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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

mercredi 22 septembre 2010

La suite du donjon

Alpha raconte

Ces travaux pratiques nous ont donné soif. Nous sortons au soleil sur la terrasse du jardin et j’ouvre pour mes invités une bouteille de champagne avec mon sabre d’apparat. Le bouchon est propulsé du premier coup à 5 mètres, en direction de la piscine dont le bleu profond invite à se rafraîchir. Très rapidement Caresse et Estelle ne peuvent se retenir et se dévêtent à nouveau complètement pour s’immerger avec délice dans l’eau à 26 degrés, coupe de champagne à la main. Il faudra qu’un jour je me décide à construire ce fameux bar de piscine auquel je pense depuis longtemps, ce qui me permettrait de mettre à profit mes talents de barman émérite pour mes invités même lorsqu’ils font trempette….
Tandis que Yann et moi dégustons notre coupe en devisant tranquillement sur la terrasse, les ébats de Caresse et Estelle dans l’eau semblent ne pas se limiter à la natation… D’un œil distrait, nous les apercevons enlacées, embrassées, disparaissant parfois sous l’eau et ne réapparaissant que pour inspirer et ainsi pouvoir également soupirer en gémissant.

Je profite de cet intermède pour retourner avec Yann dans le donjon et terminer de monter la table de « torture ». Très ingénieusement, Yann a prévu quatre montants en fer forgé, qui viennent se loger dans les pieds de la table et montent en un cône divergent jusqu’à environ 1m60 de hauteur. Ils sont vrillés de 10 degrés, afin de permettre différentes orientations en fonction du pied de table dans lequel on les insère. Un vrai bijou, Yann devrait déposer un brevet avant que d’autres lui dérobent son ingénieuse idée…

Caresse vient à peine de se sécher en sortant de l’eau que nous la saisissons par les poignets et l’entraînons de nouveau vers le donjon. Elle semble déjà un peu saturée de plaisir, ce qui ne nous étonne guère, connaissant les aptitudes d’Estelle à amener rapidement ses consoeurs dans des états fort enviables. Nous la couchons sur le dos, à plat sur la table, puis lui fixons les poignets et chevilles aux quatre montants métalliques, avec les bracelets en cuir et de lourdes chaînes. Elle se trouve ainsi totalement offerte aux regards des participants et ce spectacle commence d’ailleurs à nous mettre dans un nouvel état d’excitation. Estelle nous a rejoints et profite elle aussi du spectacle, tant qu’elle en a la liberté… Grand seigneur, Yann me suggère d’essayer maintenant la table qui, me fait-il remarquer, se trouve parfaitement à ma hauteur. Effectivement, c’est sans effort que je m’introduis à fond dans le sexe béant de Caresse qui, les jambes bien écartées et fixées, ne peut que pousser un soupir de résignation sans doute mêlée de plaisir. Estelle et Yann viennent se placer de chaque côté de la table et s’occupent de titiller les pointes de seins de Caresse, chacun de son côté. Très vite, ma belle commence à s’agiter sur la table, à se tortiller pour échapper à cette douce torture… mais rien à faire, les chaînes sont solides et la table est très stable. Ces petits jeux de langue ont fortement excité nos amis et Yann décide de rattacher Estelle à la croix et de la prendre par derrière, comme elle aime. Ne voulant toutefois pas que Caresse soit déçue, ils prennent la précaution de lui placer les pinces lestées sur les tétons, avant de la laisser. Caresse pousse un cri à l’installation de chacune des pinces, car le poids de celles-ci les tire vers le bas. Je la console en venant lui lécher doucement le clitoris, puis ses lèvres détrempées dont je goûte le nectar avec gourmandise. Pour apprécier encore davantage ce cocktail explosif, j’apporte un petit pot de confiture de poire au gingembre et épices, dont je lui badigeonne la vulve. Les épices ajoutent une excitation supplémentaire au contact des tendres parties intimes de ma Caresse, mais je ne laisse pas longtemps la confiture à son contact tant je suis empressé de la lui lécher. Ma langue gourmande s’attarde dans tous les replis de son sexe, de l’extérieur des grandes lèvres jusqu’à l’intérieur des petites et je pousse la pointe de ma langue au maximum dans ses deux orifices naturels pour être bien certain de ne pas laisser une seule goutte de cet onguent érotique. Caresse est tombée en transe et, se tortillant  en vain sur la table, pousse un très long gémissement qui se transforme en feulement rauque de tigresse en rut. Elle est secouée de spasmes violents qui m’indiquent la nécessité de procéder à un aménagement de sa situation qui pourrait devenir inconfortable. Je lui enlève délicatement les deux pinces – ce qui pourtant lui arrache de nouveau un cri de douleur – puis lui détache les poignets et enfin les chevilles. Derrière moi, sur la croix, le spectacle est du meilleur aloi… Et mon excitation est visiblement à son comble !

Recouvrant ses esprits, Caresse reprend aussitôt l’initiative et je me retrouve rapidement attaché de l’autre côté de la croix, poignets en l’air et chevilles plaquées par les chevillières de cuir contre la partie basse. Il faut dire que, pour honorer ces dames, j’ai aussi revêtu mon « costume 3 pièces », un cockring en forme de cage, composé de trois anneaux en latex. Avec le collier de chien autour du cou, lui-même fixé aux anneaux de la croix, et un bandeau noir sur les yeux, Caresse me trouve très réussi et s’empresse de faire des photos. Je pourrai ainsi profiter du spectacle que j’offre à l’insu de mon plein gré… Je sens une bouche chaude s’emparer de mon sexe dressé et le malaxer longuement de la langue, puis dans un va-et-vient longitudinal qui pousse ma pression intérieure de plusieurs crans. Dans le même temps, je sens la chevelure d’Estelle qui me caresse le haut des cuisses comme on le ferait avec une plume. Estelle se trouve en effet derrière moi sur la croix, penchée à 90 degrés vers l’avant (c’est du moins ainsi que je l’ai vue pour la dernière fois avant que le bandeau m’isole visuellement de la scène que nous formons à quatre). Elle crie soudain son plaisir, quand Yann, du moins je le suppose, jouis en elle avec force. Caresse doit sans doute profiter de ce spectacle bien qu’elle ne relâche aucunement son massage bucco-manuel de mon sexe et de mes testicules gonflés, que compriment les anneaux de latex noir qui les enserrent. Je crois discerner quelques chuchotements et ô surprise, la bouche familière de Caresse se retire… pour céder la place à une autre tout aussi active et experte, qui m’arrache des gémissements de plaisir contraint. Quoi de plus délicieux que de se trouver ainsi forcé à son propre plaisir, sans pouvoir ni l’accélérer ni le ralentir, soumis au rythme que mes partenaires voudront bien m’appliquer, à leur convenance?  Pour mon bonheur, elles sont en effet maintenant toutes deux sur moi, je sens leurs deux langues me parcourir de part et d’autre, avec parfois une interruption quand elles se rejoignent et se gratifient mutuellement d’un langoureux baiser. Caresse et Estelle se relaient également pour me mordiller les tétons qu’elles ont préalablement munis de leurs pinces lestées. Privé de la vue, mes sens s’exacerbent et une réelle ivresse s’empare de moi, je ne suis plus que dans mes sensations et celles-ci me débordent sans que je puisse rien en contrôler. Au bout du compte, ma jouissance explosive est une libération au sens propre comme au sens figuré car c’est seulement après que mes geôlières consentent à me détacher !

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