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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

samedi 15 janvier 2011

Rencontres madrilènes: Tolède (épisode 1)

(Alpha raconte)

Quand je suis venu pour la première fois, il y a longtemps, dans cette splendide ville espagnole chargée d’histoire, jadis même capitale du pays, je ne pensais pas y revenir dans des conditions aussi particulières que cette fois-ci, 28 ans plus tard.

Nous nous sommes réservé une chambre dans un superbe hôtel-spa 5 étoiles de la vieille cité, dans un ancien palais impérial dont certaines parties remontent à la fin du Moyen-âge et au début de la Renaissance. Nous y sommes arrivés en fin d’après-midi, nous avons laissé la voiture au valet et nous sommes installés dans la chambre dotée d’un lit king size surmonté d’un baldaquin en draperie. Moment de relaxation et préparatifs sans hâte, car nous avons donné rendez-vous à 21h30 à un couple de libertins madrilènes rencontrés sur internet et avec qui nous avons prévu de dîner au restaurant de l’hôtel.

Peu avant l’heure prévue, nous descendons dans le grand hall surmonté d’une verrière art déco et nous installons dans un profond canapé avec un cocktail à la main. Nous scrutons les allées et venues dans le hall car nous ne savons pas à quoi ressemblent nos amis, nous ne connaissons que leurs prénoms, Roberto et Maria. Un couple passe mais se dirige vers l’ascenseur, un autre va s’installer à une table de deux dans le restaurant… 21h35, toujours personne…

Un couple apparaît dans l’embrasure de la porte de l’ascenseur, une femme grande et fine, avec de longs cheveux bruns, une robe noire à mi-cuisses, des collants noirs disparaissant dans des cuissardes noires à hauts talons, accompagnée d’un monsieur élégamment vêtu d’une veste chic et d’un pantalon de cuir noir. Nous nous regardons, notre intuition nous signale que ce doit être eux. Ils se dirigent vers le restaurant, où le serveur leur explique que la table est bien réservée et que nous les attendons dans le canapé qu’il leur désigne de la main. Ils se retournent et s’avancent vers nous.

Nous nous saluons et nous présentons, puis passons au restaurant. Cet endroit est, comme le reste de l’établissement, évidemment très classe, nous avons une grande table ronde dans un angle et un serveur très attentionné qui prend les commandes. Nous adoptons le trilinguisme anglais-français-espagnol pour nous comprendre et passons ainsi un très agréable moment en excellente compagnie. Nos amis s’avèrent raffinés et charmants, conviviaux et prévenants, nous nous sentons en harmonie. Nous partageons nos plats et nos desserts, échangeons points de vue et informations, tout se passe le mieux du monde, mais l’heure tourne, déjà 23h… Après le dessert, Roberto nous propose de les retrouver dans leur chambre pour une coupe de champagne, ce que nous acceptons avec plaisir.

Nous passons d’abord chercher notre mallette de jouets, car nos amis sont intéressés à échanger nos points de vue à ce sujet. Nous gagnons leur chambre et toquons à la porte qui s’ouvre immédiatement. La chambre, semblable à la nôtre, est plongée dans la pénombre avec seulement un éclairage tamisé, et nos amis nous accueillent chaleureusement, une coupe de champagne à la main. Nous avions parlé à table de bondage et autres jeux divers, et nous leur proposons une petite démonstration. Maria est volontaire pour essayer et elle ôte tout d’abord son joli corset noir qui lui moulait la taille et les seins, tandis que je déroule une belle corde blanche de 10 mètres.

Rapidement, elle décide d’enlever aussi son soutien-gorge, aidée par Caresse et Roberto, ainsi que son string noir. Elle se retrouve nue devant nous, seulement vêtue de ses collants noirs et de ses bottes à hauts talons. Il m’est ainsi plus facile de faire la démonstration de karada, avec 4 beaux noeuds judicieusement placés au-dessus et en dessous de ses seins, sur son nombril et sur son clitoris. Je passe ensuite la corde derrière elle et je la serre progressivement en redescendant. A chaque tour de corde, aidé par Caresse, je l’enveloppe de mes deux bras par-derrière et je peux ainsi profiter de son agréable parfum ainsi que de la douceur de sa peau très fine. Une fois l’ouvrage terminé, Roberto entame les photos, jeu auquel Maria se prête volontiers, surtout que la corde semble déjà beaucoup l’exciter.

Caresse sort nos bracelets de cuir de la mallette, et les passe aux poignets de Maria. Dans l’intervalle, Roberto a commencé à s’occuper de ma chérie et à la déshabiller partiellement. Maria est restée debout, les poignets attachés entre eux dans le dos, elle ne peut pas bouger. Roberto est ravi, il adore voir sa compagne dans cet état d’impuissance. Elle est moins à l’aise, elle veut qu’on la détache, mais Roberto refuse avec un amusement visible. Au contraire, devant sa compagne réduite à regarder ce qui se passe sans pouvoir toucher, il termine d’effeuiller ma chérie qui s’est allongée sur le lit et entreprend de lui caresser les seins, en descendant doucement le long de ses flancs, son abdomen, jusqu’au pubis.

Maria est restée debout devant le lit et profite du spectacle sans pouvoir participer. Elle a toujours les mains attachées dans le dos, et elle ne peut donc pas trop bouger. J’entreprends de lui lécher la vulve par devant, ce qui la fait très rapidement mouiller et gémir de plaisir. Ma langue s’insinue coquinement entre les deux torons de la corde de karada et je sens son clito s’ériger à la pointe, ses lèvres s’humidifier intensément. Elle monte si vite en puissance que je crains pour son équilibre, entravée et perchée sur ses talons comme elle l’est, je l’enserre donc de mon bras gauche autour de ses hanches et ses fesses, tandis que je commence à insérer deux doigts de ma main droite dans son intimité. Elle crie de plus en plus fort et jouit très vite, je me relève, l’embrasse, lui détache les poignets et l’aide à s’allonger sur le lit pour rejoindre Caresse et Roberto.

Roberto n’a pas perdu son temps, il est arrivé dans l’intimité de ma chérie qu’il pourlèche avec délectation depuis un bon moment, ma Caresse se tord de plaisir et fait ses vocalises habituelles en de telles circonstances. Combien j’adore la voir prendre son pied, un vrai bonheur qui m’envahit moi aussi, une délectation partagée… Maria s’est allongée à côté de ma belle pour ajouter ses baisers et caresses à ceux de Roberto, et je me suis moi aussi installé derrière Maria, ce qui me permet de la caresser d’une main tout en caressant les cheveux et le visage de ma chérie, emportée dans la spirale vertigineuse de son plaisir. Mais je sais qu’elle sent mon contact, elle le devine et le reconnaît même les yeux fermés, et je sais que cette marque de partage décuple et accélère ses sensations. Elle ne tarde d’ailleurs plus beaucoup avant d’exploser et rugir de jouissance, sans retenue, d’un orgasme puissant qui la bouleverse tout entière.

Nous entendons soudain des bruits de voix dans le couloir de l’hôtel et Roberto nous fait signe d’être silencieux, il pense que le bruit de nos ébats a pu déranger des clients de l’hôtel qui dorment dans les chambres voisines et que le personnel cherche à savoir d’où cela provient. Il est vrai qu’il est déjà très tard, nous ne voyons pas le temps passer en si bonne compagnie. Après quelques minutes, le rai de lumière sous la porte de la chambre disparaît…. Nous reprenons nos jeux à quatre.

Roberto s’est allongé sur le dos pour se reposer un peu, il est fatigué car, contrairement à nous, il a travaillé aujourd’hui et est revenu de Barcelone par le train dans l’après-midi. Maria lui a mis un masque opaque sur les yeux et nous le ligotons par les quatre membres, les poignets aux extrémités de la tête du lit, les chevilles écartées entre les pieds de celui-ci. Maria lui caresse le sexe avec efficacité puis le suce avidement, Roberto atteint rapidement une magnifique érection bien dure. J’ai repris ma chérie avec qui nous sommes en 69, nous suçant l’un l’autre avec beaucoup de plaisir dans cette position de partage réciproque que nous affectionnons. Assez vite, Caresse se rapproche de Roberto pour « aider » Maria et les deux femmes alternent leurs succions sur le sexe de Roberto qui gémit de plaisir. Maria lui commente l’action à tout moment, pour qu’il en « profite » aussi un peu malgré le bandeau qui l’empêche de voir.

Je l’entends parler en espagnol de « manger », mais ne prête pas trop attention à ce dont il s’agit. Ma chérie semble avoir mieux compris que moi et commence par me revêtir de mes atours de soumis (collier de chien, bracelets de cuir, pinces de seins…) avant de me pousser vers le haut du lit sous le regard brillant de Maria : les coquines ont prévu de me faire « manger » le sexe par Roberto, toujours entravé et privé de la vue. Celui-ci a bien compris, et sentant ma queue s’approcher de sa bouche, il s’exécute avec docilité. Je me cramponne au haut du bois de lit sous cette sensation délicieuse et particulièrement excitante, Roberto s’active avec beaucoup d’énergie, il va et vient sur toute la longueur de mon sexe en érection…. Mmm…

Les dames n’en perdent pas une miette, ce spectacle semble les exciter au plus haut point, d’après leurs commentaires en direct live. La sensation est très excitante et les commentaires des spectatrices également. Mais la position est assez inconfortable pour moi et nous devons arrêter peu de temps après. Maria et Caresse ont pris le relais, l’une sur Roberto, l’autre sur moi. Nous goûtons avec délices cette fellation prolongée. Puis nous détachons les cordes de Roberto en lui laissant les bracelets aux poignets et chevilles.

Ce dernier en profite pour reprendre l’initiative et se place derrière Maria qui s’est mise à quatre pattes sur le lit, afin de la prendre en levrette. Maria gémit puis crie en espagnol de plus en plus fort, tandis que ma chérie se glisse sous elle pour l’embrasser et lui caresser les seins. Pour ma part, je lui fais en même temps un cunni et un massage du point G. Il ne faut plus longtemps pour que Roberto se lâche enfin et atteigne l’orgasme, Maria crie plus fort encore et ma Caresse elle aussi se met à jouir. Nous nous écroulons ensuite tous les quatre sur le grand lit. Roberto n’en peut plus, il est déjà 2h30 du matin… Ma chérie et moi les embrassons doucement et retournons sur la pointe des pieds dans notre chambre terminer ce que nous avons si bien commencé avant de goûter un repos bien mérité….
(fin du premier épisode)

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