Parvenu à l’étage, c’est en effet
la Berezina dans les glory holes. Ca tournicote pas mal, car il y a du monde,
mais pas le moindre petit bout de gland ou de queue à se mettre sur la langue !
J’entends une femelle se mettre à geindre de plaisir simulé dans une cabine
éloignée où elle a dû s’enfermer en 1+1 avec son mec… Vu le niveau de ses hurlements, il est clair en tout cas
qu’elle n’a pas une autre queue dans la bouche au moment où le type est en
train de la prendre par l’autre bout.
Après un long moment de solitude
et le retour de la gent féminine à l’étage inférieur, les choses se décantent
un peu. Une queue se présente : le type est un quadra au crâne rasé, pas
très grand, comme sa queue d’ailleurs mais bon. Je fais mes meilleurs efforts
et je me vois récompensé : sa bite enfle bien, elle atteint une belle
longueur même si elle reste fine, elle est suffisamment épaisse à la base pour
me faire des sensations. Je la sucerai bien dure pendant un long moment mais l’homme
partira sans jouir. Il reviendra peu après la queue molle et je lui offrirai
une deuxième fellation AOC mais là encore il repartira ragaillardi sans avoir
joui. Dommage…
La concurrence s’intensifie, il y
a deux autres suceuses, pas de la première jeunesse, ventripotentes et poilues…
Heureusement inconstantes, elles tournicotent quand rien n’apparaît et de ce
fait c’est à moi qu’échoit la nouvelle queue soudainement apparue dans l’un des
trous du milieu. Elle est bien droite et de belle taille, même au repos, comme
je les aime. Particularité, elle ne se décalotte pas d’elle-même, je dois
l’aider un peu avec les doigts puis avec les lèvres.
L’homme est tout à fait comme
j’adore : c’est lui qui donne le rythme, il me domine et me traite en
soumise obéissante, m’offrant tantôt juste son gros gland à lécher et déguster,
tantôt toute sa hampe jusqu’à la garde, bloquant son gland charnu à l’entrée de
mon œsophage pour me mettre en apnée. Les deux suceuses sont revenues et me
matent… Au bout d’un moment, mon « maître » se retire, contourne la
paroi et vient se placer derrière moi. Il me prend doucement les pointes de
seins entre ses doigts, les pince légèrement et place ses mains en coupe sur
mes petites mamelles, tout en venant fourrer son gros barreau bien dur entre
mes cuisses. Il va et vient, simulant une sodomie dans la raie de mes cuisses,
tandis qu’une belle grosse queue est apparue dans le trou devant moi.
Je la prends aussitôt dans ma
bouche et je sens les spectateurs haleter dans la pénombre tout autour. Une
deuxième queue apparaît dans le trou de droite et je me mets à la masturber
simultanément de la main. Mais mon « cavalier » semble s’exciter
derrière mon arrière-train : je le sens ouvrir un sachet de lubrifiant et
m’enduire légèrement le petit trou. Puis il sort un préso, l’enfile et vient se
présenter à ma porte de derrière. J’essaie de l’aider en confiant la bite de
droite à une des deux autres suceuses, et j’écarte mes fesses de mes deux mains
tout en me cambrant du mieux possible pour qu’il trouve le bon angle.
Mais j’ai toujours la grosse
queue qui durcit dans ma bouche et j’ai du mal à me placer correctement pour
que l’homme puisse m’enfiler par-derrière: la queue dans le glory hole est un
peu trop haute et il a beaucoup de mal à me pénétrer en levrette, mais il ne
débande pas pour autant. Après plusieurs tentatives infructueuses, toutefois,
il se lasse et s’éclipse, me laissant seul avec la grosse bite dans la bouche.
Je commence à la sentir venir, et je la prends dans ma main juste à temps pour
la faire éjaculer abondamment sur ma poitrine. Première douche de sperme du
jour… je sens le liquide chaud et gluant s’écouler entre mes pectoraux et sur
mon abdomen, ainsi que sur ma main droite.
L’homme s’en va mais il est
aussitôt remplacé par un nouveau venu. Un jeune homme, apparemment, avec une
queue un peu moins grosse mais bien longue et dure qui lui aussi m’imprime son
mouvement dominateur. L’homme bouge bien et semble excité. Je sens soudain un
liquide chaud sourdre sur ma langue, je me retire prestement et l’homme dégorge
à son tour son jus sur ma poitrine et mes mains…
J’ai l’intention d’aller me
contempler dans le miroir de la cabine voisine et de me toiletter quand une
nouvelle queue apparaît, bien grosse et dure dans le trou voisin. Je la
reconnais, c’est celle qui ne décalottait pas tout à l’heure, mon cavalier
infructueux. Je le remets vite en forme, bien gros, bien dur, bien décalotté
entre mes lèvres… Et l’homme fait de nouveau le tour de la paroi !
Il y a du monde à nouveau, qui
regarde dans l’ombre, et je ne veux pas le décevoir. Pendant qu’il s’équipe
d’un nouveau préso, je me lubrifie abondamment la raie puis je lui présente mes
fesses : il m’empoigne les hanches et, bien dur, vient s’insérer là où mes
mains le guident tout en écartant mes fesses. Il me faut me pencher davantage
en avant pour trouver le bon angle, et c’est là que je réalise pourquoi ça ne
marchait pas tout à l’heure : mon visage aboutit maintenant sur le rebord
inférieur de la fente du glory hole, impossible de sucer une queue dans cette
position. Dommage, car il s’en présente justement une : je vois que c’est
celle d’une trav blonde. Elle est de belle taille mais toute molle, et repose
un long moment sur mon front pendant que mon « maître » se met à me
sodomiser vigoureusement.
Cette fois, il est bien entré
dans mon cul, je sens son barreau qui va et vient, sous l’œil rond des voyeurs
qui n’en perdent pas une miette. Je me sens vraiment salope en cet instant,
enculé en public tout en poussant de petits cris de plaisir, avec la bite de la
trav qui pend sur mon visage. Mon « maître » profite longuement de
mon cul, il est endurant, et je finis par m’accrocher des deux mains aux
rebords latéraux du trou pour m’équilibrer sous ses coups de boutoir.
Soudain il rugit et lâche sa
purée au fond de mon intimité… Puis il se retire doucement, me caresse le dos
de la main pour me remercier, et disparaît. J’halète encore pendant 5 bonnes
minutes, j’ai vraiment envie d’une douche, les spectateurs ont commencé à se
disperser. Mais une nouvelle queue se présente, épaisse et sombre. Je ne peux
pas l’abandonner à sa triste mollesse, bonne fille que je suis : je la
saisis puis l’embouche, tout en sentant le foutre déjà répandu auparavant couler sur mon ventre
et l’intérieur de mes cuisses. Cette bite est comme une cerise sur le gâteau :
elle devient vite très grosse et dure, avec un gland particulièrement
volumineux qui me remplit toute la bouche.
Ce braquemart est équipé d’un
cockring à la base, bon signe me dis-je : l’homme doit être bi ou homo… et
très endurant. A aucun moment il ne débande, toujours gros et dur, pendant
quasiment toute la demi-heure que je passerai à le sucer. Je le sens
gargouiller et j’espère secrètement qu’il va éjaculer une grosse dose de plus
sur mes seins et mon visage… Mais in fine, il ne jouira pas. Quand il se
retirera, je découvrirai que c’est une grande trav brune que j’ai déjà souvent
vue ici, Monika je crois. Mais quel engin elle a !!!! Un vrai délice…