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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

jeudi 30 septembre 2010

Vacances corsées : Bonifacio

(Alpha raconte)


Cette année, j’ai décidé de faire découvrir à Caresse l’Ile de Beauté. Embarqués à Marseille en soirée, nous arrivons au petit matin à Propriano, juste à temps pour l’ouverture des cafés du port et un premier petit déjeuner avec des croissants frais. Quelques tours de roue à travers le maquis en partie consumé par des incendies et nous voici dans l’enceinte de la perle du sud : Bonifacio.

Nous avons trouvé un superbe hôtel au cœur de la vieille ville, dans une maison ancienne joliment rénovée. La belle réceptionniste, souriante et attirante dans son body léger et son jean moulant, nous montre la chambre : en enfilade, une sorte de salon d’entrée et, en surplomb de trois marches, la chambre elle-même, occupée par un lit king size en fer forgé……. Mmmmm… tout le mobilier est en fer forgé, les chaises et table du salon compris. Volets intérieurs en bois massif, comme je les aime, sur les fenêtres et les deux lanternons du salon. Deux miroirs ornent les murs… Au fond une salle de bains dernier cri, avec tout le confort moderne. Notre début de séjour augure bien !

Très vite, nous nous retrouvons seuls dans notre nouveau royaume temporaire et malgré le lever matinal à l’arrivée du bateau, mon désir pour Caresse monte rapidement. Ce d’autant qu’elle a entrepris de revêtir sa nouvelle tenue de sortie toute blanche, dont elle sait qu’elle m’excite terriblement depuis que nous avons, avant le départ, fait une séance de photos sur la croix de mon donjon : bustier bordé de fronces en dentelle blanche, supportant les seins juste ce qu’il faut mais sans les cacher, au contraire, en les faisant davantage pointer vers l’avant… jarretelles blanches pour retenir les bas résilles blancs… bottines en cuir blanc, à talons hauts… mitaines en résille blanches aussi, remontant sur les avant-bras, bracelets en cuir blanc aux poignets et collier de chienne en cuir blanc également…. Quelle splendeur de la voir ainsi, offerte sur le lit en fer forgé !

Je n’y tiens plus, je saisis notre mallette de jouets…et je lie ses deux poignets avec un mousqueton entre les anneaux équipant les bracelets. Puis je lui lève les poignées par-dessus la tête et les fixe solidement à la tête de lit. Je lui écarte les cuisses doucement et je procède de même avec les chevilles, grâce à nos belles cordes blanches qui servent habituellement plus aux séances de bondage. Je lui écarte les jambes au maximum et j’attache ses chevilles aux extrémités du pied de lit en fer forgé. Ainsi écartelée, Caresse n’a plus qu’à s’offrir à ma vue et à mon bon vouloir, il lui est difficile de protester.

Pour commencer, je lui promène notre petit plumeau sur tout le corps et en particulier sur les parties sensibles, jusqu’à ce qu’elle commence à s’agiter un peu. Je lui mets alors sur la pointe des seins les deux redoutables pinces lestées qui la font gémir à chaque fois : elles tirent de tout leur poids ses tétons de chaque côté. Généreux, je me propose d’atténuer sa douleur en lui faisant produire des endorphines : je me place entre ses cuisses et je la lèche doucement… Elle oublie visiblement assez vite la douleur provoquée par les pinces, car elle se tortille comme jamais en gémissant sans cesse ! Ma langue, légère au début, appuie plus fortement et se promène de son clitoris à son anus, de plus en plus vite, puis elle s’insinue lubriquement dans sa fente déjà toute détrempée. Mmmm, j’adore boire goulûment son nectar d’abricot !
Mais j’aime aussi que nos jeux durent longtemps. Je m’arrête donc et lui applique deux autres pinces, plates celles-ci, sur les grandes lèvres. Je les relie entre elles avec une chaîne assez lourde. Ma caresse se cambre, son corps vibre de partout… je profite de son excitation pour fixer également une chaîne à l’anneau de son collier. Enfin, j’enlève les pinces de seins et je les remplace par des pinces à linge reliées par une troisième chaîne que je soulève et fixe en suspension aux barreaux de la tête de lit. Légèrement tendue, celle-ci tire sur les seins à chaque mouvement, même infime, de ma belle… Et elle ne va pas tarder à reprendre ses ondulations de plaisirs, car je retourne me placer entre ses cuisses toujours largement offertes et maintenant brillantes de son jus d’abricot qui coule de plus en plus !

Je reprends mes activités linguistiques sur son clito et sa vulve, en ajoutant deux doigts dans son vagin, pour stimuler son point G. Ses mouvements se font plus amples et ses gémissements plus forts, la chaîne des pinces tire de plus en plus sur ses seins et celle du bas de plus en plus sur ses grandes lèvres. Je prends en main la chaîne du collier pour la tendre également, que Caresse sente bien qu’elle est soumise au bon plaisir de son maître. Elle mouille abondamment, et vibre de plus en plus fort, son halètement se fait rauque, le plaisir a pris possession de son corps jusqu’à en devenir intenable, elle gémit, se cambre, gémit encore et encore… et elle finit par exploser, en criant sa jouissance, tandis que je continue de m’activer sur son clito et dans son vagin. Pantelante, elle gémit de délice, je décide de passer à un autre jeu.

Je la décroche du lit et je la fais se retourner à quatre pattes en travers sur le lit. Dans cette position, je peux lui entraver les chevilles aux extrémités du lit, je me place devant elle, enfile ma « cockcage » à trois anneaux en latex noir et je la force à me sucer longuement le membre et les testicules, en lui tenant fermement la tête par les cheveux. Après lui avoir de nouveau ligotée les mains dans le dos, je viens derrière elle et je la pénètre d’un seul coup, avant d’entamer un va-et-vient profond et vigoureux. Sa tête repose sur le matelas, mais je la tiens par la chaîne du cou pour l’obliger à la relever. La chaine du bas continue de tirer sur ses grandes lèvres et celle des seins repose sur les draps, un peu de décontraction au moins de ce côté-là ! Au bout d’un moment de ce traitement particulièrement excitant que Caresse peut admirer dans l’un des deux miroirs judicieusement placés, je lui enlève la chaîne des lèvres, reprends celle des seins, la tire derrière sa vulve et je m’introduis à nouveau en elle, la chaine posée sur mon pénis. Cette-fois, ce sont les pointes de ses seins qui sont stimulées, en même temps que son point G. Elle finit par jouir de nouveau et m’inonde de sa délicieuse liqueur.

Il est temps pour moi de conclure également, j’en ai terriblement envie, ma belle m’a mis le feu ! Tout en continuant mon va-et-vient dans son sexe trempé, j’introduis un joli petit plug dans son anus totalement offert. Je peux ainsi, d’un même mouvement, la pénétrer doublement, ce qu’elle apprécie au plus haut point. Mes mouvements enfoncent en effet le plug en même temps que ma queue s’enfouit tout au fond de son sexe chaud et humide. Une fois son anus ainsi préparé, je retire le plug et j’introduis ma queue gonflée à sa place dans son petit trou. Hummm quel délicieuse sensation ! Je tire régulièrement sur la chaîne du cou pour qu’elle sente bien sa soumission et je finis par lui lier le collier avec les mains, en tendant suffisamment pour l’empêcher de me toucher avec ses mains, la coquine ! Je continue mon va-et-vient en écartant ses deux fesses de mes mains redevenues disponibles et je sens ses contractions, l’anneau de son muscle qui voudrait défendre l’entrée de derrière contre mes ardeurs… Pour un homme, la sensation de sodomie est différente de la pénétration vaginale, la montée du plaisir est plus lente mais plus régulière, sans effet de « plateau », et la jouissance peut être aussi explosive qu’inattendue ! Un vrai délice de sentir l’étroitesse de ce passage qui comprime mon membre sur toute sa longueur et surtout à la base. Soudain, j’explose à mon tour, le membre entièrement englouti dans son arrière-train et je me vide en quelques spasmes. Je reste encore un bon moment ainsi, à goûter cette délicieuse sensation, bien retenu par son muscle anal serré autour de moi…
Caresse me confiera un peu plus tard qu’elle a elle aussi pris un pied incroyable. Pas encore un véritable orgasme anal, mais c’est sûr, nous allons poursuivre cette quête du Graal ! Que d’agréables TP en perspectives…

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