le trou, il s’éloigne, il n’en pouvait plus, il est parti chercher d’autres partenaires pour se soulager !

Nous reprenons nos activités de détente dans le petit salon du donjon, mais rapidement une deuxième queue apparaît : fièrement dressée dans l’orifice de la paroi, elle semble moins longue que la précédente… mais nettement plus grosse encore ! Le gland est absolument énorme, de la taille d’une grosse fraise ! Nous écarquillons les yeux dans un échange de regards complices, et retenons à grand-peine notre rire…. Waouh, quelle bite formidable, nous allons nous régaler !

Je replonge la main dans notre réserve de présos, en déballe un nouveau que ma miss enfile avec encore plus de difficulté sur ce membre hors normes. Je reprends ma place, en améliorant un peu le confort avec un petit tabouret en skaï sur lequel je peux appuyer un coude. Et j’engloutis ce respectable phallus avec gourmandise, je sens que ma bouche est bien pleine, mais heureusement, ce sexe est plus court que le précédent et il ne vient pas jusqu’au fond de ma bouche ce qui me facilite la respiration. Mieux installé que pour le précédent, je peux donc davantage me concentrer sur la caresse buccale prodiguée : je savoure ce beau fruit longuement, avec beaucoup d’énergie et d’envie, tandis que ma chérie maintient la queue à sa base et, avec son autre main, a saisi la mienne déjà toute dure de l’excitation provoquée par la situation.

Je suis terriblement excité et il fait très chaud dans cette petite pièce, la transpiration se met à ruisseler de mon front. Je m’arrête un instant, le gland volumineux légèrement serré entre mes lèvres… mais notre homme ne l’entend pas ainsi, il se met à donner des coups de bassin pour s’enfoncer de nouveau en moi. Sa queue entame un va-et-vient soutenu dans ma cavité buccale, je le laisse faire à son rythme, c’est à la fois reposant et excitant de se laisser ainsi faire et d’endurer la façon dont l’autre prend son plaisir. Car nous l’entendons souffler et soupirer à travers la cloison, parfois son membre se raidit sur toute sa longueur, son gland devient tout dur sur ma langue, j’ai l’impression qu’il est sur le point d’exploser de plaisir….

Je me retire, pour faire une petite pause tandis que ma chérie éponge ma transpiration avec une serviette. Le phallus s’est retiré momentanément, mais il réapparaît de suite : il en veut encore ! Ma chérie le caresse d’une main, puis elle a une idée : elle se lève et se plaque contre la paroi, en entamant un mouvement d’ondulation. Je me lève derrière elle pour lui titiller les tétons, frotter mon sexe entre ses cuisses et ses fesses. Elle gémit doucement… je me demande ce que lui fait l’autre ? La caresse-t-il avec ses doigts dans la chatte, ou seulement sur le clito ??? Je vais vite le savoir….

Ma chérie s’écarte, se remet à genoux puis saisit à nouveau la bite dans sa main en me la désignant malicieusement de son autre main. Je reviens donc à genoux et la reprends dans ma bouche… O surprise, le préso a maintenant le goût de sa chatte ! En réalité, elle s’est enfilée sur cette grosse bite à travers le glory hole ! Quelle coquine, elle ne cessera jamais de m’étonner, je l’adore !

Je suce de nouveau l’énorme membre dont le propriétaire gémit de plus en plus fort tout en se tenant à la poignée de la porte, la position ne semble pas non plus très confortable pour lui, amis il n’arrête pas pour autant ! Son sexe ne débande plus du tout, il est dur comme du bois et son gland enflé me remplit tout le fond de la bouche, tandis qu’il a entamé un mouvement de va-et-vient plus furieux que tout à l’heure… Je ne cherche plus à synchroniser mes mouvements de tête, je reste immobile, passif, à supporter les assauts de cette bite dans mon intimité buccale tout en me laissant masturber par ma chérie. L’homme prend de plus en plus son pied, audiblement, il adore cette caresse… et soudain éjacule sa semence abondante dans un râle, avant que je me retire prestement. D’ultimes soubresauts agitent encore sa queue puis elle disparaît par l’ouverture du mur.

Ma chérie a vite repris sa place devant le trou, juste à temps car l’homme est venu regarder et lui sourire avant de s’éloigner, satisfait… S’il savait !

(fin de la première partie)