Un quatuor bisexuel inattendu au 72

(Alpha raconte)

Après une semaine paisible, nous retournons dans notre club, mais c’est samedi soir cette fois, pas de thème particulier. Moins facile de se garer en ville que les autres soirs mais bon, nous trouvons une place pas trop loin du club et puis nous sommes habillés « normalement » ce soir, presque « bourgeoisement » !

Nous saluons le staff du club, passons au vestiaire puis allons au bar prendre un café comme à l’accoutumée. Nous remarquons qu’il y a ce soir nettement plus de couples que les lundis (journée bissex), les hommes seuls sont quasi inexistants bien qu’il n’y ait pas de quota à l’entrée…

Nous passons dans le coin couples. Il est vide et nous choisissons l’alcôve des glory holes. J’entame un doux cunni sur ma belle qui n’y a pas eu droit ce matin, ni hier soir pour des raisons indépendantes de ma volonté. Je sais qu’elle adore ça, donc pas d’hésitation ! Au bout d’un moment, je me retourne en 69 pour qu’elle puisse me sucer en même temps, je sais qu’elle adore ça et j’aime aussi !

Personne n’apparaît pendant ce doux moment, ni dans le coin couples, ni dans les glory holes…

Du bruit, la porte s’ouvre et deux jeunes femmes accompagnées de 6 ou 7 hommes entrent bruyamment, s’installent dans les coins câlins du fond… Leurs éclats de voix et de rires ne nous paraissent pas très appropriés ni respectueux et toujours aucune queue dans les glory holes, notre patience est mise à rude épreuve ce soir ! Nous nous disons, sûrement à juste titre, que les deux jeunes femmes ont accaparé tous les hommes seuls du club, pas sûr qu’il nous en reste de dispos ce soir hors du coin couples !

La porte s’ouvre à nouveau, un couple apparaît, s’arrête dans l’encadrement de notre alcôve, hésite. Puis l’homme grimpe sur le matelas à côté de nous, madame légèrement en retrait derrière lui. Nous leur faisons de la place pour qu’ils s’installent : l’homme est à genoux, tourné vers nous et madame, debout derrière lui, le masturbe, il est déjà en grande forme. Je suis allongé sur le dos devant lui, ma chérie contre moi en train d’alterner fellations et masturbations. Elle m’a, avant l’arrivée du jeune couple, équipé de mon cockring en cuir noir et métal qui me serre les couilles et me fait gonfler davantage la hampe et le gland.

Ma chérie fait signe à l’autre femme de se rapprocher mais elle semble réticente. Visuellement, le contact semble plus facile avec monsieur qui, lui, n’hésite pas longtemps avant de prendre ma queue à pleine main, à la place de ma belle qui se concentre sur la succion de mon gland. Monsieur serait donc bi, hummmm !! Quelle chance, en soirée « normale »…

De ma position allongée j’ai une vue imprenable sur son sexe à lui que sa chérie continue de branler, et je me mets à lui caresser le bas du dos. Très vite, ma Caresse a saisi un préservatif au chocolat de notre réserve personnelle et entreprend d’équiper l’homme – Lionel, comme il nous le dira ensuite. Comme il est un peu surpris, elle lui explique que j’adore les sucettes au chocolat… Il ne semble pas comprendre pourquoi « au chocolat » mais il comprend vite qu’il va se faire sucer par moi et il apprécie visiblement l’idée !

Je me redresse un peu, la queue toujours dans la main vigoureuse de Lionel, et je commence à le prendre dans ma bouche. Hmmm, un délice ce chocolat, et la banane à l’intérieur est bien dure, juste assez longue et assez grosse comme il faut pour ne pas étouffer quand je l’enfourne tout entière jusqu’au fond de ma bouche. Lionel bouge bien, il donne un mouvement de va-et-vient à son bassin tandis que Patricia, sa compagne, lui caresse le dos et les pectoraux.

Ma chérie a convaincu Patricia de participer un peu plus : elle prend le relais de Lionel et se met à me masturber, tandis que ma belle la met un peu plus en confiance en l’embrassant et caressant sa peau de pêche. Patricia s’enhardit un peu, et approche ses lèvres de mon gland, le lèche et le suçote. Puis elle avale ma queue dans sa bouche et entame un mouvement de va-et-vient avec sa tête. Ma Miss a introduit un doigt dans mon anus… hummm…je suis au paradis !

Pour ma part, je n’ai pas cessé ma fellation chocolatée sur Lionel. J’aime beaucoup ne pas devoir m’échiner pour l’exciter car il bouge bien : je peux me contenter de rester passif et c’est lui qui règle le rythme et la profondeur de la pénétration. Trop bon ! Mais la position latérale, la tête appuyée sur un coude, finit par être fatigante pour moi, les cervicales deviennent douloureuses. J’essaie de me repositionner, ce qui fait sortir Lionel de ma bouche.

Patricia profite de l’occasion pour se relever aussi et convaincre Lionel de passer dans le coin câlin d’en face. En fait, elle a très envie de lui pour elle toute seule, nous les soupçonnons un peu d’être un couple d’amants illégitimes, venus se rencontrer furtivement dans un club libertin. Ils disparaîtront rapidement ensuite, confirmant notre impression, sans doute par nécessité de rentrer à leurs domiciles respectifs.

Qu’à cela ne tienne, nous reprenons notre câlin à deux. Du mouvement derrière la paroi, cette fois des hommes seuls sont là, nous distinguons des silhouettes et des peignoirs de bain de l’autre côté des trous du mur. Une queue apparaît dans le trou de droite, ma chérie s’en empare. Elle semble lui convenir, et me fait signe de lui passer un préso au chocolat…

Ma Caresse suce la nouvelle queue, plus volumineuse que celle de Lionel, tandis que je lui caresse le dos et la chatte. Puis elle s’écarte, tout en gardant le membre dans sa main et me cède la place. A mon tour, je suce avidement cette grosse queue qui, elle aussi, bouge bien. Mais son propriétaire semble vouloir autre chose : à plusieurs reprises il se retire et approche son visage du trou, demandant à entrer…. En fait, c’est un gros hétéro qui ne s’intéresse qu’au cul de ma chérie, heureusement qu’il ignore que je l’ai moi aussi sucé, il n’apprécierait sans doute pas !

Ma miss finit par tourner ses fesses vers le trou du mur pour qu’il lui caresse plus facilement le point G pendant qu’elle recommence à me sucer. Sauf qu’à un certain moment, pendant qu’elle vérifie avec sa main ce qui se passe derrière elle, elle constate que ce ne sont plus les doigts du monsieur, mais sa queue, dont il a enlevé le préso ! Très irrespectueux de sa part, il est définitivement grillé pour le reste de la soirée… Nous n’apprécions pas du tout ces pratiques douteuses et très risquées !

Ma miss s’écarte aussitôt de la paroi et se pelotonne contre moi, nous nous caressons à deux loin des trous. « L’autre » finira par s’en aller sans mot dire, il a dû comprendre qu’il avait « déconné ».

Nous retournons au bar, plein de gens, mais exempt de coquineries. Nous rentrons finalement à la maison pas trop tard et finissons nos câlins à deux, cunni et fellation bien mérités après toutes ces interruptions coquines que nous aimons beaucoup, c’est une autre façon de se détendre et parfois ces petits moments complices sont tout aussi agréables que de longs échanges !

Vivement notre prochaine sortie…