(suite du récit
précédent, Alpha raconte)
Mais hélas, pas la moindre queue
en vue dans les glory holes. Je place ma main gauche dans l’ouverture du
troisième trou et je sens à deux reprises une autre main me la frôler mais
toujours pas de queue en vue. « Waaaaa,
tu es gros et délicieux » me dit ma Caresse… Ben oui, et si elle
continue encore un peu, je vais éjaculer dans sa bouche en direct !
Je décide de me redresser, je me
mets debout et je tente de passer ma bite dans le quatrième trou, le principe
du glory hole inversé, comme nous l’avions fait déjà plusieurs fois auparavant.
Bingo ! A peine ma queue est-elle offerte que je sens une main puis une
bouche humide la lécher dans le noir. Presque au même moment, une grosse queue
claire apparaît, dure, dans le troisième trou que je viens d’abandonner. Ma
miss s’est repliée pour se reposer au fond du matelas et elle me suggère de
masturber cette bite avec ma main droite pendant que je me fais sucer dans le
trou d’à-côté.
Mon suceur s’y entend en la
matière, il alterne masturbations manuelles délicates et succions humides, sans
me mettre de préservatif. Waaaaouh, je suis à cran, il m’excite comme pas
possible, j’ai l’impression que je ne vais pas tarder à lui éjaculer dans la
bouche s’il continue. Ma chérie savoure de me regarder prendre du plaisir, ça
lui suffit et elle n’a envie de rien d’autre.
Elle me passe un préso déballé, à
destination de ma queue : elle me fait valoir que c’est l’un de nos
derniers présos au chocolat, l’heureux élu qui me suce va se régaler !!!
Sauf que je ne parviens pas à me l’enfiler de la main gauche pendant que je
masturbe l’autre queue de la main droite !! Je le pose donc sur la
tablette du ventilateur, en me disant que je le récupèrerai plus tard.
Je suggère dans l’intervalle à ma
miss de s’occuper de la grosse bite que je masturbe depuis un bon moment de la
main droite pour que je puisse me concentrer sur les sensations que me procure
la fellation reçue. Ma Caresse se rapproche à nouveau et équipe l’homme du
troisième trou d’un préso pour le sucer.
Je me plaque tout entier contre
la paroi, tendu comme un arc, je sens les pinces japonaises me tirer les tétons
vers le bas et cette douleur qui m’est aujourd’hui familière contribue à
accroître notablement mon excitation. Je m’accroche de la main gauche au trou
voisin, l’homme a passé son bras par ce trou et saisi ma fesse gauche qu’il
malaxe tout en me plaquant le bassin contre la paroi du mur. Ainsi, la totalité
de mon sexe et de mes couilles passent de l’autre côté ce qui lui permet de
doser la profondeur de sa succion et aussi de me serrer les couilles déjà entravées
dans le cockring en cuir.
Je bande très dur et je sens que
je ne vais plus durer très longtemps à ce petit jeu-là. Curieusement, l’homme
ne me met toujours pas de préso et je ne peux pas en enfiler moi-même car je n’ai
plus accès à mon sexe. Ca me gêne un peu pour lui, il alterne masturbation et
fellation, je pourrais très bien venir subitement à un moment où il aurait ma
queue dans sa bouche… Je décide donc de me retirer doucement, avec l’idée de le
faire entrer dans le coin câlin avec nous.
Ma chérie en profite pour me
repasser la grosse queue qu’elle a rendue bien dure. Je la prends dans ma
bouche gourmande, elle est grosse et dodue, pas tout à fait aussi épaisse que
celle de Daniel mais c’est quand même déjà un bon calibre. Ma miss se repositionne
au fond du coin câlin pour se reposer. Je suce avec délectation cette grosse
bite qui est aussi très couillue : une paire de couilles XXL bien épilées
passe à travers le trou et je peux les prendre dans ma main pour les serrer en
même temps que je suce le membre sur toute sa longueur.
Mais au bout d’un long moment,
l’homme semble donner des signes de faiblesse, sans pour autant qu’il se retire
du glory hole : sa bite ramollit quelque peu et, malgré tous mes efforts,
je ne parviens pas à la ranimer. Je finis donc par la lâcher, et je la vois se
retirer dans l’ombre.
Mais je n’ai pas dit mon dernier
mot, ça fait maintenant presque deux heures que je suis super excité, je
retourne proposer ma bite gonflée dans le quatrième trou, celui à ma gauche
devant lequel je peux me tenir debout. Instantanément, je sens une bouche qui
me l’aspire. Waaouh, ça recommence, je me plaque de nouveau contre la paroi
mais je sens que je vais finir par venir dans la bouche de cet inconnu.
Je me retire de nouveau, prends
le préso au chocolat que j’ai laissé à côté et je m’agenouille devant le trou.
L’homme me présente sa grosse queue, ce n’est pas celle que j’ai laissée à
côté, c’en est une autre, peut-être celle de l’homme qui m’a sucé tout à
l’heure dans ce même trou. Il a dû attendre que je revienne vers lui, la
bisexualité n’est pas forcément un jeu très courant, même dans ce club, et des
hommes seuls nous ont avoué qu’ils avaient souvent du mal à trouver des partenaires
bi vraiment joueurs.
Je lui enfile le préso au chocolat
à ma manière : j’encapuchonne le gros gland puis, le tenant entre mes
lèvres, je déroule le tube de latex chocolaté des deux côté du braquemart
jusqu’à la garde, ou du moins le plus loin possible. Et c’est moi qui vais
profiter du bon goût de chocolat…
Je me mets à le sucer à genoux,
il est encore plus gros que le précédent et il se plaque le plus possible
contre la paroi, comme moi tout à l’heure, de sorte que j’ai toute la longueur
de son membre à ma disposition. En revanche, il ne me présente pas ses couilles
qui restent de l’autre côté.
Je le suce ardemment, jouant des
lèvres et de la langue, tétant son gros gland joufflu, tout en me masturbant de
la main droite et en m’agrippant de la gauche au cinquième trou du mur. Ma miss
profite du spectacle et de mon plaisir visiblement intense. Le sexe de l’homme
est gros et tendu à se rompre, pointant bien droit vers le haut. Je l’engloutis
petit à petit jusqu’au bord du préso, puis encore un peu plus loin jusqu’à la
garde. Mes lèvres viennent se plaquer contre son pubis épilé, je sens sa grosse
bite enfoncée jusque dans ma gorge sans que cela m’empêche de respirer. Je peux
donc rester ainsi une bonne dizaine de secondes à chaque fois, avec sa queue
avalée tout entière dans ma bouche.
Je sens qu’il se raidit encore
davantage au fur et à mesure que mon plaisir grandit lui aussi. Je finis par
m’immobiliser tout à fait, la bouche plaquée contre son bas-ventre au moment où
j’éjacule abondamment dans ma main. Je sens alors qu’il se raidit et décharge
lui aussi par saccades dans le fameux préso au chocolat… Mmm, quel moment
intense, et ce n’est pas seulement à cause du goût du chocolat !
Nous mettons fin à nos jeux, il
est temps de passer à la douche, de reprendre un dernier café au bar puis, pour
moi, un petit passage au sauna avant de regagner nos pénates. Encore un
dimanche après-midi de plaisir où nous n’avons pas perdu notre temps !!!