un weekend libertin entre amis...
(suite du récit
précédent, Sophia raconte)
… Après cette torride soirée du vendredi au Différent, nous avions besoin d’un peu de repos. Au programme donc, grasse matinée samedi matin ! Il fait déjà grand jour quand Caresse et moi entendons un peu de bruit du côté de la cuisine. Nos amis sont déjà levés, ils ont manifestement plus d’énergie que nous ces jeunes !
Nous les trouvons en effet sur la
terrasse du jardin, en train de bouquiner : ils nous ont attendu pour le
petit déjeuner que nous nous empressons de préparer. J’ai en tête de leur faire
une petite surprise ensuite : je m’éclipse dans la chambre pour me
transformer en Sophia… Ils savent en effet que je le fais souvent mais ils ne
m’ont pas encore vue ainsi. Je choisis ma petite robe blanche légère, avec son
ruban noir sous les seins, ma grande perruque blonde, maquillage modéré et
bijoux pas trop clinquants. Je me fends pour l’occasion d’une paire de Dim Up
transparents tout neufs et, pour le confort, je chausse mes sandales blanches à
semelle de liège.
Quand je les rejoins dans le
salon, un grand moment de silence s’installe… Il y a toujours une part
d’étonnement et souvent de fascination quand Sophia apparaît. En tout cas,
Sophia semble leur faire impression et, atout non négligeable, la blonde a des
pulsions ménagères irrépressibles : elle va pouvoir de suite préparer
l’apéro !
Nos amis sont plus détendus que
la veille et ils commencent à connaître la carte de la barmaid. Piña colada, Mojito,
Blue Lagoon et autres Grasshopper font déjà figure de favoris. De petits œufs
de caille, quelques charcuteries et des petits légumes crus viennent compléter
le menu. Nous passons un délicieux moment de détente, conversant agréablement
avec nos nouveaux amis avant de passer à table pour le déjeuner. Les trois
femmes se mettent à la cuisine : Pierre est un vrai coq en pâte !
L’après-midi continue sur la
lancée, entre jeux de société, partage de photos et de vidéos, petite sieste –
non crapuleuse – et un jogging pour Florence en fin d’après-midi. Je finis par
me démaquiller et redevenir Alpha avant le dîner. Il faut ensuite penser à se
préparer pour la sortie au club qui ouvre à 22h. Le thème de la soirée :
pole dance, il semble que nous devrions avoir une démo faite par les jolies
filles d’un club local… C’est prometteur !
Pour ce samedi soir, nous visons en
effet un club ouvert assez récemment et que nous ne connaissons pas
encore : le 113 Avenue à Eysines. Il se présente comme une
« discothèque libertine », à laquelle a récemment été adjoint un
espace humide (sauna – jacuzzi) auquel on accède par l’extérieur. Comme nous
visons de ne tester que la discothèque – Florence aime beaucoup danser – nous
ne prévoyons pas de passer par la partie humide. Nous nous habillons donc en
conséquence : pour ma part j’ai retrouvé mon body moulant noir que je mets
par-dessus mon pantalon en coton huilé noir lui aussi. Très sexe…. selon ma
miss, qui choisit sa petite robe noire, avec les bas noirs et le
porte-jarretelles assorti. Le tout perché sur ses superbes escarpins
vertigineux rouges et noirs avec une petite chaînette à la cheville.
Nous parvenons au club vers
22h30. Le parking est encore très vide ce qui nous permet de nous garer sur une
très bonne place près de l’entrée. Heureusement d’ailleurs, car il pleut à
verse ! Les dames ont hésité à s’habiller complètement et ont préféré
garder leurs escarpins à la main pour ne les mettre qu’une fois au sec à
l’intérieur. Florence se révèle une fois entrée : corset burlesque rouge,
hauts talons et superbe maquillage avec des boucles d’oreille en plumes noires…
Pierre est habillé beaucoup plus classique, comme la plupart des hommes en club
sec d’ailleurs.
Nous optons pour la formule avec
bouteille de champagne maison et commençons par visiter les installations. Nous
sommes pour l’instant les seuls clients, ce qui nous permet de faire un tour
des coins câlins en toute quiétude. Bonne première impression : les
installations sont spacieuses et tout semble très propre. Nous repérons en
particulier, tout au bout du couloir, deux grands coins câlins séparés par une
grosse grille aux barreaux noirs…
De retour sur la piste de danse,
la salle s’est un peu remplie et nous décidons de nous installer dans un salon
d’angle que nous pensons bien situé par rapport aux barres de pole dance.
Jusqu’à 23h45 il ne se passe quasiment rien et nous sifflons notre bouteille de
champ’ ainsi que quelques cafés. Au bout d’un moment, Florence et Pierre vont
sur la piste et se mettent à danser, ce qui a pour effet de décider quelques
autres couples à les rejoindre. Ils ont finalement lancé la soirée car le DJ se
contente de passer les bandes, il n’intervient aucunement pour créer l’ambiance !
Nous les rejoignons pour nous
trémousser un peu avec eux. Mais rapidement apparaissent près de nous quelques
jeunes créatures de rêve, cambrées et musclées dans d’affriolantes petites
tenues sexy. Leur corps est revêtu d’un enduit qui assombrit la peau mais est
rehaussé sur leur visage et certaines parties de leur corps d’arabesques
fluorescentes sous la lumière noire. La première fille se lance sur l’une des
barres au centre de la piste et commence à virevolter au son de la musique. Les
suivantes enchaînent dans un tourbillon impressionnant de vivacité, de
souplesse et de grâce. Un spectacle vraiment assez fascinant qui démontre une
grande maîtrise et sans doute de nombreuses heures d’entraînement de la part de
ces filles.
Le spectacle dure une petite
demi-heure, en deux parties. A l’issue, nous tombons d’accord avec Florence et
Pierre pour trouver qu’il est temps de passer dans les coins câlins.
Nous filons directement dans le
coin du fond, celui avec la grosse grille noire qui le sépare du coin voisin.
Avantage supplémentaire : il est équipé d’un gros ventilateur. Au passage
nous constatons que toutes les autres alcôves sont désespérément vides. On s’y
attendait un peu : nous savons depuis longtemps que ça coquine peu en club
sec et en tout cas pas avant 2 ou 3 h du matin…
Florence et Caresse montent sur
le matelas, tandis que Pierre essaie de fermer la porte. Problème : elle
ne ferme pas, elle est délibérément bloquée ouverte et un panonceau indique que
c’est voulu ainsi pour le plaisir des uns et des autres (entendons : les
exhibs et les voyeurs). Le seul petit souci est que nos amis sont encore un peu
débutants et n’apprécient pas trop de jouer dans un espace ouvert où n’importe
qui peut entrer. Mais ils ne disent rien malgré tout, et nous continuons de
nous installer.
Ma chérie a tout de suite tombé
ses vêtements, elle a horreur d’avoir trop chaud et elle est très contente de
pouvoir se mettre entièrement nue. Pierre fait de même mais Florence conserve
pour l’instant son beau bustier rouge et moi je me contente d’ôter mes
chaussures pour l’instant. Sachant que Florence a des envies de jeux de
soumission, j’ai décidé de lui ajouter notre collier rouge et noir de soumise.
Je le lui passe autour du cou, ainsi que des bracelets assortis à ses
poignets : elle se laisse faire, avec un plaisir évident.
Toute fière, elle s’empresse de les
montrer à son chéri pendant que je m’installe à plat ventre entre les cuisses
de ma Caresse pour lui prodiguer mon célèbre cunnilingus AOC.
Ma miss se laisse bien aller et
je l’entends gémir de plus en plus fort. Mmm… je pense qu’elle ne va plus
tarder à jouir si je continue comme ça avec ma langue coquine et, pour faire
bonne mesure, je lui fourre deux doigts dans le vagin pour stimuler son point G
en même temps. Du coin de l’œil je vois que nos amis ne sont pas en
reste : c’est Florence qui fait une fellation à son chéri sur ma droite.
Mais quelque chose perturbe ma
miss, elle a du mal à se lâcher complètement et je ne comprends pas pourquoi:
je fais pourtant tout ce qu’il faut. Elle se redresse et, de la main, m’enjoint
de passer derrière Florence pour m’occuper de son petit trou. En fait, comme
elle me le dira plus tard, un homme seul s’était faufilé dans notre coin câlin
et nous matait depuis presque 10 mn en s’astiquant vigoureusement la
zigounette, pile poil dans son champ de vision. Ce genre de happening n’a pas
l’heur de l’exciter, bien au contraire, ça a plutôt tendance à lui casser son
coup !...
(à suivre)