(Alpha raconte)
Nous voici de retour à Toulouse pour un petit weekend en amoureux. Des amis nous ont proposé l’hospitalité dans leur somptueuse villa avec piscine, qu’ils ont le bon goût de nous laisser pour le weekend : ils doivent partir samedi matin pour ne rentrer que dimanche soir ! Nous dînons avec eux à notre arrivée, près d’un bon feu de cheminée : notre hôtesse est de surcroît un vrai cordon bleu, le confit de canard est excellent, arrosé d’un bon petit Pauillac que nous leur avons amené…
Le
lendemain c’est grasse matinée, avant d’aller déjeuner dans
notre restaurant de sushis favori. Mais le club n’est pas encore
ouvert quand nous en sortons, nous décidons d’aller prendre un
café sur le boulevard malgré le temps menaçant. En revenant, nous
trouvons le rideau métallique levé et Mélanie à l’accueil. Elle
est super contente de nous voir, elle sort même de son guichet pour
nous faire la bise… et nous montrer son petit ventre qui
s’arrondit. Un petit garçon, qui devrait être là en mai
prochain.
Nous
redécouvrons ce club que nous aimons beaucoup. Il a encore été
rénové dernièrement, il est carrément superbe : nouveaux
planchers, nouveaux meubles (sofas, tables) dans le lounge qui lui
donnent l’air plus spacieux qu’auparavant. Une nouvelle cage de
pole dance a été installée. La déco et les éclairages ont eux
aussi été améliorés, ils créent une nouvelle ambiance à la fois
tamisée et sensuelle. C’est vraiment très réussi et, ajouté aux
précédentes rénovations (jacuzzi, sanitaires, coin câlin avec
croix, cage et faux feu de cheminée) cela en fait l’un des plus
beaux clubs de Toulouse, décidément notre préféré.
Nous
passons d’abord au jacuzzi, nous en avions très envie avec ce
temps gris et frisquet de février. Le bassin d’eau chaude est
désert, mais nous sommes rapidement rejoints par trois hommes seuls
qui se répartissent sur le pourtour, en nous guettant dans la
pénombre : des piranhas… Puis deux couples arrivent et
quelques hommes seuls. Dont un que ma miss reconnaît aussitôt :
c’est l’un de nos ex-partenaires de jeux, un type doux et sympa
mais qui bande mou, nous n’avons pas très envie qu’il nous
reconnaisse et nous colle au train !
Nous
sortons du jacuzzi alors qu’il vient à peine d’y entrer et
passons au sauna. Pas de bol, il arrive sur nos talons et nous salue
par nos prénoms… (mot de Cambronne)… ! Il nous a bien
reconnus, d’ailleurs il m’appelle même par mon prénom de fille,
Sophia, c’est dire s’il se souvient bien de nous ! Par
chance, entre dans le sauna une femme seule assez âgée et délurée
qui parle fort en s’essuyant avec la serviette (le sauna sert de
séchoir pour certains libertins). Avisant l’homme elle décide de
s’asseoir sur ses genoux pour continuer de se sécher, tout en
faisant quelques remarques graveleuses sur le service trois-pièces
du monsieur… J’en profite pour entraîner ma Caresse dehors, nous
filons nous installer dans le coin des glory holes, réservé aux
couples !
Zut, la
cabine à trous, comme disent certains, est occupée par une
travestie longiligne dans le noir… Le coin du fond à droite est
également occupé par un couple en train de copuler en missionnaire…
Nous nous installons donc dans l’alcôve au fond à gauche et je
commence un délicieux cunni sur ma chérie. Assez rapidement,
j’entends un bruit de talons puis la porte du coin couples qui
s’ouvre et se referme : j’en conclus que la trav est partie
et je me précipite vers la cabine des glory holes : bingo !
Plus personne en vue, nous nous y installons.
Je
reprends mon cunnilingus interrompu sur ma belle qui s’est allongée
sur le dos au fond du matelas. Un bras passe par l’un des trous
pour venir lui caresser les seins en même temps. Cela dure un bon
moment mais aucune queue n’apparaît dans les autres trous.
Finalement, l’homme caressant remplace son bras par sa bite en
semi-érection. Ma chérie se tourne sur le côté et commence à
stimuler ce membre de sa menotte enveloppante. Elle me demande un
préso que je lui trouve immédiatement dans notre sac à malices.
Ma
Caresse se place alors à quatre pattes pour pouvoir la sucer. Elle
met ce sexe masculin en grande forme par ses subtiles caresses
buccales savamment dosées. Puis elle se tourne vers moi avec son
regard coquin, je comprends tout de suite qu’elle veut me la
transférer maintenant. A mon tour, je la prends délicatement entre
mes lèvres et commence à sucer le gland en aspirant et en exerçant
dessus une pression avec mes lèvres. Puis je me mets à coulisser le
long de ce membre que je sens durcir de plus en plus dans ma bouche
humide et gourmande.
Ma chérie
a pendant ce temps entrepris de me caresser, elle me fait bander très
dur avec sa main puis sa bouche suave et chaude. Au bout d’un
moment cependant, l’homme que je suce se retire et s’en va. C’est
l’occasion pour nous de reprendre nos douces caresses à deux.
Mais une
nouvelle queue apparaît rapidement dans le trou qui vient d’être
abandonné. Ma chérie s’en empare, l’équipe d’un préso à la
fraise puis, comme la précédente, me la transmet : elle adore
presque davantage me voir prendre du plaisir qu’en prendre
elle-même et par ailleurs elle n’apprécie pas trop les grosses
bites car elle a une trop petite bouche tandis que moi, les formats
XXL ne me font pas peur.
Je suce
longuement cette agréable queue légèrement courbée vers sa
gauche, l’homme ondule doucement en rythme et ma miss me gratifie
en même temps d’un doux anulingus comme elle aime. Elle me doigte
également et me fait ainsi gravement monter dans les tours mais elle
s’interrompt car une nouvelle queue est apparue dans un trou
latéral. Elle la caresse mais la trouve trop molle apparemment,
c’est peut-être notre ami du jacuzzi ? Je lâche un instant
la mienne pour lui lancer un regard inquisiteur et j’entends alors
la voix de mon partenaire nous appeler par nos prénoms ! Celui
de ma miss, puis mon prénom de fille…
Ma chérie
se met à dialoguer avec lui. Il dit s’appeler Michel (ce n’est
donc pas Mister-bande-mou aperçu tout à l’heure) et que nous
avions joué ensemble il y a quasiment un an. Ma miss lui propose
donc d’entrer avec nous, il ne se le fait pas dire deux fois !
Elle lui ouvre la porte et je (re-) découvre un petit homme âgé
avec des lunettes carrées, l’air gentil, mais je ne me souviens
absolument pas de lui ! Lui non plus, d’ailleurs, ne se
souvient manifestement pas de moi, je devais être en blonde
sulfureuse la dernière fois qu’on a batifolé ensemble !
Michel
s’allonge sur le dos et je me remets à le sucer illico. Ma chérie
s’est allongée à côté de lui ce qui permet à notre ami de lui
peloter les seins tout en l’embrassant. Puis Michel joint le geste
à la langue et se met à lui stimuler le clito déjà passablement
émoustillé par mon cunnilingus. Assez vite, il trouve le déclic
car j’entends ma miss avoir un premier orgasme en même temps que
la queue de Michel se raidit dans ma bouche.
Tout à
coup, je vois un homme seul se présenter à la porte de notre
alcôve, il entre en se masturbant… Je me demande d’où il vient,
nous comprendrons après qu’il est entré avec la grande trav
blonde longiligne qui l’a presque aussitôt abandonné à
l’intérieur du coin réservé aux couples ! Il se tient
debout devant mon visage, la bite en demi-érection alors que je suis
en train de sucer activement la queue de Michel qui a doublé de
volume. Comme il reste là à attendre, je prends sa bite dans ma
main droite et je me mets à le branler tout en continuant de sucer
Michel.
Il se
hisse à genoux sur le matelas avec nous, je commence à le trouver
un peu envahissant et ma miss me dira ensuite qu’elle avait la même
impression mais qu’elle na rien dit parce que je m’occupais de
lui. Je garde Michel dans ma main gauche et je tends mes lèvres vers
la queue de l’inconnu, je lui lèche les couilles et la hampe mais
il préfère manifestement autre chose et me fourre son gros gland
entre les lèvres. En deux ou trois coups de hanches, il s’enfile
dans ma bouche et se met à onduler des hanches en poussant des
gémissements.
Puis
l’homme prend mon poignet droit et dirige ma main vers ses fesses
tout en se penchant davantage vers Michel et ma Caresse. Comme je ne
veux pas le sucer trop longtemps sans préservatif, je relâche sa
queue et le laisse passer vers Michel, en glissant ma main vers ses
fesses. Je peux ainsi lui doigter le petit trou, pendant qu’il est
penché vers l’avant, cherchant apparemment à s’immiscer entre
Michel et ma chérie. Mais celle-ci ne le laisse pas faire, il ne
parvient pas à s’imposer, se redresse et me demande de lui mettre
du gel lubrifiant.
Je trouve
un petit sachet fourni par le club et lui enduis la raie, en en
profitant pour lui enfoncer mon majeur bien profond. Il soupire et
dit qu’il veut se faire enculer… ma miss lui propose de s’asseoir
sur la bite de Michel qui n’a pas débandé bien que je ne m’en
occupe plus. L’homme tente de s’y empaler – Michel est toujours
sur le dos – il s’y essaie à deux ou trois reprises mais sans
succès. Pour ma part, j’ai trouvé une nouvelle queue dans les
glory holes puis une deuxième, je les masturbe en même temps et les
sens bien durcir dans mes deux mains.
Finalement,
sur l’instigation de ma miss, l’homme se met à quatre pattes et
Michel le sodomise en levrette. Ce dernier nous dira ensuite qu’il
n’en avait pas très envie mais que, dans le feu de l’action, si
ça pouvait arranger la situation… A ce moment, un autre homme seul
entre dans notre coin câlin, il parle à ma miss et dit aussi nous
connaître – je n’en ai aucun souvenir, mais bon, les hommes
seuls nous photographient mieux que l’inverse ! Ma miss, en
revanche, le reconnaît et le fait s’allonger sur le dos à côté
de Michel et de l’inconnu qui continue de se faire ramoner en
levrette.
Je lâche
mes deux bites et nous nous mettons immédiatement à sucer le
nouveau venu en duo. Il a une bite épaisse mais assez courte et
pointue, par ailleurs il est doté de couilles absolument énormes :
dans ma main, j’ai l’impression de tenir quelque chose de la
taille d’un gros pamplemousse. Peu après nous voyons l’inconnu
qui se faisait prendre par Michel ressortir de notre cabine. Nous
poussons intérieurement un soupir de soulagement : ce gars nous
a paru à tous les trois le type même de l’égoïste qui demande
tout sans rien donner en retour. Bon débarras !
Notre
nouvel ami est nettement plus partageur. Nous le suçons un long
moment en nous partageant son gland et ses grosses couilles mais il y
a un petit problème : le préso ne tient pas bien sur sa bite
pointue, il a tendance à se ré-enrouler sur lui-même et se
défaire. Je lui propose d’en mettre un autre, mais le temps que
j’en cherche un dans notre pochette l’homme s’est relevé et a
pris congé !
Nous
restons donc à trois avec Michel, tout heureux que nous puissions de
nouveau nous consacrer à lui à 100% voire même à 200%.
Mais la
porte s’ouvre à nouveau et c’est la grande trav blonde qui
réapparaît. Cette fois elle nous regarde et commence à causer.
Michel lui fait signe de nous rejoindre mais elle fait la difficile,
disant que le libertinage n’est plus ce qu’il était, qu’il n’y
a plus rien de valable à sucer et que de toute façon elle ne joue
pas avec les hommes en couple… OK, on a compris, encore une qui
cherche un mari, elle doit être encore plus insupportable qu’une
femme bio en mode princesse. Nous n’avons aucun état d’âme à
la voir partir !
Au bout
d’un moment je fais une pause, le Michel est trop endurant, il
bande sans arrêt mais ne jouit pas ! Ma chérie croit que je
m’ennuie alors elle s’arrête aussi. L’heure a tourné et notre
temps de parking doit être dépassé. De plus, nous sommes invités
à dîner chez des amis ce soir, nous décidons donc d’en rester là
pour cette fois. Michel n’est pas vraiment déçu, juste un peu
surpris de ne pas avoir encore joui, d’habitude ça lui arrive plus
vite. Nous lui répondons que ce n’est pas grave, nous adorons
avoir des partenaires qui jouent longtemps, l’éjaculation n’est
pas pour nous une fin en soi.
(à suivre)
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