Je vous ai souvent raconté les
nombreuses fellations que j’ai pratiquées dans les glory holes ou dans les
cabines coquines, jusqu’à 10 mecs à la suite dans la même séance… Mais je ne
vous ai pas parlé d’autres rencontres où je fais aussi la fille pour ces
hommes... et pas avec la bouche seulement.
A Toulouse, lorsque je sortais
très souvent travesti en blonde sexy (Sophia pour les intimes), il m’est arrivé
plus d’une fois que les préliminaires de fellations se poursuivent en cabine
avec le ou les heureux bénéficiaires et que je me fasse ainsi sodomiser en
levrette, parfois en même temps que je suçais une autre queue… Il y a eu quelques
parties mémorables, dont l’une avec nos amis espagnols Rob et Maria. Je me
souviens qu’à un certain moment, j’étais sur le dos dans l’angle des glory
holes, mes longs cheveux blonds épars autour de moi, en train de me faire
enculer par un type très bien membré (je ne suis plus sûr que ce fût Roberto) pendant
que je suçais une autre queue sur mon côté gauche et que j’en masturbais une à
travers un glory hole sur la droite. Et, cerise sur le gâteau, plusieurs
bouches féminines (Caresse, Maria…) en avaient profité pour me sucer en même
temps. Je garde en mémoire ce moment comme une représentation tangible de ce
que pourrait être le Paradis…
Lors de mes sorties en solitaire
à Bordeaux, j’ai le plus souvent renoncé à la blonditude et je sors juste comme
je suis, en quinquagénaire grisonnant. On m’a en effet souvent dit – femmes,
trans ou hommes – que j’étais sexy et « appétissant », au point même
que certaines trans ou certains hommes disent vouloir m’épouser ! Je les
déçois quand je leur réponds que je ne cherche personne car je suis déjà en
couple et, circonstance aggravante, avec une femme (bio) !!!
Il n’empêche, je rencontre
certains partenaires avec qui cela va au-delà d’une simple branlette manuelle
ou d’une fellation éjaculatrice dans les glory holes. Quelques-uns en effet,
après avoir été passablement excités par mes soins (et surtout ma langue et mes
mandibules) me proposent de passer dans une cabine où nous nous enfermons à
deux pour ne pas être systématiquement dérangés par les hommes seuls ou les
travs qui tournicotent à l’étage.
Il y a un côté
« surprise » car on ne distingue pas très bien son partenaire à
travers les fentes du mur. Je me souviens ainsi d’un homme très petit, que
j’avais longuement sucé et qui bandait bien dur. Sa taille m’a surpris quand il
a fait le tour de la paroi pour me rejoindre : je le dominais d’une tête
et ceci sans mes escarpins de blonde ! D’habitude, quand je suis dans
l’esprit de faire « la fille » je m’attends à des partenaires
dominants, plus grands que moi.
Un autre, que j’avais
pareillement sucé presque jusqu’au point de non-retour, m’a proposé de passer
dans le coin câlin aux glory holes (sans ventilo). Il était nettement plus
jeune, la trentaine, un peu bedonnant, mais avec un visage souriant. Il
s’allonge sur le matelas, je le suce longuement tandis que des queues
apparaissent dans les trous de la paroi, ce qui me permet de les caresser à la
main. Finalement, mon « ami » souhaite lui aussi me prendre. Je
l’équipe et lui demande dans quelle position il souhaite m’enculer : il me
dit qu’il préfère rester allongé sur le dos et me demande de m’asseoir sur lui…
Alexandre le bienheureux !
Je n’ai pas trop l’habitude,
j’essaie de m’enfiler sur sa bite dure en me tenant à genoux de part et d’autre
de ses cuisses mais ça ne marche pas. Finalement je m’accroupis sur mes pieds
et parviens à enfiler sa queue dans mon petit trou en m’aidant de la main
droite. Il m’aide aussi en me tenant par les hanches et se met à me donner des coups
de bassin. C’est une position assez nouvelle mais que j’ai trouvée excitante
pour moi car plus humiliante que quand je me fais enculer en levrette.
L’homme ne tarde pas à jouir dans mon intimité et, après une toilette succinte,
me remercie lui aussi pour ce délicieux moment.
Un autre partenaire plutôt
taciturne m’avait invité un jour à aller dans ce même coin aux glory
holes et nous avions passé un long moment à nous sucer mutuellement en 69. In fine, je l’avais fait
jouir à la main.
Parmi ces gentlemen du libertinage bisexuel,
François s’est avéré un partenaire très intéressant, qui m’a fait découvrir lui
aussi une nouvelle position. Après l’avoir longuement sucé dans les glory holes
et constaté qu’il était très bien membré, nous sommes passés aussi dans la
cabine climatisée. Après que je l’eusse de nouveau sucé en m’agenouillant
devant lui, il avait adopté un style dominant car il me trouvait assez
« soumis », surtout quand je lui avais confirmé avoir des jeux de
type D/s avec ma Caresse. François m’aurait, lui aussi, bien doté d’un collier
de soumis dont il aurait gardé la clef… Une forme de demande en mariage ?
Finalement, il me demande de
m’allonger sur le dos sur le matelas haut… Mais lui reste debout à côté. Je ne
comprends pas trop bien ce qu’il veut. Il me fait me placer au bord, la nuque
sur le rebord du matelas et la tête un peu en arrière dans le vide. Il me
présente alors sa bite en érection et me la fourre dans la bouche, tout en
bloquant mes bras avec les siens. Je comprends alors qu’il va me faire faire
des gorges profondes à l’envers ! Et c’est en effet ce qu’il fait,
alternant le teasing de son gland volumineux sur mes lèvres avides et les
poussées de son braquemart jusqu’à la garde au fond de ma gorge où il demeure
quelques instants pendant que je suis en apnée ! Un jeu très excitant… que
je ne demande maintenant qu’à renouveler !!!
Après avoir longuement joué à
deux dans la cabine, nous avons ensuite pris ensemble un pot au bar du
rez-de-chaussée ce qui nous a permis de mieux faire connaissance et d’échanger
nos numéros. Un partenaire précieux, à conserver !!!
P.S.: Deux ans plus tard... bien qu'assez assidu au Container, je n'ai jamais revu François!
P.S.: Deux ans plus tard... bien qu'assez assidu au Container, je n'ai jamais revu François!