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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

dimanche 26 septembre 2010

un week end en Provence

(Alpha raconte)


C’est le début des vacances, nous avons depuis longtemps fixé une date pour revoir nos amis Pierre et Jennifer (voir récit du point G) dans le sud de la France. Nous sommes en août et les cigales crissent de tous leurs élytres autour de la gare TGV d’Aix-en-Provence, incongrûment posée au sommet d’un plateau calcaire inhabité…

 Mais avant de rejoindre nos amis, nous avons prévu un «pré-weekend» en amoureux dans un endroit magique dont tous nos amis nous ont parlé avec des étoiles dans les yeux : un gite libertin caché dans le maquis varois, et dont heureusement nous avons les coordonnées GPS. Car aujourd’hui la technologie satellitaire et téléphonique s’avère indispensable aux libertins modernes et mobiles, faute de quoi ils risquent de ne jamais atteindre leur but…

Car même équipés, nous ratons la sortie d’autoroute dont, il est vrai, la signalétique est déficiente. Quelques kilomètres plus loin, nous sortons et revenons sur nos pas par les petites routes… Nous découvrons ainsi des endroits improbables, perdus au fil des chemins et dissimulés dans la végétation luxuriante, jusqu’à atteindre une petite « traverse » à peine signalée au milieu d’un champ. Nous nous y engageons, elle se transforme en piste sablonneuse puis s‘engage entre des bâtisses datant de plusieurs siècles. Nous croyons entrer dans une ferme, mais la piste traverse en fait ce minuscule hameau où quelques habitants nous suivent d’un regard entendu : « encore des estrangers qui vont au gîte échangiste… »…

Après deux bifurcations, donnant le sentiment d’être au bout du monde, nous achevons les derniers mètres grâce au guidage téléphonique de notre hôtesse, Catherine.

Une superbe propriété, au bout de cette route poussiéreuse… Toute en terrasses paysagées, du parking en bas à la piscine naturiste en haut, cachée dans les pins et les chênes verts, le domaine étage ses bâtiments fraichement crépis. Un rapide coup d’œil sur les plaques d’immatriculation du parking saturé, nous indique que la France entière, la Belgique et la Suisse sont présentes… Nous parvenons péniblement au sommet des escaliers, pour y trouver Catherine et son mari Thierry.

Ils nous accueillent chaleureusement avec un verre de rosé bien frais. Catherine porte un joli petit short sexy en jean, assez échancré et orné de dentelle blanche ainsi qu’un petit top couvrant juste ce qu’il faut. Thierry est nu. Autour de la piscine, les couples sont allongés nus au soleil et certains sont enlacés. Deux ou trois personnes s’ébattent dans la délicieuse piscine chauffée et en plein soleil. Nous remarquons, en surplomb de la piscine, deux huttes en bois pourvues de matelas… Les fameux «coins câlins dans la pinède », hummm… il nous tarde de les essayer !

Thierry a passé un short, il nous montre notre chambre, grande et décorée avec goût, avec une vue panoramique sur le maquis en contrebas. Nous nous installons rapidement car nous n’y tenons plus depuis Aix. Je brûle de montrer à Caresse ses nouveaux jouets : un soutien-gorge taille unique, bonnets A à Z, en bois et métal, que je lui ai confectionné avec amour ; et une barre d’écartement pour agrémenter les jeux de soumission…

Je lui passe sans attendre ses bracelets blancs aux poignets et un bandeau sur les yeux puis je l’accroche par les poignets à la grille de la fenêtre de la salle de bains au moyen d’une courte chaîne bien tendue. je la déshabille et lui fixe la barre d’écartement aux chevilles, ce qui la fait immédiatement mouiller et gémir. Thierry a laissé entendre, coquin, que nous pouvions laisser ouverte la porte de la chambre, ce que nous avons fait… je remarque que deux ou trois personnes, dont Thierry, jettent des regards vers la fenêtre de la salle de bains, à cause des petits cris de ma belle. je lui en fais part, mais elle ne me croit pas : « mon Alpha prend plaisir à essayer de m’inquiéter alors que je suis dans une position délicate » pense Caresse !

Je viens alors entre ses cuisses écartées et je commence à lui lécher délicatement le clitoris et les lèvres détrempées. Pas question d’en perdre une goutte ! Pour renforcer encore ses sensations, je lui passe son nouveau « soutien-gorge » que je serre au-dessus et en-dessous avec les écrous à oreilles sur les trois tiges filetées. Les seins ainsi comprimés lui arrachent un cri plus aigu et font saillir en avant les tétons gonflés d’excitation. Il ne me reste plus qu’à y fixer les pinces, reliées à une longue chaîne lourde que je suspens à l’étendoir des serviettes de l’autre côté de la salle de bains. Ainsi lestée et entravée, Caresse n‘a plus qu’à subir les allers-retours de ma langue dans et autour de sa fente en feu. J’y ajoute les doigts et entame un rythme endiablé… jusqu’à ce qu’un orgasme ravage ma dulcinée qui hurle de tout son corps sans savoir que les spectateurs de la piscine n’ont pas perdu une miette, enfin de ce qu’ils pouvaient voir et imaginer !

Je délivre Caresse, il est temps de se préparer et d’aller rejoindre les autres pour dîner. Thierry fait les présentations avec les 5 autres couples pensionnaires, les autres clients, venus simplement à la journée, ont déjà quitté les lieux. Il en profite pour faire quelques allusions à la séance de la salle de bains et nous fait d’emblée une réputation parmi cette petite communauté de circonstance… !! Nous constatons d’ailleurs que cette petite démonstration intéresse grandement deux ou trois autres couples, plus bien sûr Catherine et Thierry…

Cette façon de « briser la glace » nous permet de passer un très bon moment à table et de nous découvrir un peu mieux les uns les autres. Très vite nous sympathisons avec nos deux couples voisins : Cléa et Daniel d’un côté, Cynthia et Christophe, nos voisins suisses, de l’autre. Malgré la petite taille du gîte, tous les convives ont fait un effort vestimentaire dans une perspective de séduction. Les hommes restent dans l’ensemble assez classiquement vêtus, pantalons et chemises légères entrouvertes sur leurs poitrines velues… quant aux dames, elles rivalisent de beauté et d’élégance : robes courtes et décolletées, bas et jarretelles ou petits shorts moulants, délicats escarpins avec au minimum 10 cm de talons, bijoux et parfums. Un grand moment d’épicurisme ce dîner, un ravissement de tous les sens ou d’au moins quatre d’entre eux, pour le toucher il faudra attendre encore un peu…

Après le café et un petit digestif offert par la maison, il est manifeste que personne ne souhaite aller se coucher, aussi Thierry propose-t-il d’ouvrir la mini-discothèque aménagée dans la partie basse du bâtiment : une pièce d’environ 25m2, équipée d’une sono, de lumières noires, d’un bar et de banquettes…. Et doté d’un coin câlin assez grand pour 8 personnes à l’extrémité de la piste de danse.

L’idéal pour un petit groupe comme le nôtre… Très rapidement, tout le monde se retrouve à danser ensemble sur la piste. Rythmes fiévreux, salsas, zouks,… tout porte à la sensualité. Cynthia brille particulièrement de mille feux car il se trouve que notre suissesse est d’origine congolaise ! Elle danse lascivement avec Caresse, sous les yeux de Christophe et d’Alpha, puis vient se frotter l’arrière-train devant moi tandis que Christophe colle Caresse par-derrière. Nous nous retrouvons vite enlacés tous les quatre et échangeons nos premiers baisers tout en continuant de danser.

Puis nous encerclons Cléa et Daniel, des pros de la salsa, et commençons à les attirer dans nos jeux. Cléa se retrouve au centre de toutes les attentions, avec Daniel derrière elle, Cynthia et Caresse devant, qui lui déboutonnent son corsage tout en l’embrassant. Ceci me permet, ainsi qu’à Christophe, postés de part et d’autre de Cléa, de chacun lui saisir un sein et de lui sucer… La réaction ne se fait pas attendre, Cléa penche la tête en arrière en gémissant doucement…

La musique change soudain, nous sommes excités et décidons de passer dans le coin câlin. Sans plus attendre, nous nous déshabillons les uns les autres et poursuivons nos explorations intimes : nos mains se font caresses, nos lèvres à tous les quatre se font baisers et chuchotements… je me retrouve sur le dos en train de caresser et embrasser Caresse tandis que Cynthia s’active entre mes cuisses à me sucer à un rythme effréné. Christophe a plongé entre les cuisses de Caresse qu’il lèche goulûment. Puis Cynthia se tourne pour sucer son homme qui s’est redressé pour embrasser Caresse. Alpha vient donc tout naturellement se placer entre les cuisses de Cynthia pour la lécher à son tour.

La pression monte de plus en plus… nos désirs augmentent, nos corps sont en feux, nos mains caressent encore et encore les corps des autres, c’est un ballet de caresses et de plaisirs qui montent entre nous… N’y tenant plus devant la croupe tendue de Caresse qui me titille les seins, Christophe la pénètre avec vigueur pendant que Cynthia et moi nous plaçons en « 69 »… La température monte encore d’un cran, c’est la 1ère fois que ma Caresse se lâche autant avec un couple que nous ne connaissions pas le matin… mais un super feeling a eu lieu entre ma Caresse et Cynthia, cette connivence entre nos deux femmes, à Thierry et moi, était belle et excitante… elles se sont beaucoup charmées au repas, puis sur la piste de danse pour enfin nous offrir un feu d’artifice de bonheur libertin dans le coin câlin de la discothèque !

Les caresses s’accélèrent et presque en même temps, nos deux libertines crient leur jouissance, l’une sous les coups de boutoir de son partenaire, l’autre sous la langue et les doigts du sien… Pour nous relaxer un peu, nous nous caressons tous les quatre, nos mains se font de nouveau tendresse, nos lèvres se font baisers… puis chaque couple se reforme tendrement et nous terminons nos ébats par corps à corps classique et si délicieux avec nos conjoints respectifs.

Soudain Thierry apparaît dans l’embrasure du coin câlin, levant le nez, je réalise qu’il n’y a plus personne sur la piste de danse… « L’heure de la fermeture ? » dis-je à Thierry. Celui-ci secoue négativement la tête, attiré par les doux cris de jouissance, il est juste venu voir le spectacle !
Nous n’avons pas vu le temps passer encore une fois… Après avoir souhaité la bonne nuit ou ce qu’il en reste à nos amis suisses, nous allons nous coucher et constatons, stupéfaits, qu’il est déjà…. 3 heures du matin !

Nous apprendrons le lendemain que Cléa et Daniel se sont éclipsés dans leur chambre pour coquiner avec le couple belge ! Quel dommage qu’ils ne soient pas restés avec nous, le coin câlin était assez grand pour que nous coquinions tous… une autre fois sans doute !

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