Pour célébrer notre dernière soirée en Espagne et aussi un événement très spécial me concernant, nous avons décidé d’aller explorer le club libertin le plus en vue de la capitale espagnole : l’Encuentros (« rencontres »), club libertin au centre de Madrid où, paraît-il, on peut croiser certaines célébrités du sport et du show-biz du pays, voire des membres de la famille royale…
Nous allons d’abord nous restaurer dans un restaurant de tapas huppé que notre ami Angel nous a recommandé chaudement, l’Estay, dans le quartier de Salamanca. Très bonne adresse en effet, où nous réussissons de justesse à avoir l’une des dernières tables, nous sommes en effet samedi soir et tout Madrid est de sortie.
Puis nous nous mettons en route vers le club, caché dans une petite rue d’un banal quartier résidentiel : seule une enseigne en fer forgé éclairée au-dessus de la porte d’entrée le signale : Encuentros… Nous y sommes. Nous sonnons, un homme moustachu nous ouvre et nous fait entrer. Il est tôt et l’homme s’assure que nous savons bien où nous mettons les pieds. Il nous indique qu’il n’y a pas encore grand-monde mais qu’il attend une cinquantaine de couples « libéraux » (parejas liberales) vers 23h30.
Après avoir laissé nos vestes au vestiaire, nous arrivons au bar ou effectivement, seuls trois couples sont présents devant une télé grand écran. Je me rappelle alors qu’il y a un événement national ce soir à Madrid : un match Real Madrid-FC Barcelona ! Le bar est superbe, en marbre et de forme ondulée comme une vague, ce qui en augmente substantiellement sa longueur. Nous n’avons pas de mal à trouver deux tabourets hauts pour siroter nos premiers whisky-cocas. Pas de chance pour Madrid, le Barça ouvre la marque sur une action litigieuse à la limite du hors-jeu. Les personnes présentes, sans doute supporteurs de Madrid, se tiennent la tête entre les mains, comme si le ciel leur était tombé dessus !
Caresse est un peu mal à l’aise dans cette ambiance nouvelle et inconnue, avec des gens dont elle ne comprend pas la langue. C’est une ambiance « club sec » et elle n’a pas prévu de tenue sexy, pour elle nous allions dans un club humide, pour lequel aucune tenue n’est nécessaire puisque tout le monde se retrouve nu au bout de quelques minutes. Ici ce n’est pas le cas, il y a de tout, mais vraiment de tout, coté tenues ! Caresse ne trouve pas ses marques et elle ne les trouvera pas vraiment, à vrai dire, dans ce club madrilène.
Notre hôte revient vers nous pour nous proposer d’aller visiter le club qui est dissimulé derrière de lourdes tentures cachant une grille qu’il peut ouvrir du bar. Il nous ouvre la grille et, après l’avoir remercié, nous entrons dans la partie coquine du club, tout aussi sombre que le bar lui-même. Nous en faisons le tour, le club est joliment décoré sur les murs, beaucoup de matelas accueillants dans de nombreux coins câlins. Aucun ne ferme, ils sont au contraire très ouverts, certains sont placés dans les couloirs… et, au milieu, un jacuzzi de 8 à 10 places, illuminé, trônant sur une plateforme. Nous découvrons également un recoin plus sombre pourvu d’une grande cage vide, elle aussi dissimulée derrière de lourdes tentures, et une pièce-donjon équipée d’un sling placé au centre.
Personne nulle part, hormis une femme qui fume dans un coin câlin faisant salon (banquettes et tables basses). Nous décidons de profiter de notre avance et du fait que le match de foot n’est pas fini, pour aller nous détendre dans le jacuzzi. Nous finissons nos verres, prenons les serviettes et allons nous déshabiller dans le vestiaire de la partie humide du club.
Nous nous installons dans le jacuzzi, juste assez chaud et très bouillonnant, un délice. J’ai pris ma chérie sur mes genoux et nous nous embrassons, nous caressons sous l’eau. Peu de temps après, un autre couple nous rejoint. Ils s’installent en face de nous, nous regardent à la dérobée mais ne donnent aucun signe d’envie de jouer. La dame paraissait déjà un peu timide pour entrer dans le jacuzzi avec nous…. pourtant nous ne faisons pas peur d’habitude !
Pour les rassurer (lol !) nous sortons et allons nous rincer dans les belles douches chaudes. Ma miss est déjà ressortie. Je la rejoins pour aller vérifier avec elle si la partie « club coquin » s’est remplie. C’est le cas, il y a çà et là des couples, habillés, ils ne sont pas passés par le jacuzzi. Ce dernier trône au milieu du club sur sa plateforme illuminée et équipée par endroits – nous le découvrons maintenant – de plaques de verre permettant de regarder par-dessous les dames évoluant en jupe ou en serviette de bain autour du bassin. Il y a, sous la plateforme et l’escalier qui y mène, un coin câlin en forme de sous-marin avec deux alcôves circulaires aux extrémités. « C’est cet endroit que l’on voit en photo sur le site Internet » me glisse Caresse à l’oreille. Nous nous y glissons, il y a déjà deux couples habillés et sagement assis dans la partie centrale. Nous nous installons avec nos serviettes dans l’une des deux alcôves pour finir de sécher…
Caresse se tourne rapidement vers moi pour m’embrasser et me masturber sous ma serviette qu’elle enlève ensuite. L’un des deux couples sort du sous-marin, l’autre devient coquin : monsieur se lève, baisse son pantalon et commence à se faire sucer par madame qui est restée assise sur la banquette. Par les plaques de verre au plafond, on peut voir passer d’autres couples qui vont et viennent autour du jacuzzi. Deux dames du personnel du club entrent alors dans notre coin câlin pour rafistoler l’autre alcôve dont le skaï est déchiré et rassurent l’autre couple, juste à côté d’elles, qu’il n’y a pas de problème pour qu’ils continuent leurs petites affaires pendant qu’elles changent la toile en skaï de l’alcôve…
Mais apparemment le couple ne se sent pas très à l’aise et se déplace en se rapprochant de nous sur la banquette. L’homme demande alors s’ils peuvent s’allonger à côté de nous, il y a effectivement assez de place, en se serrant un peu sur notre gauche, et nous les invitons volontiers à partager notre alcôve. Je suis nu, sur le dos, Caresse en train de me sucer entre les cuisses, la jeune femme espagnole, vêtue d’un bustier, d’un porte-jarretelles, de bas et de bottines en vinyl noir à talons s’allonge à côté de moi. Son homme entreprend de la lécher et nous restons ainsi un moment, côte à côte.
Notre voisin se met alors à caresser le dos de ma chérie, allongée sur moi, elle me le souffle à l’oreille que nous avons un contact avec le couple. J’étends mon bras droit et commence à effleurer la partie supérieure de la gorge de la jeune espagnole. Celle-ci se retourne, se met à quatre pattes tandis que son compagnon la pénètre en soufflant bruyamment. Elle gémit… Dans cette position, je peux plus facilement atteindre ses seins qui pointent vers le bas. Je glisse ma main dans son bustier et commence à les masser. L’homme a, quant à lui, commencé à caresser le clito de ma chérie, tout en continuant d’enfiler son amie. Mais assez vite la position a dû devenir inconfortable, car sa compagne s’est remise sur le dos et c’est avec ses mains qu’il se concentre maintenant sur les deux sexes féminins.
Je me tourne vers ma jeune voisine, elle est allongée tout contre moi, et j'enlace sa tête et ses épaules de mon bras droit tandis que ma main gauche vagabonde de ses seins à son abdomen. Pas plus bas car j’y rencontre trop de monde : la main de monsieur qui lui laboure la chatte et la sienne qui masturbe son clito. Elle a encore la main gauche libre, et son compagnon la lui prend pour la mettre sur mon sexe qu’elle se met à caresser de bas en haut. Il prend aussi la main de Caresse et la place sur son membre à lui. Il est de belles dimensions comme me le dira Caresse un peu plus tard. J’entends ma chérie commencer à chanter, j’adore cette mélodie du plaisir qui monte chez elle !
Mon Espagnole ondule des hanches mais ne vocalise pas beaucoup. Ma main gauche continue d’explorer sa peau douce par des effleurements alternant avec des pressions un peu plus fortes. Revenant vers le pubis, je m’aperçois que monsieur n’y est plus, tout à son affaire avec ma chérie dont il a entrepris de stimuler – adroitement aux dires de l’intéressée – le point G. La jeune femme a continué de se masturber le clitoris, je vais donc directement à l’étage en-dessous et malaxe doucement ses lèvres humides de ma main gauche, puis j’introduis deux doigts dans sa chatte toute trempée. Elle se met alors à onduler avec plus d’ampleur, tout en continuant sa masturbation, nos visages se touchent et nous nous embrassons. Ce délicieux moment est hélas vite interrompu par la main de monsieur qui revient prendre possession de ses terres, après avoir fait jouir ma chérie ! Pas si libertin que ça le monsieur !
Je reprends ma Caresse dans mes bras et la serre tendrement. Nous profitons encore un peu du moment, nous détendons avant de sortir de ce coin câlin pour aller nous rhabiller, vu que nous ne pensons pas retourner dans le jacuzzi. Nous prenons un dernier verre, le club est maintenant plein à craquer, tous les coins câlins sont occupés mais la plupart des gens sont habillés, certains coquinent à peine dévêtus. Nous refaisons un tour, par curiosité, le coin du donjon est plein de gens habillés, debout dans l’obscurité, la cage également : on dirait le métro parisien aux heures de pointe. Nous regardons un instant à travers les barreaux de la grille, on ne voit pas trop bien ce qui s’y passe, seule une main féminine passe à travers les barreaux et commence à me caresser le sexe à travers le pantalon !
Pas tentés par les coquineries verticales… nous décidons d’aller terminer nos jeux à l’hôtel, il est déjà 2h du matin et nous devons faire de la route le lendemain !