A l'Angely's, deuxième partie
(Suite du récit précédent, Alpha raconte)
…La nuit
est encore jeune. Je sors sur le parking récupérer quelques-uns de nos
accessoires préférés dans la voiture. La patronne du club semble un peu suspicieuse
de ce que je peux bien aller chercher, je la rassure en lui montrant nos
sextoys… Non, pas d’alcool ni de cannabis ! Caresse s’est installée dans
la cage, elle se repose un peu des coquineries de début de soirée car celle-ci
est loin d’être terminée. Je la rejoins et m’allonge nu à côté d’elle, nous
nous enlaçons tout en nous reposant.
Des voix
enjouées se font entendre, nos nouveaux amis approchent : Jansen et
Platine, René et Christine. En plaisantant, nous avions promis à Jansen de lui
faire découvrir des plaisirs nouveaux en l’attachant dans la cage. Il en avait
ri, mais maintenant, au pied du mur décoré de chaînes, il rit moins. Caresse
décide de l’encourager en lui donnant l’exemple, elle se relève et se colle
contre le mur, je lui passe le collier et la chaine autour du cou, puis lui
attache les poignets aux chaines latérales. Je l’embrasse puis descends un peu
plus bas pour lui suçoter un téton. Jansen se sent rassuré, il se hisse dans la
cage et vient suçoter l’autre téton. Platine ne résiste pas longtemps à venir
elle aussi, elle se glisse entre les cuisses de ma miss et commence à la
lécher. Bien évidemment, avec l’accumulation de l’excitation depuis le début de
la soirée, ma chérie ne tarde pas à chanter sa mélopée de plaisir avec une belle
intensité. La langue de Platine paraît diaboliquement efficace, elle ne
s’appelle pas Platine pour rien ! J’en sais quelque chose depuis la scène
sur la piste de danse à peine une heure auparavant.
Ma
Caresse crie soudain très fort, elle ne peut plus retenir son plaisir sous ces
caresses multiples de langues et de doigts. Nous la détachons, Jansen est-il
mûr pour prendre sa place ? Il veut bien essayer maintenant, nous lui
avons garanti de ne pas le bâillonner pour qu’il puisse dire stop à tout moment.
Il prend la place de ma miss contre la plaque métallique du mur, réalisant
alors avec une légère inquiétude qu’il
ne peut plus bouger. C’est là tout le sel de l’expérience, se trouver pour une
fois dans l’impossibilité de tout contrôler et de devoir subir et ressentir
pleinement ce que les autres décident de faire…
Les
dames, d’humeur démoniaquement libertine, ont très envie de le manger en se
relayant pour avaler le sexe de Jansen, très excité. Christine s’est jointe à
elles, il a ainsi les trois femmes sur lui, quel chanceux ! Il n’a
d’ailleurs pas l’air de protester, il ne faut jamais dire « fontaine, je
ne boirai pas de ton eau »… Ma
Caresse, jamais en reste d’imagination coquine, a cependant une nouvelle idée
et saisit notre petit sac à jouets, pour en sortir nos pinces japonaises et nos
pinces lestées. Elle propose à Jansen, de nouveau vaguement inquiet, quelques
essayages. Tout en le rassurant de la voix, elle lui place d’une main experte
les pinces japonaises sur les pointes des seins. Il trouve la sensation
difficile à supporter, elle les lui enlève donc mais lui explique que ce serait
pire avec les pinces lestées. Jansen profite de l’occasion de ce bavardage pour
demander à être détaché.
René a
disparu vers la piste de danse, sans doute à la recherche d’une chatte à
lécher, dit Jansen. Il ne reste donc plus que moi potentiellement dans le rôle
de l’esclave sexuel : pas très étonnant que je me retrouve donc à mon tour
attaché au mur, cou et poignets, et avec les pinces japonaises en prime, pas d’excuse,
il paraît que j’ai l’habitude… ! Jansen en est impressionné…. Ma miss
commence ses manipulations expertes, de la langue et de la main et appelle à la
rescousse Platine qui était prudemment sortie de la cage pour éviter d’être
attachée… La coquine ne se fait pas
prier et revient jouer avec nous. Elle me suçote les pointes des seins et tire
à fond sur la chaînette pour resserrer les pinces… Délicieux cette sensation de
presque douleur, couplée aux caresses excitantes des deux femmes. Mais ma
Caresse se fait alpaguer par-derrière par Jansen, redevenu très coquin depuis
qu’il a été libéré.
Je me
retrouve donc entre les mains - et la bouche - de Platine seule, qui s’y entend
pour me torturer les pointes de seins avec
la chaînette et avec ses dents, pendant qu’elle me masturbe
vigoureusement de son autre main. Tous mes muscles sont tendus et je m’accroche
des deux mains aux chaînes métalliques des poignets pour mieux résister à
l’afflux des sensations mêlées de douleur et de plaisir. Mon sexe est dur comme
de la pierre et ne peut se soustraire à la caresse vigoureuse de Platine.
Magnanime, elle s’arrête de temps à autre, pour se concentrer sur mes tétons ou
m’embrasser longuement « à la française », puis décide de descendre à
l’étage inférieur pour m’enfourner dans sa bouche gourmande. Elle me suce avec
délectation et je gémis de plus en plus fort et de plus en plus rapidement, je
sens monter le plaisir irrésistiblement. Je préfère alors lui demander de
s’interrompre et de me détacher, pas envie de finir si vite ni de l’inonder
sans prévenir !
C’est à
son tour de s’allonger et à moi de lui faire du bien. Je me cale entre ses
cuisses ouvertes et commence à lui titiller le clitoris de la pointe de ma
langue, lente mais insistante. Sans relâche, elle se promène dans les replis de
sa vulve, de haut en bas et de gauche à droite, sans rien négliger, accélérant
par moments, puis ralentissant, jusqu’à soutirer des soupirs d’aise, des
gémissements de plaisir de la belle blonde, des encouragements quand la caresse
est particulièrement appréciée. Ma langue s’appesantit par endroits et goûte
avec délectation ce beau fruit défendu.
Je sens un liquide chaud qui humecte de plus en plus nettement les lèvres de sa
fente, et me dis qu’il y a peut-être matière à exploration du point G.
J’approche
et introduis deux doigts dans son vagin, déjà tout inondé de son nectar, et
découvre assez vite la zone sensible que je ne lâche plus. La belle se tord de
plus en plus, elle donne de l’ampleur à ses mouvements de hanches et vient
délibérément s’empaler sur mes doigts, calés au fond, là où réside le point
magique du plaisir vaginal. Elle crie de plus en plus fort, et son intérieur
est de plus en plus détrempé, au point que je me demande si elle ne va pas me
faire, comme d’autres, le coup de la femme-fontaine…. Elle jouit fortement, en
poussant un cri de plaisir intense, je ralentis et m’arrête, les doigts
enfoncés au fond de son vagin, et la langue en embuscade sur le clito….
Quelques secondes de pause et je reprends doucement, en appuyant de plus en
plus fort et vite avec les doigts… Il ne faut pas longtemps avant que Platine
atteigne un deuxième orgasme tout aussi fort que le premier… et soupire en
déclarant forfait… Cette fois je luis fais grâce et me retire en douceur tout
en lui caressant l’abdomen et en lui déposant quelques chastes baisers…
Pendant
tout ce temps Caresse et Jansen ne s’ennuient pas. Jansen a pris ma miss dans
ses bras et il a entrepris de lui donner du plaisir, ça fait un long moment
qu’il attend ! Au point que Caresse se sent un peu un morceau de viande,
ce n’est pas facile pour elle de se lâcher dans ces conditions. Jansen est
allongé sur le dos, son sexe dressé et
bien raide, Caresse se penche vers ce membre qui ne demande qu’à être pris en
bouche. Elle l’enfourne d’un seul coup, tirant de son partenaire un gémissement
incroyable, hummm quel pied elle lui fait prendre ! Elle descend, elle
monte le long de sa queue sans se lasser, le suce, l’aspire, ralentit,
accélère… une vraie torture pour lui. Mais il est gourmand et n’a aucune envie
que Caresse arrête. Les doigts de Jansen se font coquins, il veut rendre le
plaisir qu’elle lui donne et masse son point G énergiquement, trop fort au goût
de ma miss qui est obligée de lui demander d’aller plus doucement… ce qu’il
fait immédiatement pour ne pas la décevoir.
Le
mouvement plus doux est excitant et ma Caresse ne tarde pas à jouir intensément
une première fois sous les doigts habiles de Jansen, bien qu’elle n’ait pas
cessé de s’occuper de sa queue, alternant fellation et masturbation comme elle
sait si bien le faire. Jansen gémit de plus en plus fort, mais il ne jouit pas,
il veut se réserver pour plus tard, la soirée n’est pas finie et il a déjà joui
une fois, il a besoin de se ressourcer sans doute aussi… Il continue de
caresser le point G de Caresse qui jouit une seconde fois très fort, ses cris
sont doux et excitants pour Jansen, qui ne rêve que d’une chose maintenant,
c’est pénétrer ma miss…. Mais elle profite que je sois libéré par Platine pour
se réfugier dans mes bras. Elle n’a pas envie de s’échanger ma miss, elle est
fatiguée et elle veut garder l’énergie qui lui reste pour moi… un amour ma
Caresse !
Nous
retournons vers le bar et la piste de danse où nous avons le plaisir de
constater que deux jeunes femmes – des débutantes, nous dira René – sont en
train de faire un show autour de la barre de pole dance. Elles sont très
légèrement habillées et s’effeuillent l’une l’autre en dansant autour de la
barre. Elles finiront vêtues de leur seul chapeau, sous les applaudissements des
spectateurs. Pour notre part, nous choisissons d’aller prendre un verre,
affalés dans les fauteuils du salon en bordure de la piste de danse, ce qui
nous permet d’apprécier le spectacle des hanches qui ondulent, des minijupes
qui se soulèvent, des mini-strings qui apparaissent dessous. La patronne décide
d’ailleurs que les strings de sont pas utiles pour danser et entreprend de les
leur enlever un à un. Elle se trouve ainsi rapidement à la tête d’une
collection de petites culottes féminines, qu’elle répartit entre les messieurs
présents. L’un des strings échoit ainsi autour de mon cou!
Sa
propriétaire est l’une des deux jeunes femmes blondes qui dansaient autour de
la barre. Elle semble un peu gênée mais désire manifestement récupérer son bien
(moins il y a de tissu, plus ça coûte cher ces trucs-là….). Elle vient
humblement me demander de le reprendre, mais je lui indique que ce qui est
autour de mon cou m’appartient. Elle essaie de le prendre mais je retiens son
string de la main… Elle sourit, visiblement embarrassée… Ma Caresse, magnanime,
lui donne une clef, en lui disant qu’elle ne le récupérera pas à moins d’un
bisou. Encore plus gênée, la jeune femme hésite, toujours souriante, elle se
penche d’un coup, me roule une pelle et repart toute contente avec son
sous-vêtement… ! Ca devait vraiment être un string de marque de
luxe !
Notre
soirée s’achèvera en douceur, nous avons brûlé nos cartouches. Nous nous
éclipsons pour rejoindre la voiture transformée en camping-car pour
l’occasion : ce qui nous permet de nous effondrer sur le matelas sans
avoir à reprendre le volant, trop bon…. Nous nous serrons l’un contre l’autre
sous la couette… et en profitons pour terminer à deux ce que nous avons
commencé avec les autres avant de nous effondrer
dans le sommeil.
Voilà une bien belle deuxième partie de ce récit si complet de votre soirée.
RépondreSupprimerVotre écriture à quatre mains est aussi captivante qu'excitante.
Je suis très admiratif de l'attention que vous portez aux autres participants avec un respect de leurs envies ou de leurs craintes.
Merci pour ce récit très complet qui m'a donné la sensation d'être à vos côtés.
Priape59
Merci à toi également, le respect des autres est une notion fondamentale dans le libertinage, et nous attendons la réciproque. C'est sans doute ce qui fait que nous libertinons durablement, sans nous lasser. Ce récit date en fait de... mai 2010!
SupprimerJe me disais aussi que dans mes lectures précédentes vousaviez plus d'expérience ;-) et aussi un Alpha qui ne passait paquets à côté de l'occasion de prendre une belle queue en bouche...
RépondreSupprimerQuelle mémoire pour une soirée de mai 2010 !
En fait, le récit était écrit depuis cette date... c'est juste qu'on avait "oublié" de le publier, on l'a retrouvé par hasard et on n'a pas pu le programmer plus tôt!!
Supprimer... et d'ailleurs, on ne l'a pas mis dans le récit mais je me souviens très bien avoir longuement sucé René dans le jacuzzi ce soir-là...
SupprimerBen vous avez bien fait de le publier ;-)
RépondreSupprimerOki on n'a pas eu droit à la version longue avec la fellation d'Alpha, dommage cela m'aurait encore plus excité...
A bientôt
Priape59