(Alpha raconte)
Nous avons aussi indiqué à un couple rencontré sur internet que nous y serions car ils l’annonçaient sur leur fiche. Marie et Séb sont déjà là, nous les reconnaissons aisément d’après les photos, ils prennent un verre au bar en attendant et nous entamons la conversation. Il s’avère qu’eux aussi viennent pour l’anniversaire de Marjorie ! Trop drôle, nous l’ignorions, des amis de nos amis…
Paul et Marjorie arrivent à leur tour, embrassades et présentations. Une table nous est réservée dans une salle jouxtant le dancing, nous y passons pour le buffet puis le gâteau d’anniversaire avec bougies réglementaires… mais (ton étonné) il n’y a pas le nombre ! C’est de la triche, pourtant le gâteau est assez grand pour contenir le nombre requis pour la circonstance… Dommage, c’est toujours amusant de voir souffler un grand nombre de bougies par une jolie et délicieuse bouche ! Ce moment convivial à table nous permet de faire connaissance avec les autres amis de Paul et Marjorie dont nous ne connaissions en fait qu’un seul couple. Il y a des gens charmants avec lesquels nous aimerions bien coquiner… mais difficile de dire à table s’ils sont joueurs ou pas… certains se dévoilent en disant que ce qui leur plaît c’est de danser et que les soirées les plus nulles sont celles ou le DJ n’est pas à la hauteur ! Etonnant pour des libertins, mais il en faut pour tous les goûts ! Rire !
La sono se met à cracher plus fortement dans la discothèque. Nous y retournons et nous installons dans un coin intime meublé de fauteuils bas. Nos amis nous y offrent un petit digestif. Marjorie a prévu des sucreries : chupa chups, fraises tagada, chamallows,… elle nous connaît, nous sommes tous des gourmands ! Elle a un franc succès !
La piste de danse s’est remplie de son lot habituel de jolies femmes sexy, certaines en extase devant le grand miroir. Les hommes sont dans l’ensemble plutôt quelconques, comme d’habitude les femmes ont fait beaucoup plus d’effort sur leurs tenues que les mecs !
Nous nous joignons au mouvement, Marjorie et son ami Agnès adorent danser ensemble, sur la piste et dans la cage, un joli spectacle. Caresse et moi dansons avec elles et leurs hommes respectifs, l’une après l’autre elles passent au milieu du groupe pour se faire caresser, embrasser, lécher par les autres autour… Mmmmmm, des couples demeurés assis nous regardent visiblement avec envie mais ils ne nous rejoindront pas, trop timides ou mal à l’aise pour danser ?
Une grande black a laissé « son voyeur » sur la banquette et elle vient se trémousser à côté de nous, on peut même dire contre nous car elle nous heurte ou nous touche visiblement volontairement ! Peut-être une forme d’approche, peu subtile en tout cas ! Mais nous ne donnerons pas suite, le monsieur est trop inactif pour nous et la jeune femme ne nous attire pas. Pas de feeling avec eux !
Je me trouve de temps à autre enlacé avec Agnès tandis que Caresse est dans les bras de son homme à elle. Nous nous embrassons longuement et profondément, je lui caresse les seins sous sa tunique ornée de fausses pièces métalliques, puis je descends la main sur son doux ventre et son clito que je me mets à caresser en musique. Elle se tend, suspendue à mon cou, elle semble beaucoup aimer cette danse langoureuse ! Je sens mes doigts trempés par le nectar qui suinte entre les lèvres de son sexe et ces sensations conjuguées avec le baiser profond me font bander ferme. Nous en restons là pour l’instant, la nuit est encore jeune, nous changeons de positions et de partenaires.
Le mari d’Agnès a fait de même avec Caresse, il l’a prise dans ses bras et l’embrasse longuement, il est doux et a entrepris de lui caresser efficacement le point G… mais il se lasse vite. Il semble avoir un trip pour Marjorie, mais cette envie n’est apparemment pas partagée, il va errer toute la soirée espérant qu’elle change d’avis, mais c’est sans connaître le caractère bien trempé de notre amie ! Si elle dit non, c’est non et, comme toutes les libertines, elle n’a aucune envie de se forcer, ce serait trop triste et la mort de ses envies libertines à court terme ! Beaucoup de femmes ont besoin de feeling et de respect pour se lâcher, c’est primordial !
Nous ne prêtons pas trop attention aux autres couples que ceux du groupe, hormis un couple qui est venu danser devant la grande cheminée où ronronne un bon feu. Lui est âgé et sans signe distinctif, mais son amie, une jolie brune, est habillée en soubrette sexy, tout de noir et blanc, avec de jolis bas noirs à motifs floraux, des jarretelles pour les tenir et un mini string noir qui apparaît en transparence sous les bas, la jupe de la soubrette étant retroussée. Elle a de très jolies fesses, bien rebondies comme il faut ! Caresse trouve la jeune femme adorable, mais elle a de gros doutes sur son homme, il est raide comme un piquet et il n’a pas une seule fois embrassé sa compagne depuis que nous les avons remarqués !
Je me trouve aussi de temps en temps avec Marjorie dans mon dos qui me caresse suavement, je place mes bras en arrière pour lui rendre la pareille, je lui palpe doucement les fesses, le dos, l’entre cuisses… Nous nous embrassons de temps à autre, c’est toujours un immense plaisir de jouer ainsi avec de véritables ami(e)s libertin(e)s….
Le jeu prend un peu plus tard une tournure différente à six et plus, Marie étant au centre de toutes les attentions. Mais ma chérie a mal aux pieds, elle est debout sur ses escarpins avec 12 cm de talons depuis plusieurs heures et le moment ne lui plaît pas, elle caressait tendrement Marjorie, lorsque le mari d’Agnès l’a poussée gentiment, mais clairement, pour prendre sa place, elle s’est retrouvée derrière Paul, le mari de Marjorie, mais elle ne l’a pas senti réceptif, pas joueur avec elle. N’aimant pas « déranger » comme elle dit parfois, elle s’est retirée du groupe pour aller s’assoir. Je ne me suis pas aperçu immédiatement de sa disparition… Mais dès que j’ai vu qu’elle n’était plus là, je l’ai cherchée des yeux et trouvée assise sur une des banquettes à quelques pas du groupe…
Nous indiquons à nos amis que nous montons dans les coins câlins, ce n’est apparemment pas encore l’heure pour eux ! Nous grimpons l’escalier qui part de la piste de danse, en haut de celui-ci nous trouvons une femme qui danse nue à la barre de pole dance devant son homme assis dans un fauteuil. Des couples s’enlacent ici et là dans les coins de la mezzanine…
Le grand coin câlin, en plein passage, est vide comme d’habitude, le suivant est occupé par deux couples et des voyeurs à l’entrée, mais la salle de cinéma est vide, et chose étonnante, le petit coin dans l’angle aussi : nous nous y installons et commençons à nous caresser en 69. Des hommes seuls s’approchent rapidement et caressent les mollets de ma miss mais elle les éconduit. Tout à coup apparaît une tête féminine souriante, avec de longs cheveux noirs frisés, c’est la soubrette qui dansait devant le feu tout à l’heure… elle nous salue et nous regarde avec insistance. Elle est seule, ma chérie l’invite à venir nous rejoindre sur le matelas ! Elle fait oui de la tête, mais s’éclipse… elle part juste quelques minutes pour aller en parler avec son homme, ils reviennent, monsieur nous salue et ils s’allongent tous les deux à côté de nous.
L’homme s’est allongé à moitié nu sur le dos et caresse les fesses de ma chérie qui est allongée près de lui, en train de me sucer. J’ai sur ma gauche le cul de la soubrette bien en vue car elle s’est mise à quatre pattes, assise sur ses talons, pour sucer son ami. Elle a vraiment un très joli postérieur, bien arrondi, de taille idéale, la peau lisse et douce, je la caresse un long moment avant de descendre ma main vers sa fente intime. Elle a gardé sa tenue de soubrette, bas compris, c’est donc un délicieux spectacle de la voir officier dans cette tenue. Mais assise comme elle l’est, il m’est difficile d’atteindre son bouton de plaisir ou sa chatte. J’entreprends donc de lui descendre son string noir…
Elle se soulève pour m’aider, sans lâcher la queue de son homme qu’elle a bien en bouche. Il me semble entendre les gémissements de plaisir de ma miss et je me dis que ça a l’air d’aller, on peut continuer plus avant ! La soubrette a enlevé son string complètement, mes doigts s’insinuent dans sa fente humide et la stimulent, mais la position reste tout de même peu pratique. Je bouge et elle se réinstalle sur le côté puis sur le dos. Elle a lâché son homme qui doit s’occuper de ma miss, du moins j’aime à l’imaginer, car j’ai envie de profiter de ce doux moment avec cette belle jeune femme pour laquelle j’ai un trip évident, comme me le dira Caresse un peu plus tard.
Je prends position au dessus d’elle, le visage entre ses cuisses et je me mets à lui lécher la vulve et le clito…. Elle gémit doucement et ondule lentement, j’ajoute deux doigts dans sa chatte trempée, elle accélère ses mouvements, elle semble aimer. Dans le même temps, elle a pris ma queue dans sa main et la masturbe, puis je sens sa bouche humide enrober mon gland, elle me suce doucement, avec délectation. Je la sens promener ses doigts vers mon petit trou, je me dis alors qu’elle doit aussi apprécier ce côté-là et je lui enfonce doucement mon majeur dans l’anus.
La soubrette ondule de plus belle, clito, vagin et anus stimulés simultanément. Je l’entends faiblement gémir, elle a ma queue qui lui remplit la bouche. Rapidement, je sens son orgasme la secouer tout entière, elle était déjà bien excitée, ma triple caresse l’a achevée ! Je retire mes doigts, puis ma langue, la libère de son bâillon de chair…
Ma chérie est déjà assise sur le rebord du matelas, prête à partir, manifestement son duo avec l’homme n’a pas été au top, il n’a rien fait d’autre que lui caresser les fesses avec une main, de l’autre il tenait la main de sa compagne, qu’il ne quittait pas des yeux étant resté assis pour bien profiter du spectacle. Un candauliste, comme l’a vite compris ma Caresse. Elle a attendu que je finisse de m’amuser avec la jeune femme pour ne pas casser l’ambiance, mais elle fait la tête, elle aurait aimé que je me rende compte que l’équilibre n’y était pas. Elle m’a trouvé égoïste, mais comme elle n’a pas dit que ça n’allait pas, je ne pouvais pas le deviner ! Pas cool, je déteste ce genre de situation, surtout quand je ne m’en aperçois pas tout de suite !
Je me rhabille et je prends congé du couple, le monsieur étonné me demande ce qui se passe : « elle ne s’est pas amusée, semble-t-il », il répond « on ne faisait que commencer », étonnant alors que sa femme avait joui un long moment et que ma miss attendait depuis tout ce temps… une notion de commencement étonnante. Caresse est déjà descendue au rez-de-chaussée, je la rejoins au bar.
Il est tard, plus de 3h du matin, nous décidons de rentrer à la maison, ce n’est pas très loin du club, nous ne mettons pas longtemps à rentrer… et c’est avec plaisir que nous terminerons nos coquineries à deux comme nous aimons, avant de nous effondrer dans le sommeil, il est déjà 4h30 du matin, le dimanche qui suit va être végétatif !