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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

samedi 2 octobre 2010

Vacances corsées : Ajaccio

(Alpha raconte)

Nous voici arrivés dans la ville natale de Napoléon, en cette période de l’année les touristes commencent à se faire rare et nous n’avons aucun mal à trouver un sympathique resto de poisson directement sur le port de plaisance. Notre hôtel est très classe, un quatre étoiles, installé dans l’ancienne demeure récemment rénovée d’une riche famille aristocratique corse (les rivaux des Bonaparte, en fait !). Le grand escalier est décoré de fresques du XVIIIème siècle et la cour intérieure a été aménagée en jardin exotique où l’on sert le petit déjeuner et le soir, des cocktails.

Notre chambre est bien sûr tout à l’avenant, malheureusement pas de mobilier en fer forgé… Mais la salle de bains est dotée d’un sèche-serviettes mural de haute taille, qui n’a pas échappé à mon attention. Ce long radiateur, allant jusqu’au sol, me donne des idées !

Aujourd’hui, j’ai envie d’essayer un nouveau ligotage, le shinju, en complément du traditionnel karada. Je sors les cordes -notre « matériel d’alpinisme », nom de code au cas où un curieux nous demanderait ce que nous en faisons- et je commence sur Caresse un karada soigné, sans chevauchement des brins, avec quatre gros nœuds faciaux, le dernier directement sur le clitoris. Je serre une première fois, mais pas trop, en remontant par-derrière jusqu’à son cou, je sais que la suite du ligotage va venir encore tendre davantage et je veux qu’elle supporte longtemps ce traitement. Je poursuis le ligotage par-devant, au dessus des seins, puis en dessous, sur les hanches et je finis par un nœud serrant le tout… « Hummm, délicieux cette sensation contraignant la respiration, n’est-ce-pas ma Caresse ? » « Oh oui, que c’est bon ! » me dit-elle avec une voix troublée par le plaisir qui monte en elle. Mais ce n’est pas tout, tu ne le sais pas encore, mais aujourd’hui j’ai d’autres projets ! Je sors deux autres cordes blanches, plus courtes, et j’entame un shinju, un ligotage des seins : trois tours dessus et trois tours dessous puis serrage des uns avec les autres entre les seins. Je finis en lui attachant les mains derrière le dos avec ses bracelets blancs. Je la sens vaguement interloquée, car c’est la première fois que je procède ainsi, mais elle n’a pas encore tout vu…

Je poursuis avec les pinces lestées sur ses tétons, ses seins toujours comprimés entre les cordes. L’effet est garanti ! Et surtout, au bout d’un moment, c’est pire de les enlever, tant est qu’elle préfèrera les garder !
Je la fais s’agenouiller dans une humble position de prisonnière et je lui enjoins de me sucer longuement. Comme elle ne peut pas utiliser ses mains, je suis libre d’aller et venir comme je veux. Je suis décidé à l’entraîner à la gorge profonde aujourd’hui et c’est ce que je fais. Je m’enfonce lentement dans le fond de sa bouche, me retire, puis de nouveau je m’enfonce un peu plus loin. Elle suffoque, mais elle adore… je me retire, puis je reviens à la même profondeur, ça va mieux… rien de tel qu’un peu d’entraînement pour progresser !

Au bout d’un moment, je me retire et je la redresse, je lui fixe son collier de chienne dotée d’une chaîne et je l’entraine ainsi vers la salle de bains. Je lui présente le superbe sèche-serviettes, placé face au grand miroir mural et de profil par rapport à la psyché. « Ce sera notre donjon du jour et le sèche-serviettes sera ta croix de St André ». Je lui fixe le cou et tend la chaîne à la partie haute du radiateur mural, puis je lui écarte les jambes et procède de même avec ses chevilles en partie basse du radiateur. Ainsi attachée, elle peut s’admirer dans les deux miroirs tandis que je prends une bonne douche pour me délasser. J’hésite à sortir me balader sur le port…. Mais je m’ennuierais sans elle, je préfère rester jouer avec elle ici !

Je viens m’agenouiller devant elle, non en signe d’humilité, mais pur lui suçoter les pointes des seins extrêmement sensibilisées par les pinces lestées qu’elle porte depuis un long moment maintenant. Ma belle s’agite et gémit à ce contact, je sens qu’elle aime ça et je continue, un sein puis l’autre… Je saisis les pinces plates et la deuxième chaîne et je fixe le tout à ses grandes lèvres. En position verticale, Caresse sent le poids de cette deuxième chaîne beaucoup mieux qu’à l’horizontale sur le lit. J’abandonne les tétons en feu pour venir lécher sa vulve et son clito, tout en introduisant deux doigts dans sa chatte déjà détrempée. Je la sens s’agiter de plus en plus, ses gémissements redoublent d’intensité. Les pinces oscillent au bout de ses tétons devenus douloureux et la chaîne du bas également, tire sur ses lèvres à chaque mouvement. Sa voix devient plus forte et presque suppliante, je sens qu’elle est sur le point de jouir…je dose le mouvement digital - arrêt sur image : les doigts tout au fond de son vagin puis lent retrait et nouvel enfoncement très lent… Je sens que son sexe m’appelle, elle me veut, elle ne tient plus. A chaque nouvelle pénétration, je presse fermement sur le point G qui a besoin d’une stimulation plus constante et vigoureuse que le clitoris. Puis j’accélère de nouveau, en y ajoutant quelques coups de langue savamment dosés sur le clito. A la deux ou troisième fois de ce traitement insupportablement délicieux, je décide de ne plus m’arrêter et je la caresse cette fois avec énergie. Il ne faut pas longtemps avant qu’elle explose de jouissance et crie son plaisir sans retenue. Je ralentis le mouvement, sans l’arrêter pour autant, car il y a toujours des répliques aux secousses de type sismique… elle adore lorsque je continue, il lui est arrivée d’avoir un ou deux orgasmes juste après le premier et c’est toujours un plaisir que de la voir prendre un tel pied !

Ce petit jeu de caresses coquines m’a passablement excité et ma queue est toute raide d’émotion contenue. Il serait dommage d’en rester là ! Je décroche le collier de ma bien-aimée, mais je lui maintiens les chevilles attachées et la fais s’agenouiller. Je peux lui attacher de nouveau les mains par-derrière au sèche-serviettes, pourvu de barreaux horizontaux sur toute sa hauteur presque jusqu’au sol. Très performant ce modèle de sèche-serviettes, il faudra que j’installe le même chez moi ! Caresse se retrouve de nouveau en position d’esclave sexuelle soumise, le visage juste à hauteur de mon sexe turgescent. Elle comprend tout de suite où je veux en venir et l’embouche sans faire de manières. Je lui prends la tête de part et d’autre pour mieux contrôler mon va-et-vient dans sa bouche chaude et humide, que l’on dirait parfaitement faite pour cet usage. Un vrai régal de sentir sa langue s’enrouler autour de mon gland, de s’insinuer dans les replis de mon prépuce pour le caresser sans en laisser un millimètre carré inexploré. Ses lèvres tour à tour serrent et desserrent leur pression sur ma verge, tantôt à sa base, tantôt à son extrémité la plus sensible, juste sous le gland. Cette alternance de caresses expertes me rend fou, et bientôt je me mets à fourrager sa bouche avec de plus en plus d’intensité. Sentant ma jouissance monter, elle cesse ses titillements pour attendre avec résignation l’épilogue inévitable, mains et chevilles toujours liées derrière elle au radiateur. Je sens soudain monter en moi le liquide séminal et je sais que l’issue est désormais inexorable, c’est une question de secondes… j’explose d’un seul coup sous l’insoutenable douceur de cette caresse intime et me vide en deux ou trois spasmes dans la gorge de Caresse qui avale tout avec un vrai plaisir et sans en laisser échapper aucune goutte !

Pas de doute, l’entraînement régulier porte ses fruits ! Je l’aime, ma belle complice !

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