Réveillon libertin de la St Sylvestre

(Alpha raconte)

Pour dignement fêter la fin de cette merveilleuse année libertine que fut 2009, nous avons décidé de nous retrouver, avec des amis libertins, dans ce superbe club, sans doute l’un des plus beaux de France, qui nous avait accueillis l’été dernier.

Épicuriens avant tout, nous avons réservé deux appartements jointifs à proximité, afin de pouvoir profiter au maximum de la soirée au club sans devoir à faire de la route ensuite. Et aussi pour célébrer ensemble les 32 et 33 décembre, les locations étant d’un minimum de trois nuits !

Arrivés tôt dans l’après-midi, nous y retrouvons nos complices et colocs : Pierre-Jennifer et Franck-Karine. Dans l’appartement voisin se trouvent Tristan-Yseut, Benoit-Emmanuelle, Alain-Anna. Un peu plus tard, nous sommes rejoints, par des nouveaux, un couple d’origine hispanique résidant en Suisse : Jésus et Carmen.

Notre "convoi" finit par se mettre en branle vers le club où un somptueux dîner nous attend. Nous y retrouvons Dolorès et Michel, Florent et Jade, Pepito et Ruby, ainsi que Carlos et Prune, que nous avions rencontrés pour la première fois en décembre lors d’une autre sortie.

Nous sommes accueillis au club par le voiturier qui nous demande de nous placer devant une Mercedes… Nous espérons que ces personnes n’auront pas l’envie de quitter le club trop vite, car sinon nous serons dans l’obligation de sortir déplacer la voiture, impossible pour l’autre véhicule de sortir autrement…

Le club est plein de monde, il faudra attendre un peu avant de pouvoir faire les formalités d’entrée, première surprise pour nous, le prix est le double de ce que nous pensions, sans doute une inattention de notre part… en tout cas le prix est très élevé pour une soirée de ce type !

Nous rejoignons nos amis dans le club, un petit tour au bar pour trinquer une première fois à cette belle soirée… hummm… que c’est bon de se retrouver tous ensemble pour le réveillon !

Nous faisons un peu plus connaissance avec les petits nouveaux avant de rejoindre la salle du restaurant. Les tables sont magnifiquement décorées, une attention a été apportée au décor ! Nous nous installons tous ensemble sur deux tables rondes dans la salle du fond, l’endroit est sympa, mais nos amis Michel et Dolores sont obligés de diner ailleurs, il manque deux places ! Ils dineront, nous l’apprendrons plus tard, avec Pepito et Ruby, un moindre mal, mais qui les frustrera de n’avoir pas pu être avec nous…

Le repas est à la hauteur du lieu, réputé pour sa gastronomie ! Nous vous en révélons les détails :

-        Canapés et amuses bouches

-        Huitres au caviar en gelée de champagne et sa mousse d’agrumes

-        Marbré de foie gras en habit vert au cœur de langoustine

-        Trou normand : le coup du grand père

-        Pavé de bison sauvage en croute de truffes sauce grand veneur

-        Nid de petits légumes en fleurs de sel

-        Dôme chocolaté à la mandarine

-        Café, vin, champagne à volonté

-        Soupe à l’oignon

-        Petit déjeuner, croissants, petits pains au chocolat, café,

-        Open bar toute la nuit

Le champagne était à volonté, mais l’info est resté confidentiel ! Rire ! Nous n’étions pas venus pour boire, mais pour nous amuser avec nos amis libertins… et c’est ce que nous avons fait après avoir danser un peu ! Lassez, au bout d’1h, par le sosie de Cloclo, nous nous sommes éclipsés tous les deux à l’étage !

Nous avons découvert les coins câlins, superbement équipés, tant au niveau sanitaires qu'alcôves où nous bénéficions d’un grand lit carré revêtu d’un grand drap en coton blanc et doté de coussins rouges en forme de cœur. Le lit est surmonté d’un vaste baldaquin avec des voilages fins dans des tons chauds de l’orangé au rouge. Au passage, nous entendons des gémissements de plaisir et Caresse me dit reconnaître la voix d’Yseut : effectivement, nous trouvons nos deux amis avec un couple inconnu, nous leur faisons discrètement un petit câlin avant de continuer notre découverte du lieu, que nous n’avions pas pu visiter la 1ere fois que nous sommes venus, tant il y avait de monde….

Nous nous installons sur le grand lit carré, quel plaisir ce contact du coton au lieu de l’habituel skaï source de transpiration en à peine quelques minutes. Avec quelques coussins calés derrière la tête, nous sommes confortablement installés pour une nuit promettant d’être longue. Caresse m’a totalement dévêtu, mais est restée parée de sa splendide tenue sexy blanche : une merveille ! Nous nous caressons doucement, allongés sur le dos, ce qui constitue une invitation de notre part et nous permet de voir passer d'éventuels partenaires de jeu. Nous voyons passer beaucoup de monde autour de cette grande alcôve de 4 mètres sur 4, certains s’attardent, nous regardent par les lucarnes situées à deux extrémités du lit, mais aucun ne vient nous rejoindre sur le matelas…

A un certain moment, une fille en lamé tente d’attirer son homme sur le lit mais celui-ci résiste. En le tirant par la main, elle se laisse tomber en arrière et atterrit la tête contre ma cuisse. « Scusi », me dit-elle, pour réponse j’allonge ma main droite sur son abdomen et je la caresse doucement. Elle se laisse faire, mais Monsieur résiste, finalement il réussira à extraire son italienne du lit et à disparaître bien vite avec elle, sans doute pour retourner « en sécurité » sur la piste de danse…

Caresse a détaché son collier de soumise, il lui tient trop chaud ! A ma grande surprise, elle a eu la très bonne idée de me ligoter les deux poignets avec ! Elle peut ainsi me caresser et me lécher à son rythme, comme elle l’entend, quel bonheur pour moi. Les voyeurs autour du lit semblent encore plus réticents à y monter, mais y a-t-il vraiment un lien de cause à effet, pas certain, les voyeurs sont nombreux ce soir !

Depuis un moment, une femme nous observe par la lucarne nous surplombant, elle a passé le haut du corps à travers l’ouverture, elle a une quarantaine d’années, des cheveux bruns mi-longs, difficile d’en dire plus dans la pénombre qui nous entoure. Soudain elle commence à s’agiter et à gémir, nous réalisons alors qu’elle n’est plus seule, qu’il y a derrière elle un monsieur en train de la prendre par derrière. C’est nous alors qui sommes au spectacle, la dame ne nous regarde manifestement plus, mais nous apprécions son doux chant de plaisir !

Nous varions les positions et c’est mon tour de faire un cunnilingus à ma miss, qui s’est placée sur ses genoux, moi à quatre pattes devant. Un couple s’approche à ma gauche, au bord du lit et madame – une blonde cette fois – vient encourager Caresse en lui léchant les seins dans un premier temps, puis en l’encourageant verbalement ensuite. Pendant un long moment, elle me regardera lécher l’intimité de ma caresse, comme si elle désirait prendre un cours, sentant le plaisir de caresse monter, elle l’encouragera de sa voix « ouiii, vas-y, prend ton pied ma belle » lui disait-elle, excitant ma miss de plus belle, hummm quelle est belle excitée comme ça, j’accélère les mouvements de ma langue, j’appuie un peu, mais pas trop pour ne pas la faire grimper aux rideaux tout de suite !

Pour ma part, je glisse ma main gauche libre sous le bustier de la dame et lui caresse alternativement le dos et les seins. La chanson de ma belle complice est montée d’un cran lorsque j’ai ajouté ma main droite à ma langue, pour activer à la fois le clitoris et le point G. Le rythme s’accélère alors fortement, Caresse a, dans l’intervalle, saisi la queue dure du monsieur à sa droite. Notre quatuor vibre ainsi un bon moment jusqu’à ce que ma chérie n’en puisse plus et se lâche totalement dans un puissant orgasme qui m’inonde le visage. La femme blonde, visiblement satisfaite d’avoir contribué à ce tableau s’éclipse en souriant, tandis que Caresse continue de branler monsieur pendant que je m’allonge un peu. Je les regarde tous les deux et je vois Caresse lui parler. Manifestement monsieur ne parle pas français – nous ne sommes pas très loin de l’Italie ici – et la conversation, comme les caresses tournent court. Il s’est avéré après coup que le monsieur voulait la prendre, il avait commencé à sortir un préservatif de sa poche montrant son envie, mais ma Caresse, non-échangiste, a refusé sa proposition !

Notre grand lit carré s’est rempli pendant que nous avions le dos tourné, nous y retrouvons certains de nos amis : Pierre et Jennifer, Franck et Karine, Florent et Jade. Un joyeux mélange s’est installé entre eux, nous nous y ajoutons. Caresse commence à lécher l’entrecuisse de Jade, allongée sur le dos et dont la bouche s’occupe de Florent. Je masse doucement les épaules de ma miss jusqu’à ce qu’elle m’enjoigne de la remplacer entre les cuisses de Jade. Dans le même temps elle rejoint Florent qui a ainsi la chance d’être chouchouté par les deux femmes. Dans ma position, je ne perçois pas très bien ce que font les quatre autres sur ma droite, même si je sens de temps en temps des changements de position et de partenaires. Je finis par laisser Jade au bord de l’orgasme pour qu’elle poursuive ses ébats avec Florent qui décide de la prendre en levrette. Caresse et moi nous mélangeons pendant ce temps avec nos autres amis, nous aimons ce mélange des corps et ce partage des plaisirs.

Un nouveau couple apparaît sur le lit, des trentenaires, la jeune femme s'appelle Sylvia, elle est fine dans une jolie robe rouge courte et légère, porte jarretelles et bas noirs sur des escarpins à talons hauts. Elle s’est mise à quatre pattes à côté de moi, pour que son homme la prenne en levrette. Lui a le crâne rasé, il est svelte mais peu expressif. Sa chérie l’est beaucoup plus, ses cheveux mi-longs viennent me caresser la cuisse droite à chaque coup de son mâle qui la pousse vers l’avant en soupirant de plaisir. Caresse, entre mes jambes lui a pris la main et a commencé à lui caresser les cheveux. Je glisse ma main droite sous sa robe légère pour lui palper les seins, à travers le soutien-gorge puis à l’intérieur de celui-ci. Sylvia apprécie cette triple source de plaisir, elle se redresse par moments et embrasse Caresse à pleine bouche. Avec une de ses mains, elle titille les seins de ma miss qui gémit de plaisir. Ma main continue de se promener sur le corps de Sylvia allant des cheveux aux pointes de seins que je pince délicatement, puis sur l’abdomen et, par-dessus le porte-jarretelles jusqu’au sommet du pubis, son homme continuant de la prendre avec un plaisir non dissimulé pendant tout ce temps. Caresse me masturbe comme elle sait si bien le faire, source de plaisir savamment dosée qui peut durer des heures pour moi. Sylvia vient de temps à autre m’embrasser à la française, elle n’est clairement pas italienne ! Caresse lui propose de s’occuper de mon sexe, pendant qu’elle se rapproche du chéri de madame toujours occupé à pilonner la chatte de sa belle. Sylvia saisit ma queue en érection et la caresse avec beaucoup de doigté et d’efficacité, à la fois doucement et fermement. Puis elle l’enfourne dans sa bouche et là, je m’envole un cran, elle me fait planer beaucoup plus loin : elle a du savoir-faire, son va-et-vient buccal me rend littéralement fou.

Monsieur ne cesse de la fourrager pendant ce temps-là, tout en s’occupant dorénavant de ma Caresse, il stimule avec habileté son point G, tout en l’embrassant avec délectation… les gémissements de ma miss témoignent du plaisir qu’elle prend…

J’ondule de plus en plus et, Sylvia se contrôle de moins en moins, sa jouissance monte progressivement, au rythme de la montée du plaisir de son chéri, il approche de l’orgasme. Il y parvient dans un rugissement de plaisir ! A ce moment Sylvia et Caresse se mettent aussi à crier ! Quel concert ! Sylvia a repris mon sexe dans sa main pendant sa jouissance et, après une brève interruption, se remet à me masturber fermement. Cette fois, je ne tarde pas à atteindre mon extase et à jouir dans sa main experte.

Un délicieux moment de partage auquel nous ne ferons même pas allusion, une demi-heure plus tard lorsque nous les retrouverons au bar, à l’étage inférieur, pour trinquer ensemble, à la nouvelle année !

Hummm… quel bonheur ces moments libertins !