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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

dimanche 23 janvier 2011

Rencontres madrilènes: Tolède (épisode 2)

(Alpha raconte)

Nous nous sommes donné rendez-vous à 21h pour aller dîner dans un restaurant non loin de l’hôtel avec nos nouveaux amis madrilènes. Les dames se sont faites belles et les messieurs se sont habillés classiques et élégants. Roberto s’est chargé de faire la réservation, il a dégoté un superbe restaurant de cuisine « fusion », c’est-à-dire mêlant créativement des recettes traditionnelles et des touches d’originalité moderne. Ce restaurant, le Locum (le « lieu » en latin), s’étage sur trois niveaux carrés en mezzanine sur la partie centrale, faisant puits de lumière sur toute la hauteur de l’immeuble. Ce « lieu » fait penser aux riads de Marrakech, c’est une maison ancienne de la ville, juste derrière la cathédrale, en pierre de taille et planchers antiques supportés par de grosses poutres rectangulaires. Un « lieu » vraiment magique… !!!

Le menu est à la hauteur de la réputation du « lieu ». Nous prenons des assortiments de plats afin de les partager entre nous quatre, un excellent vin rouge de la Ribera del Duero… les desserts sont à tomber en pâmoison… Le service est bien entendu également de très haut niveau. Superbe soirée gastronomique en excellente compagnie !

Nous sortons du restaurant vers 23h. Les ruelles pentues derrière la cathédrale sont quasi-désertes. Roberto nous demande de nous arrêter devant la porte des lions, l’un des portails monumentaux de la cathédrale, défendu d’une haute grille avec de solides barreaux en métal. Il sort son appareil photo et nous prenons quelques clichés souvenirs de cette belle soirée. Mais nous comprenons rapidement qu’il souhaite faire aussi des photos un peu plus « artistiques »…

Maria commence à écarter les pans de son manteau et dégager sa gorge tenue dans son beau corset noir. Caresse l’embrasse doucement puis plus intensément en descendant petit à petit vers les pointes des seins de Maria. J’ai moi aussi sorti l’appareil photo….. Quelle jolie scène, avec la cathédrale nocturne en toile de fond! Les deux femmes sont maintenant largement dénudées dans la partie supérieure de leur corps : Caresse a enlevé son manteau et apparaît dans son déshabillé de dentelle noire, Maria a laissé tomber son manteau en arrière sur ses bras et a les épaules et les seins nus dans la rue. Caresse s’est maintenant agenouillée pour lui lécher le sexe et Maria ferme les yeux de plaisir… Roberto et moi profitons de ce spectacle qui nous est offert en cadeau.

Des bruits de pas résonnent soudain sur le pavé de granit… des silhouettes apparaissent à l’entrée de la ruelle! Rapidement Caresse se relève et réenfile son manteau tandis que Maria remet le sien sur ses épaules d’un coup, elle n’a pas eu le temps de refermer le corset, ce qui la fait éclater de rire, au moment où le groupe de passants arrive à notre hauteur, nous lance un regard de travers et continue son chemin sans faire de commentaires…

Rentrés prestement à l’hôtel, nous rejoignons brièvement nos chambres respectives avant de nous retrouver tous les quatre dans la nôtre. Roberto et Maria ont ramené nos flûtes à champagne de la veille, le champagne est au frais dans le seau à glaçons et nous avons même de quoi le sabrer, mais la taille de la chambre ne se prête pas à cet exercice. Nous préférons continuer nos activités artistiques commencées dans la rue, Roberto et moi prenons les appareils photo pendant que Caresse et Maria recommencent à s’enlacer et s’embrasser. Apparemment, la petite séance dans la ruelle les a déjà bien mises en condition.

Nous faisons une jolie série de clichés, tandis que les belles s’effeuillent lentement l’une l’autre : Caresse, perchée sur ses nouveaux escarpins noirs, bas et jarretelles, et son haut en dentelle noire, Maria aussi en escarpins, bas, jarretelles et corset noirs, cheveux déliés sur les épaules… Nous les prenons d’abord de dos, puis Maria se retourne pour nous faire face, tandis que ma chérie dégrafe son corset pour lui lécher les seins. Puis elle s’accroupit entre ses cuisses, enlève le mini string de Maria et commence à lécher son intimité. En même temps, Maria finit de dégrafer son corset et l’enlève complètement, elle commence à gémir et se tortiller de plaisir. Puis elle aide ma miss à défaire son haut sexy en dentelle, Caresse revient sucer les pointes de seins de Maria. Les deux femmes paraissent fort émoustillées, mais les deux hommes aussi, bien que cela ne soit pas tout à fait apparent sous nos vêtements toujours en place.

Ces dames décident soudain de passer à d’autres jeux et nous enjoignent de laisser les appareils photos tandis qu’elles commencent à nous déshabiller. Rapidement, Roberto et moi nous retrouvons en string, face à face, les deux belles à genoux entre nous alternant leurs caresses manuelles et buccales de l’un à l’autre. Tout le monde semble très en forme !

Comme la veille, Roberto se voit soudain paré de beaux bracelets en cuir et métal noirs aux chevilles et aux poignets, puis elles l’allongent sur le lit et le ligotent écartelé par les quatre membres. Maria ajoute un bandeau noir sur ses yeux, Roberto bande déjà comme un taureau ! Les dames, coquines, se la jouent « dominas » ce soir…. Caresse m’a équipé de mon collier de chien en cuir noir, avec sa laisse, bracelets aux poignets et aux chevilles également, plug anal…. Elle m’attache les deux poignets dans le dos par un mousqueton puis me tire par la laisse sur le lit en me disant qu’elles et Maria vont maintenant faire de jolies photos de leurs hommes….

Je suis à genoux devant Roberto, entravé et ignorant de ce qui est en train de se passer. Caresse me tire par le collier jusqu’à approcher mon visage du sexe de Roberto… qu’elle m’ordonne, soutenue par Maria, de prendre dans ma bouche ! Malgré mes réticences, je n’ai guère le choix, dans la position où je suis et je m’exécute, du bout des lèvres, puis un peu plus loin. Roberto, sentant une bouche humide envelopper son gland, commence instinctivement à jouer du bassin dans un va-et-vient de plus en plus fort. Sans pouvoir rien dire ni faire, je suis ainsi obligé de prendre sa queue entière dans ma bouche, jusqu’à la garde, tandis que notre ami s’agite de plus en plus frénétiquement. Gulp… !

Maria n’en perd pas une miette et assure le reportage photographique pour Roberto. Elle prend les photos sous toutes les coutures et semble particulièrement amusée, même heureuse pour Roberto, quand elle lui révèlera ce qui s’est passé… ! Caresse décide alors de « corser » un peu le jeu, et elle m’enjoint de passer à quatre pattes au-dessus de Roberto, qui s’est immobilisé quand je l’ai finalement lâché. J’obéis docilement, et Roberto sent désormais mon sexe frôler son menton, tandis que je reprends le sien dans ma bouche maintenant habituée. Il reprend aussitôt ses ondulations du bassin tandis que Maria lui explique en deux mots ce qui est attendu de sa part. Sans hésiter, il avale mon sexe en entier et commence à le sucer activement tandis que je m’occupe du sien. Les deux femmes profitent du spectacle de leurs hommes soumis en 69 et mitraillent à tout va de leurs appareils photos. Ce qui nous permettra d’ailleurs de profiter nous aussi du spectacle, en différé….

Cette position est particulièrement excitante pour nous, d’autant que nous ne pouvons aucunement nous servir de nos mains. Roberto est toujours autant excité, il donne de furieux coups de hanches, je sens son membre coulisser de toute sa longueur jusqu’au fond de ma gorge, profonde finalement. Ce jeu me fait intensément saliver, il en est de même de mon compagnon qui suce tout aussi énergiquement ma queue. Les dames sont très excitées par le spectacle et finissent par laisser tomber les appareils photos pour venir elles aussi se placer en 69 à côté de nous. A défaut de les voir – encore que moi je puisse les lorgner du coin de l’oeil – nous les entendons se lécher, sucer l’une l’autre, se caresser les seins et gémir, soupirer… Intense moment d’excitation et de bonheur partagé ! Caresse et Maria s’activent tant et si bien que Maria se met à crier de plaisir tandis que je reconnais la chanson de ma chérie qui monte crescendo, rapidement, jusqu’à sa jouissance.

Les dames s’écroulent momentanément sur le côté du lit, je me redresse alors et me dégage de Roberto. Maria et Caresse lui enlèvent le bandeau et le détachent. Roberto se saisit rapidement de Maria, la retourne à quatre pattes sur le lit et l’enfile d’un seul coup. Il n’en peut plus, le pauvre…. ! Je me suis allongé sur le dos à côté d’eux pour me relaxer un peu, mais ma chérie ne perd pas un instant pour venir me faire une fellation comme je les aime et comme seule elle sait les faire, savamment dosée à force d’expérience et de savoir-faire. Elle a encore envie de jouer et ôte le plug anal pour passer au calibre supérieur, notre « diabolique », noir et vibrant, d’une belle longueur et d’un beau diamètre. Mmmmm, quel délice…

Roberto est vite parvenu à l’orgasme en prenant sa chérie par-derrière, il s’écroule sur le côté, game over… Mais Maria se montre très intéressée par les jouets de ma Caresse et, ne voulant pas être en reste, sort l’un des siens, un gode énorme, réaliste avec testicules et piles, il vibre encore plus diaboliquement, le monstre ! Elle le lubrifie abondamment et s’évertue à me l’essayer avec l’aide de ma chérie. « Es mas pequeno… » dit-elle, faisant sans doute allusion aux dimensions de son chéri, plus trop réceptif à cette heure-ci. De fait, elle ne parvient pas à l’introduire, elle est précautionneuse et ne veut pas me faire de mal.

Caresse reprend les choses en main et, avec son doigté habituel, lui montre que, mas pequeno ou pas, ça rentre quand même, avec suffisamment de gel…. !!! Mais quel monstre, surtout quand il vibre… Je crie grâce au bout de quelques instants et d’ailleurs Maria réalise qu’il est l’heure de ramener son chéri entre les bras de Morphée.

Nos amis se rhabillent tant bien que mal pour franchir les quelques mètres qui les séparent de leur chambre, à cette heure-ci peu de risque qu’ils croisent quelqu’un dans le couloir ! Nous prévoyons de nous retrouver le lendemain matin pour le petit déjeuner-buffet de l’hôtel.

Je reprends ma Caresse dans mes bras et l’enlace en l’embrassant, quelle douce sensation, toujours un bonheur de se tenir ainsi enveloppés l’un dans l’autre. Je la pénètre en même temps, bien à fond et nous restons un moment ainsi à savourer notre plaisir d’être ensemble et d’avoir partagé cet extraordinaire moment avec des amis si délicieux avant de nous endormir l’un dans l’autre.

2 commentaires:

  1. La vie rêvée des libertins...Quel beau récit !

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  2. Oui,ce récit est l'un de nos meilleurs souvenirs.... d'autres à venir!

    Bises a vous deux

    P

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