(Alpha raconte)
Ce dimanche est un peu
spécial : nous finissons les restes du frigo (omelette aux girolles) et
faisons un solide brunch en fin de matinée, car nous partons le lendemain en
vacances pour un mois… en Californie !!! De ce fait, nous avons prévu
d’aller au club plus tôt que d’habitude : nous y arrivons vers 13h30.
Il n’y a pas encore
grand-monde : dans le jacuzzi seulement deux hommes seuls et un couple
mixte : un black avec une femme brune. Mais aucune interaction en vue…
Nous ressortons au bout de 10 mn et filons vers notre coin préféré, celui des
glory holes dans la partie bi-sex du club.
Deux belles bites en érection s’agitent déjà dans les trous :
je prends celle du milieu et ma Caresse saisit celle de droite. Nos deux
« amis » sont déjà bien excités, quelques caresses manuelles les
rendent très durs et nous les équipons simultanément de présos à la banane, un
peu comme la natation synchronisée : nous faisons les mêmes gestes au même
moment… mdr !
Nous continuons ainsi, comme deux
suceuses gourmandes que nous sommes et achevons le travail avec nos lèvres
expertes, ma chérie un peu plus rapidement que moi (elle a plus d’entraînement
que moi). Mon partenaire gicle enfin dans ma bouche tandis qu’une troisième queue s’offre à ma miss.
Connaissant ma gourmandise pour
les beaux membres turgescents, ma Caresse m’appelle à la rescousse et me confie
sa grosse banane pendant qu’elle se retire vers l’arrière pour se relaxer un
peu en me regardant. Elle adore le spectacle de son homme avec un autre homme
et elle va encore être servie aujourd’hui !
Mais la troisième queue se retire
avant d’avoir joui, son propriétaire veut sans doute aller voir ailleurs dans
le club, ça nous arrive parfois mais bien souvent ils finissent par revenir
nous voir, surtout au Différent où les couples sont manifestement plus
sélectifs qu’au 72.
Je m’allonge sur le côté droit et
je m’équipe de mes jouets préférés : cockring cuir/métal qui me serre la
base du sexe et les couilles, accroissant mon excitation tout en retardant
l’éjaculation, et pinces japonaises sur mes tétons reliées à mon cockring…
Voyant cela, ma chérie se rapproche pour me sucer et me mettre ainsi en grande
forme.
La troisième queue n’est pas
partie longtemps, elle réapparaît dans le trou face à mon visage et je la
prends dans ma main gauche pour la masturber. Mais une quatrième bite apparaît dans le trou du milieu : elle est
énorme et je crois la reconnaître, c’est une des dix que nous avions sucées la
semaine précédente. Elle est en effet assez caractéristique : très gros
gland et hampe grosse et dure sous le gland, qui ensuite rétrécit un peu en
allant vers la base, le tout légèrement courbé vers la gauche… Je la prends
dans ma main droite et je masturbe les deux bites en rythme avec les bras
croisés tandis que ma miss continue de me faire sa fellation d’experte que
j’adore, avec sa langue taquine qui me titille et s’enroule autour de mon gland
gonflé à se rompre.
Ma position finit cependant par
devenir un peu inconfortable, surtout que je fais attention à ce que la bite
face à moi ne me gicle pas en pleine figure, ça ne me ferait pas vraiment
plaisir ! Or, celle-ci est très excitée, elle a quasiment doublé de volume
depuis que je la branle et elle ne ramollit plus du tout, il faut que je
ralentisse un peu le mouvement ! La grosse, dans ma main droite, paraît en
revanche plus endurante, je me souviens qu’en effet elle avait duré longtemps
la semaine précédente.
Une cinquième queue apparaît sur la gauche de la grosse bite que je
masturbe, ma chérie s’en empare de suite. Elle cesse de me sucer, heureusement
car je n’étais pas loin de jouir… et elle se met rapidement à sucer la nouvelle
venue après l’avoir équipée d’un préso. Elle me fait signe de la rejoindre,
mais je suis toujours allongé sur la tranche avec une bite dans chaque main, il
faut que je les lâche un instant pour me décroiser les bras ! J’attends le
moment opportun et je me redresse sur les genoux, intervertissant par la même
occasion mes mains sur les deux sexes énormes et violacés.
Je lèche un peu les couilles
énormes de la grosse bite tout en dépiautant un emballage de préservatif de la
main gauche, sans lâcher la bite longue et droite que je masturbe sans relâche
de l’autre main. Puis j’enfile le tube en latex sur le gros gland en m’aidant
de mes lèvres et je suce goulument la grosse queue endurante. Je suis désolé de
ne pouvoir secourir ma chérie qui suce une grosse bite trop grosse pour sa petite
bouche, mais je me régale avec les deux miennes…hummm….
Ma miss n’a cependant pas les deux
pieds dans le même sabot : voyant que je continue de m’occuper de mes deux
grosses queues, elle se retourne et décide de se faire enfiler par son
partenaire à travers le glory hole ! Effectivement c’est un atout que je
n’ai pas… Et l’homme ne se fait pas prier, son gros pieu coulisse efficacement
dans la chatte trempée de ma miss, je l’entends qui se met à gémir de plaisir,
mais je ne peux tourner la tête pour la regarder, car la grosse queue courbée
s’est enfoncée aux deux tiers dans ma bouche avec un lent mouvement de
va-et-vient qui me maintient les lèvres et le front scotchés à la paroi comme
un tenon dans une mortaise.
Je fais tout de même attention de
ne pas trop frotter mon front sur la cloison, cela m’occasionne une égratignure
désagréable mettant une semaine à cicatriser, je déteste la bosse de la
fellation ! Je n’ai à aucun moment lâché la longue bite que je masturbe de
la main droite et mes efforts sont enfin récompensés : je la sens se
tendre encore un peu plus et dégorger par saccades un jus chaud et gluant qui
dégouline à travers mes doigts et me poisse la paume de la main. Je la relâche légèrement
mais elle s’attarde dans ma main, heureuse et aimante, et je la flatte en la
pressurant légèrement pour lui faire rendre sa semence jusqu’à la dernière
goutte. Elle se retire enfin… comblée !
(à suivre)
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