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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

lundi 20 mars 2017

La blonde se fait sodomiser bien profond (2/4)

(Suite du récit précédent, Sophia raconte)

… Nous nous installons confortablement sur le matelas rouge à côté de la belle croix murale en bois sombre. Très vite, des hommes seuls apparaissent à l’entrée et nous regardent, certains s’asseoient sur un matelas voisin. Je commence un cunnilingus lesbien entre les cuisses écartées de ma brune qui est couchée sur le dos, ce qui lui permet de surveiller les approches. Elle est aujourd'hui intraitable: elle veut que ce soit la blonde qui fasse le travail et le dit à tous ceux qui tentent une approche. L’un des hommes se fait rembarrer une première fois – il insistait beaucoup à lui caresser la cuisse même quand elle avait décliné cette proposition. Il tente quand même d’y revenir et là elle manque de se fâcher toute rouge et de le dénoncer à la réception pour qu’il se fasse virer du club. Apparemment, ça le calme cette fois…

Arrive un grand jeune homme brun qui reste debout à côté de notre matelas et enlève sa serviette blanche qui lui ceignait les hanches, dévoilant un braquemart de bon calibre déjà en demi-érection. Ma miss lui sort le même couplet : « Les hommes c’est pour la blonde… »  mais le jeune homme ne se démonte pas du tout. « Pourquoi pas ? » répond-il.

De ce fait ma chérie me fait arrêter le cunni et se redresse pour l’examiner de plus près. Elle prend son membre déjà dur dans sa main et le caresse un peu pour le faire durcir encore davantage. En quelques secondes, la bite prend des proportions de compétition, une belle queue bien dure de pas loin de 20 cm que ma chérie s’empresse de recouvrir d’un préso au chocolat ( un de nos derniers !!) avant de m’intimer l’ordre de la sucer. Je suis une blonde soumise aujourd’hui, pas de discussion possible, il faut y aller.

Je prends le gros barreau chocolaté entre mes lèvres et me mets à sucer le gland puis à coulisser sur la moitié supérieure du membre. Pressentant que nous allons passer un bon moment avec Cédric (c’est le prénom de notre partenaire), je lui suggère de venir s’allonger sur le matelas avec nous. Je m’aperçois alors qu’il y a au moins cinq ou six personnes debout qui nous matent dans l’ombre dont un couple. Waouhhh, nous allons devoir faire le spectacle…

Je me place entre les cuisses de Cédric, à quatre pattes, la croupe tendue en direction du public de l’autre côté des barreaux en fer forgé noir. J’ai tout de même conservé mon tanga de satin rouge et la robe par-dessus pour rester décente… mais il serait très facile à un homme déluré de venir me caresser les fesses à travers les barreaux.

Cédric a décidé de s’occuper du minou de ma chérie. Il y emploie sa bouche et ses mains, avec efficacité il me semble car j’entends rapidement ma miss entamer des vocalises caractéristiques. Je ne suis pas en reste et je m’applique à bien sucer notre nouvel ami qui parfois se met à onduler en gémissant et en m’enfonçant son barreau plus profond dans la gorge. Gulp !

Il parvient à faire mouiller abondamment ma chérie et lui soutire un premier orgasme vaginal qu’elle expurge bruyamment. Juste après, Cédric me demande de ralentir ma fellation. Je l’entends dire à ma caresse : « Houlà, elle suce bien ta copine, elle va me faire jouir si elle ne ralentit pas… » Ma miss lui rétorque que je suis une blonde redoutable, la reine de la pipe selon beaucoup d’habitués dans ce club !

Le jeune homme a maintenant envie de pénétrer ma miss, on sent qu’il est très excité. Mais là encore, elle lui répond que non, s’il veut pénétrer quelqu’un ici, ce sera la blonde… « Pourquoi pas ? » Il est vraiment très open ce garçon… Mais là c’est moi qui dis : "Pouce ! J’aimerais bien un peu de lubrifiant d’abord !" Ma miss s’apprête à tartiner le braquemart de Cédric emballé dans son préservatif de black mais là c'est lui qui l’arrête car il a besoin d’abord que je le remotive un peu à la bouche : son érection a faibli lorsqu’il s’est redressé sur les genoux.

Je me remets à le sucer pendant que ma chérie me débarrasse de mon tanga rouge et me crème la raie d’une couche de gel à base aqueuse. Très vite, la queue de Cédric reprend son extension maximale et mes fesses deviennent glissantes comme un moule à gâteaux. « C’est bon, me dit-il, retourne-toi » J’obtempère et me place à quatre pattes devant lui, face au faux feu de cheminée. Il me saisit par les hanches, relève ma petite robe légère et commence à pousser son gros gland à l’entrée de mon petit trou glissant. Je l’aide en écartant mes fesses de mes deux mains pour qu’il trouve plus facilement le chemin. Ca ne tarde pas, d’une poussée je le sens entrer dans mon intimité anale et commencer un mouvement de va-et-vient pour me pénétrer davantage.

Je dois manquer un peu de pratique, je le trouve plutôt gros pour une fois et j’ai la sensation qu’il me défonce le cul un peu plus profondément à chaque mouvement. Il profite de mon serre-taille bien ajusté pour me tenir par les hanches comme une fille, tandis que je m’efforce de redresser le haut de mon corps sur mes bras tendus. Cela lui permet de m’attraper de temps en temps par les épaules pour mieux se tenir et trouver un meilleur angle d’attaque.

Dès le début, je me suis mise à gémir irrépressiblement sous ses coups de boutoir. Les sensations sont trop fortes, je ne peux rien y faire, je sens sa grosse saucisse de Toulouse m’enculer sur toute sa longueur, puis faire mine de ressortir jusqu’au gland avant de me fourrer encore plus profondément le coup suivant. Par périodes, il accélère son mouvement de manière furieuse, en éructant : « Ah, tu aimes ça, salope, tu vas prendre ma queue bien au fond comme ça… »

Je gémis en continu comme une pauvre fille et c’est à ce moment que ma miss vient devant moi pour que je me remette à la lécher. Je lui fais non en agitant mes cheveux blonds de gauche à droite, et parviens à lui dire également, entre deux sanglots, que je ne vais pas y arriver, c’est trop fort ! Ma chérie qui déteste être inactive n’insiste pas et passe derrière mon cavalier pour, sans doute, lui doigter l’anus ou lui lécher les couilles. Je le sens durcir davantage et accélérer encore le mouvement : mes sensations deviennent par moments insupportables, en d’autres circonstances j’aurais déjà supplié qu’il arrête. Mais j’ai ma fierté de blonde et je ne veux pas me taper la honte devant autant de spectateurs que je devine dans la pénombre sur le côté.

Enfin, je sens mon vigoureux amant rugir d’extase, je pressens que le dénouement est proche : il me bourrine furieusement sans plus se reposer, en me tirant fermement par les hanches tandis que son pubis vient battre la mesure contre mes fesses. Il pousse soudain un long « Aaaaaaaaahhhhh » en s’immobilisant tout au fond de mon petit cul. Je le sens longuement décharger son foutre chaud et je m’emploie à légèrement tortiller des fesses pour lui procurer une ultime caresse jusqu’à ce qu’il se retire lentement, encore bien dur, le préso noir empli de crème blanche… Je m’écroule alors comme une chiffe sur le matelas.

Un murmure de contentement passe dans l’assistance. Il semble que le spectacle ait été apprécié. Cédric ne tarde pas à s’éclipser pour aller à la douche en nous glissant « A tout à l’heure… » et je sens quelques regards braqués sur moi tandis que je tente de reprendre progressivement mon souffle. On n’a pas idée à quel point c’est épuisant de se faire sodomiser ! On croit que c’est facile, qu’il n’y a qu’à attendre que ça passe… mais non, c’est au contraire très physique, ça demande d’être à l’écoute de son partenaire et de bien se tendre et se cambrer pour éviter qu’il ne ressorte et ne débande. Et cette fois, ça a duré longtemps, je dirais peut-être 15 mn non-stop (on perd la notion du temps…). Je suis complètement lessivée et évidemment défaite et dépeignée… Je vais devoir repasser aux toilettes pour me refaire une beauté !

(à suivre)

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