Retrouvailles libertines à Madrid (2ème partie)

(à quatre dans la chambre de nos amis, suite du récit précédent)

(Alpha raconte)

... Mais la soirée ne fait que commencer, Maria profite de l’application des bijoux sur les seins de ma chérie pour les lui sucer et titiller… c’est délicieux et ma miss ne peut retenir les gémissements de plaisir qui la parcourent.  Roberto aussi en profite pour lui mordiller les tétons: c’est divin, me dira-t-elle plus tard ! Humm, que c’est bon ces moments libertins partagés avec des amis vraiment joueurs comme nous.

Ces petits jeux sont en effet toujours excitants et Maria nous semble être au top de sa forme, pas dans l’état où nous l’avions laissée la dernière fois à Valladolid ! Mais Roberto a l’air un peu absent, fatigué ? Ou bien cela fait un petit moment qu’il n’a pas vu sa Maria et inconsciemment notre présence lui pèse un peu ?

Tous les deux suggèrent assez vite de passer dans la pièce à côté, celle où se trouve le lit king size… Comme nous commençons à bien les connaître, nous ne nous faisons pas prier. Les dames se sont déjà bien papouillées et ont fait monter leur température, elles s’effeuillent l’une l’autre en un rien de temps, d’ailleurs Roberto est déjà complètement nu ! Il m’a l’air vraiment pressé ce soir….

Nous nous embrassons dans tous les sens, les caresses s’échangent à tout va… Je suis le dernier à me déshabiller puis je rejoins les trois autres déjà en pleine action sur le lit. Roberto s’est allongé sur le dos et les deux femmes le sucent en se délectant des contacts que cela crée entre leurs deux bouches gourmandes. Parfois ma chérie remonte plus haut pour embrasser Roberto ou lui titiller les pointes des seins. Devant un spectacle aussi charmant, je commence par caresser ma miss, je lui lèche le clito et le sexe : nous n’avons pas eu de moment intime depuis notre arrivée à Madrid, nous avons de suite rejoint nos amis, quelques petites caresses de retrouvailles sont les bienvenues !

Puis je glisse sur la moquette et viens me placer derrière Maria, entièrement nue et à moitié allongée sur le lit en train de sucer son Roberto. Je lui caresse la fente par-derrière avec mes doigts, puis écarte doucement ses cuisses pour venir la lécher, elle n’offre aucune résistance, bien au contraire. Elle est en grande forme, déjà toute humide, je me délecte de son nectar qui suinte entre ses grandes lèvres, viens appuyer ma langue coquine sur son clito… Très vite, elle gémit puis crie et se tortille de plaisir, elle doit interrompre sa fellation sous cette caresse intenable. Je ralentis un peu, la laisse se reprendre puis recommence. De nouveau, elle grimpe au rideau… Nous jouons ainsi trois ou quatre fois d’affilée.

Pendant ce temps, ma chérie embrasse Roberto, tandis qu’il lui caresse le clito comme il sait si bien le faire avec douceur et délicatesse. Ma miss gémit et se tortille sous ces stimulations qu'elle aime tant ! Soudain Maria approche sa bouche du clito de ma chérie, elle la fait monter dans les tours encore plus, j’entends sa douce voix retentir dans la chambre, juste avant que Maria ne jouisse de nouveau. Quel bonheur d’entendre nos deux femmes prendre leur pied ! Humm !

Je laisse finalement la vulve de Maria et reviens m’installer à l’horizontale sur le lit à côté de ma chérie que je prends dans mes bras… Nous nous câlinons et ma Caresse, très coquine, ne peut s’empêcher de sortir nos jouets du sac qu’elle renverse complètement sur le lit. Nos amis sont admiratifs devant son contenu éclectique que nous avions déjà pas mal utilisé à Tolède et Madrid l’année dernière. Mais nous avons moins de temps cette fois, Maria travaille demain et devra repartir tôt à Valladolid. Aussi ma Caresse se contente-t-elle de me fixer les pinces japonaises sur les pointes de seins et la corde dite de « karada » sur les couilles… Attachées au pied du lit pour, dit-elle,  « redresser la situation »!

En effet, la « situation » est bien redressée maintenant, surtout que ma miss ne peut s’empêcher de venir me sucer goulûment ! Maria s’allonge en travers de Roberto pour venir me titiller les tétons déjà stimulés par les pinces japonaises de sa langue et de ses dents…. Mmmmmmm, quel pied cette double caresse… Ma main gauche caresse le dos et les cheveux de Maria, la droite ceux de ma miss… Mais Maria se retire, pour venir un peu plus cajoler ma chérie, ma main gauche se retrouve donc, tout naturellement (quoi ?) à saisir la queue de Roberto et à la masturber…

Nous poursuivons un moment ainsi, puis je sens la pression des deux femmes pour que je m’occupe un peu mieux de Roberto. Je me redresse un peu et enfourne donc la queue érigée de Roberto dans ma bouche… Un délice, cette queue a été la première que j’eusse jamais sucée, je la retrouve donc avec plaisir, mais aussi un peu de surprise : elle me paraît plutôt petite aujourd’hui, comparée à toutes les énormes que j’ai rencontrées dans les glory holes des clubs toulousains depuis l’année dernière. Cela n’est pas pour me déplaire, je peux ainsi l’avaler entièrement sans m’étouffer !

Roberto aime se caresser en même temps, ce qui m’empêche de l’avaler entière de toute façon. Je suis pour la plupart du temps réduit à déguster son gland, ce que je fais avec beaucoup d’application. Maria, pendant ce temps, ne cesse de lui commenter le spectacle, afin d’accroître encore son excitation. Vient alors le moment que les dames préfèrent : le 69 entre leurs deux hommes… Je me place à cheval sur Roberto, toujours sur le dos, et me remets à le sucer avec un va-et-vient accéléré de ma tête tandis qu’à son tour il avale ma bite bien au fond de sa bouche… Je bande comme un taureau, je suis follement excité par cette situation, avec les pinces toujours sur les tétons, et devant les deux femmes qui nous matent, commentent et se gougnottent en même temps !

Mais nous aimons aussi les jeux à quatre, assez vite nous nous reconfigurons… Roberto est comme fou, il se redresse et prend Maria en levrette. Ma chérie s’allonge sur le côté devant moi et je la prends aussi par-derrière, ça faisait un bon moment que nous en avions tous les deux envie ! Maria, à quatre pattes sur le lit, se penche vers l’avant et vient lécher le clito de ma chérie tandis que je continue de l’enfiler par-derrière. De temps à autre je sens la bouche suave de Maria venir me lécher les couilles, et même parfois à la jonction de mon sexe et du vagin de ma belle… Quelle coquine ! Mais elle s’arrête, elle jouit fortement de ce que lui fait Roberto, et enchaîne ainsi deux ou trois orgasmes successifs.

Roberto se dégage, il semble s’être ramolli, décidément il n’est pas en grande forme cette nuit ! Il se couche de nouveau sur le dos, Maria le reprend dans sa bouche et ma chérie vient l’aider en suçant les couilles de Roberto… Je me dégage un instant, caresse le dos de ma belle… à qui il vient une autre idée : elle sort un préservatif de notre trousse spéciale et me l’enfile puis elle indique à Maria de prendre sa place… Maria se couche devant moi sur le côté et vient s’empaler sur ma queue dressée… Mmmm, douce sensation, surtout que ma Caresse, qui a permuté avec elle, masturbe Roberto de sa main droite et me lèche les couilles en même temps. C’est à son tour de goûter la chatte de Maria barattée par mes soins !

Nous profitons longuement de ce moment délicieux puis nos deux femmes reviennent avec leurs bouches sur Roberto… Je me dégage doucement de Maria que je continue de caresser par-derrière. Ma chérie suce Roberto avidement et le sent se tendre et durcir fortement… jusqu’à ce que notre ami la saisisse brusquement par les cheveux pour lui relever la tête, et éjacule sur sa poitrine et ses bras !

Je reprends ma miss dans mes bras pour un doux câlin un peu collant, tandis que Maria se met dans les bras de son chéri qui a l’air maintenant complètement HS… Maria insiste depuis un moment pour que nous finissions la nuit à quatre dans le grand lit…. Mais Roberto n’en a manifestement pas envie, il veut maintenant sa chérie pour lui tout seul. Ce n’est pas l’envie qui nous manque à nous non plus de rester là jusqu’au matin, mais par délicatesse pour Roberto nous préférons nous rhabiller et nous éclipser dans notre chambre... après quelques dernières embrassades et promesses de retrouvailles avec nos amis. Il se fait tard, déjà 3h du matin, et nous allons nous aussi terminer nos câlins à deux avant de nous effondrer dans un sommeil bien mérité. Demain, une « dure » journée nous attend !

(à suivre)