Couple amoureux, notre complicité rend notre vie d'épicuriens extraordinairement délicieuse!
We are a loving couple, our complicity makes our Epicurean lifestyle extraordinarily delightful !
Qui êtes-vous ?
- Les amoureux libertins
- Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage...
Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite.
Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
Enjoy your readings
Caresse (she) and Alpha (him)
mercredi 30 mars 2016
Une croisière libertine en Europe (3): de Kotor à Venise
Ce résumé n'est pas disponible. Veuillez
cliquer ici pour afficher l'article.
dimanche 20 mars 2016
Une croisière libertine en Europe (2) : Hvar et Kotor
Ce résumé n'est pas disponible. Veuillez
cliquer ici pour afficher l'article.
jeudi 10 mars 2016
Une croisière libertine en Europe (1): départ de Venise
De Venise à la Croatie et au Montenegro
(Alpha raconte)
Notre toute première croisière libertine eut lieu, en novembre
2010, sur un immense paquebot (3000 passagers) entièrement affrété par des
agences de voyages spécialisées en libertinage. Nous étions partis de Tampa,
Floride en direction du Yucatan, 5 jours de navigation à travers le golfe du
Mexique avec seulement deux escales : Cozumel et Costa Maya (voir récits
publiés en septembre / octobre / novembre 2011).
Cette expérience avait été tout à fait extraordinaire pour
nous, d’autant plus que la grande majorité des participants étaient
nord-américains, même si une trentaine de nationalités étaient représentées à
bord. Nous étions le seul couple français, du moins le croyions-nous jusqu’au
dernier jour où nous fumes présentés à un couple de Bordelais… Jusque là, nous
n’avions croisé, comme francophones, que des Québécois et un couple mixte
habitant aux USA.
Dès notre retour de Floride, nous avions avec enthousiasme
souscrit à une autre croisière 100% libertine, en Europe cette fois.
L’itinéraire était particulièrement attractif, et pas seulement parce qu’il
nous économisait le vol transatlantique : le bateau était beaucoup plus
petit que le précédent (capacité : 800 passagers) et aussi nettement plus
luxueux au niveau du service offert, notamment des repas. Sa relative petite
taille lui permettait en outre d’accéder à des ports où ne peuvent aller les
gros paquebots. Le tout pour un tarif très attractif ; en partie du fait
de la faiblesse du dollar par rapport à l’euro, cette croisière étant de
nouveau commercialisée par des agences nord-américaines ! L’absence de marketing sur le continent
européen les empêchera d’ailleurs de faire le plein du bateau, seulement 500
passagers au final… Grave erreur à notre avis, qui les a peut-être dissuadés de
renouveler l’opération l’année suivante.
L’itinéraire proposé était en soi un argument suffisamment
attractif pour s’inscrire (avec bien entendu le fait que ce soit une croisière
libertine, hors de question pour nous de faire une croisière qui ne le soit
pas, avec mamies et marmots geignards à bord…). Avec un départ de la magnifique
cité de Venise, le privilège de pouvoir naviguer sur le canal de la Giudecca en
passant devant la place St Marc et le Palais des Doges, en direction des joyaux
de l’Adriatique : la Croatie avec l’île de Hvar et la ville médiévale de
Dubrovnik, le Montenegro, petit pays méconnu et destination ultime de notre
voyage, tout au fond des bouches de Kotor, puis un retour par Trieste, mythique
port de l’ancien empire austro-hongrois, à la fois carrefour et bout du monde
fantasmatique où se croisent l’Italie, l’Europe centrale et les Balkans…
Découvrir ces endroits en bateau de croisière était sans
aucun doute la meilleure option quand on connait l’état de la route côtière qui
file de Rijeka à Dubrovnik, sans même parler du problème d’accessibilité de
Kotor. Un voyage qu’il nous était donner de faire les doigts de pieds en
éventail, et que nous n’aurions jamais pris la peine d’organiser par
nous-mêmes !
Nous sommes arrivés à Venise par un vol direct de Toulouse,
quatre jours avant le départ prévu de la croisière. La saison (juin) était
idéale pour visiter la ville et les îles de la lagune. Nous avions trouvé un
joli petit B&B dans le Dorsoduro, quartier plus authentique que San Marco
et pourtant très central. Nous avions aussi pris soin de le choisir proche de
l’embarcadère des bateaux de croisière (San Basilio), anticipant de remonter le
quai en roulant nos bagages… pas de taxis à Venise, en effet, et nous n’avions
ainsi que quelques centaines de mètres, sans escaliers, à parcourir pour aller
embarquer. L’arrivée au B&B fut un peu plus épique du fait de l’arrivée
tardive de notre vol : plus de vaporetto depuis l’aéroport, nous avons dû
trouver un bus nous amenant à la gare de Venise et de là un vaporetto jusqu’à
la station la plus proche de notre home vénitien : Zattere.
Venise a constitué un délicieux
avant-goût de celle-ci. Nous avons finalement embarqué le dimanche
après-midi : une organisation bien huilée et sans faille nous a permis de
passer à bord rapidement et avec le minimum de formalités (ce qui n’avait pas
été aussi facile à Tampa) et nos bagages, laissés à quai, nous ont rejoints en
moins de deux heures dans notre cabine.
La touche finale de ce départ
pour des vacances mémorables fut de sentir notre paquebot s’écarter du quai San
Basilio pendant que nous étions sur le pont supérieur, appareils photo et
cocktails en mains. Tracté avec lenteur par un remorqueur du port (pour
minimiser les remous qui abîment les fondations des quais), notre monstre des
mers (10 étages) glissa ainsi au soleil couchant parmi gondoles et vaporetti
tout le long du canal de la Giudecca, passant majestueusement devant les
principaux monuments de venise : l’église Santa Maria della Salute, le Campanile
et la place St Marc, le palais des Doges et le pont des Soupirs, puis les
grands hôtels de la Riva dei Schiavoni et l’« Amerigo Vespucci » encore à quai, l’Arsenal et les jardins du
Castello jusqu’au parc de la Mostra, en direction de la passe menant vers la
haute mer. Ceci pour le spectacle vers l’extérieur du bateau, tandis que du
côté intérieur, au bord de la vaste piscine du pont 10, quelques jolies femmes
dénudées et déjà alcoolisées rivalisaient de talents dans la pratique du
hoola-hoop en talons aiguilles…
Un magnifique départ pour un
mémorable voyage qui fera date dans nos annales ! (fin du premier jour)
mardi 1 mars 2016
Bayonne: boire ou baiser il faut choisir (2/2)
(suite du récit précédent, Alpha raconte)
…L’homme se déplace et vient
s’installer à côté de moi, il se prénomme Dominique. Ma miss face à nous deux
dans l’eau, a pris chacune de nos queues dans ses mains et alterne fellations
et masturbations. Mais rapidement elle me fait redescendre dans l’eau pour
l’aider à s’occuper de Dominique. Je me place à sa droite, dans l’angle et elle
me tend sa queue, sur lequel elle a mis un préservatif, à sucer. Je suis un peu
interloqué car il y a pas mal de monde dans le jacuzzi et je me demande ce que
vont penser les autres. Mais ma chérie ne me laisse pas le choix : « suce ! » me dit-elle…. Je n’ai
plus qu’à obtempérer pendant qu’elle embrasse notre nouvel ami et lui serre les
couilles dans sa menotte.
L’homme est assez velu mais
propre, il a une grosse queue de bonnes proportions et il bande bien, c’est un
vrai plaisir de le sucer en tenant sa bite à la base. Il réagit bien, et bande
encore plus ferme, je l’entends dire à ma miss : « houlà, il suce bien !! » et elle lui répond :
« en effet, c’est une bonne suceuse
et elle adore ça ! ». Nous alternons nos caresses avec ma chérie,
tantôt elle le suce, tantôt c’est moi et tantôt tous les deux ensemble, de
chaque côté de sa hampe.
Au bout d’un moment, j’arrête ma
fellation et viens caresser ma chérie par-derrière. J’en profite pour regarder
alentour : il ne reste que trois trios, trois couples occupés chacun avec
un homme seul, personne ne prête la moindre attention à nous ! Dominique
semble intéressé à jouer des doigts dans le petit trou de ma miss, ce qu’il
fait apparemment très bien. Ma chérie aura ainsi du mal à continuer de le sucer
lorsqu’il lui fera venir un orgasme plutôt violent. Mais pas de problème, je vole
à sa rescousse et reprends la bite de Dominique dans ma bouche.
Ce jeu dure un bon moment mais
nous nous ramollissons dans l’eau et il nous vient l’envie de retourner au bar
un moment. Nous laissons Dominique qui s’empresse de filer vers la blonde
espagnole qui suce apparemment sans préso. Nous le verrons peu après errer dans
les couloirs, ça n’a pas dû marcher avec la blonde !
Après la douche, nous passons
dans les coins câlins. Au passage nous trouvons « balai-brosse » avec
sa compagne et l’homme seul, en trio dans une pièce à trous. Plus loin, dans le
petit donjon, la moitié droite de la cage à
barreaux est occupée par un couple aperçu dans le jacuzzi qui s’embrasse
debout. Ma chérie pointe le bout de son nez à travers les barreaux mais s’en
écarte peu après en me disant qu’elle ne sent aucun potentiel d’interaction.
L’homme veut garder sa belle pour lui tout seul et c’est très visible !
Nous arrivons donc dans la grande
pièce du billard où il y a du monde, comme souvent. Derrière les voilages du
fond semble se dérouler un mini-gang bang : une femme à quatre pattes se
fait prendre en levrette tout en suçant une queue, il y a environ 6 ou 7 hommes
autour d’elles plus ceux qui attendent debout hors de l’alcôve… Le Vème élément
est un club où ça joue vraiment, contrairement à d’autres, il y a toujours de
l’action quelque part. D’ailleurs, en repartant, nous trouverons une méga
partouze en cours dans le grand coin câlin délimité par une rangée de gros
barreaux : au moins dix ou douze personnes étalées dans la demi-obscurité
du grand matelas !
Pour l’heure, nous refluons vers
le coin où nous étions avec Luis et Maria la dernière fois, celui du lit à
barreaux en fer forgé, il est libre !! Caresse met en place la chaînette
en travers de la porte, signifiant qu’on ne laisse pas entrer qui veut, mais
qu’il est possible de nous mater. Elle s’installe en travers du matelas et je
commence un doux cunni, elle l’a amplement mérité, ça fait trop longtemps
qu’elle attend. Ma chérie commence à se tortiller et à gémir tandis qu’une
silhouette d’homme seul nous observe depuis la porte tout en s’astiquant le
poireau.
Ma miss prend de plus en plus de
plaisir : « oh, oui, continue,
ta petite langue est diabolique…. !! » Soudain, quelqu’un enlève la chaîne, entre et
la remet ensuite… Ma chérie se redresse : c’est Dominique. « Ah ben, tu as fini ton petit tour ? »
lui demande-t-elle. Comme souvent, l’homme seul revient vers nous après avoir
probablement fait chou blanc avec les autres couples, c’est un grand classique,
ce n’est pas la première fois que ça nous arrive !
Cette fois, il est décidé à
rester avec nous même si nous l’obligeons à mettre un préso (au chocolat) pour
la fellation. Ma miss lui en vante les mérites : « Tu as déjà eu une bite de black ? Tu
vas voir, c’est cool… et délicieux à sucer ! » Entre temps, ma coquine a pris l’initiative
de me harnacher comme nous le faisons souvent entre nous : allongé sur le
côté droit, elle m’a ligoté les pieds et les mains aux barreaux du lit, le cou
également avec un collier de chien rouge et noir, puis les couilles et, pour
tendre le tout, les pinces de seins avec la chainette qui les relie sous mes
couilles….
Elle suce un peu Dominique qui se
remet à jouer avec son petit trou et la fait grimper dans les tours. Mais elle
ne veut pas que je reste sur la touche à les regarder tous les deux. Elle
explique à Dominique qu’elle veut jouer aussi avec moi et lui propose de me
fourrer sa queue dans la bouche. Entravé comme je suis, je ne peux rien faire
que d’obéir et notre ami m’enfourne sa grosse bite toute dure entre les lèvres.
J’ai un peu de « mou » au niveau du cou, je peux donc le sucer en
faisant un mouvement d’avant en arrière avec ma tête.
Pendant ce temps ma mis se remet
à me sucer et Dominique en profite pour la doigter de nouveau. Sous cette
double stimulation, je sens ma bite durcir à nouveau. J’entends ma miss se
remettre à chanter elle aussi, quand soudain je constate qu’un jeune homme
barbu est debout derrière elle : il est entré dans le coin câlin sans
crier gare, le malotru, je me dis que ça ne va pas le faire quand ma miss va
s’en apercevoir…. Et en effet, elle se retourne, le découvre stupéfaite :
« Mais tu n’as pas vu la
chaîne ?? Tu vas sortir tout de suite, avant que je me fâche… » L’autre ne se le fait pas dire deux fois, il
bat en retraite à toute allure en bredouillant des excuses. Dominique est
hilare…. Moi aussi, mais ça se voit moins avec sa grosse queue enfoncée dans ma
bouche !
Nous reprenons nos activités et
ma chérie vient se joindre à moi pour sucer les boules de Dominique pendant que
je continue ma fellation. Il est devenu bien gros et dur, il coulisse de toute
sa longueur au fond de ma gorge, je sens son pubis légèrement velu venir me
chatouiller les narines à chaque mouvement profond qu’il alterne avec des
vibrations plus courtes. Notre double caresse l’excite beaucoup, mais moins que
le fait de revenir doigter ma miss. Nous l’entendons exprimer son irrésistible
montée de plaisir : « Mmmm, tu
suces vraiment bien, prends ma bite tout au fond, là comme ça… »
Ca fait un bon moment que nous
jouons, le ballet des spectateurs – couples et hommes seuls – à notre porte est
incessant, même si on ne voit que des silhouettes compte tenu de la faible
lumière du club. Dominique accélère les mouvements de son bassin, il semble
approcher du but, sa queue me laboure de plus en plus rapidement l’intérieur
des joues, me plaquant la langue vers le bas. Il donne maintenant des coups de
boutoir systématique sur toute la longueur de son sexe puis finalement
s’immobilise tout au fond de ma bouche en râlant. «Rhaaaaah…. ! » Je le sens éjaculer longuement dans ma
bouche, enfoncé sur toute la longueur de sa queue, tandis que ma miss lui
maintient les couilles serrées à la base dans sa petite main.
« Hummmmm, c’est bon… »
Dominique se retire lentement, la queue encore ferme, ma chérie me
détache et nous restons un moment allongés sur le matelas… Notre compagnon finit par prendre congé,
contrairement à ce qu’il croyait au départ le préso ne l’a aucunement empêché
de jouir, et dans la bouche d’un mec qui plus est ! Mais ma chérie n’a pas
eu tout à fait son compte : elle me rattache aux barreaux et me suce de
nouveau puis se colle devant moi en position des cuillères pour que je la
prenne par-derrière. Il ne nous faut plus longtemps pour jouir tous les deux
ensemble, sous le regard du public toujours aussi nombreux de l’autre côté de
la chaîne.
Il est 1h30 quand nous quittons
le club, une bien belle soirée encore une fois dans ce club du pays basque, un
de nos préférés… Nous rentrons à l’hôtel sans trouver d’auto-stoppeuses, à
l’heure qu’il est elles doivent être, au chaud, quelque part dans l’une des
bodegas de la ville.
Vivement qu’on revienne à
Bayonne !!
Inscription à :
Articles (Atom)