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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

samedi 1 avril 2017

La blonde continue de vider les couilles des mecs (3/4)



(Suite du récit précédent, Sophia raconte)
…Cédric s’est éclipsé mais pas l’assistance qui nous a matés dans la pénombre. Quatre ou cinq hommes seuls sont restés là à attendre… A attendre quoi, en fait ? Que je me précipite sur leurs queues pour les sucer ? Ou qu’il prenne soudain l’envie à la brune de se faire un gang-bang ? Ces hommes sont de doux rêveurs, ils prennent leurs fantasmes pour la réalité… Epuisée comme je suis, je n’ai absolument aucune envie de me remettre à jouer avec eux… du moins pour l’instant.

Je finis par me lever et renfiler mes escarpins noirs qui me donnent 15cm de plus. L’un des hommes seuls est une de nos vieilles connaissances : Pierre, le libertin-sympa-mais-qui-bande-mou… Lui ne craint pas de nous sourire, nous parler et venir s’asseoir sans tenter quoi que ce soit sur le matelas à côté de la brune. Nous plaisantons un bref instant avec lui sur le faux feu de cheminée qui fait monter la température de la pièce puis je leur dis, à ma brune et à Pierre, que je passe aux toilettes me remaquiller… mais que j’apprécie qu’ils me gardent ce joli coin câlin jusqu’à mon retour.

Je me fraye un chemin à travers la haie d’honneur des hommes seuls, petits et nus autour de moi, grande et somptueuse dans ma robe blanche qui vole autour de ma taille. Je ne m’éternise pas à me repeigner et me remaquiller, je sens que j’ai déjà récupéré de l’énergie. Je retourne ensuite dans le coin aux barreaux et constate qu’il ne reste plus que Pierre avec ma brune. Nous lui proposons de s’allonger pour que nous nous occupions de lui à deux coquines, quatre mains et deux bouches… Il ne se fait pas prier.

Ma miss se concentre sur son sexe flasque et le masturbe à la main juste ce qu’il faut pour pouvoir lui enfiler un petit préso à la fraise. Puis c’est mon tour : je prends le membre fruité entre mes lèvres tandis que ma miss se met à bisouter notre ami qui lui caresse doucement le minou.

Notre action conjuguée excite Pierre, visiblement, car il se met à bander dur dans ma bouche et je m’évertue à maintenir ce début prometteur en l’empoignant de la main à la base du sexe, ce qui a pour effet de renforcer son érection. Il se met même à soupirer et gémir lorsqu’il entreprend de lécher la chatte de ma chérie. Cela dure un moment mais hélas il se remet à débander au bout du compte, malgré mes efforts soutenus. Il parvient quand même à faire jouir ma chérie qui lui demande ensuite de cesser pour qu’elle se repose un peu. Il est donc tout à moi et il se retourne vers mon sexe qu’il a manifestement envie de sucer.

Chacun son tour, je m’installe à genoux et lui soulève le devant de ma robe pour lui présenter ma queue bien emballée dans ses deux cockrings : un en métal argenté à la base de mon service trois-pièces et mon cockring habituel en cuir noir sur les couilles et la base de ma hampe. Très vite, il parvient à me faire durcir malgré mon orientation de fille aujourd’hui (quand je suis en fille dans ma tête j’ai beaucoup de mal à bander…) et les deux cockrings viennent immédiatement amplifier mes sensations. J’entrevois à 90° de mon œil gauche des ombres furtives qui viennent nous observer… quelques hommes et un couple.

Ma miss s’est allongée contre un coussin, sur la gauche de Pierre, pour profiter aussi du spectacle tout en se reposant. Je décide de me mettre en 69 avec notre ami car j’ai de nouveau envie de le sucer et il ne semble pas vouloir me lâcher lui non plus. Nous profitons ainsi l’un de l’autre pendant un long moment jusqu’à ce que j’entende ma miss gémir de nouveau : le coquin a recommencé à la caresser de la main et il finit par lâcher ma queue pour se remettre à lécher ma chérie.

Je me repositionne donc confortablement entre les cuisses de Pierre, ma croupe accueillante relevée vers l’extérieur de la cage de sorte que l’on puise me la flatter de la main… ou d’autre chose. Je le suce avidement, engloutissant la totalité de son membre dans ma bouche jusqu’à l’entrée de ma gorge. Il est de bonnes dimensions maintenant : juste assez gros pour bien me remplir la bouche et pas assez long pour me suffoquer… Je sens par ailleurs des mains baladeuses se promener sur mes fesses et mes cuisses, l’une d’entre elles, plus insistante, s’attarde dans ma raie et cherche à s’insinuer dans mon petit trou encore tout humide d’émotions.

Pierre s’est remis à gémir, nous ne l’avons jamais vu aussi excité… Il faut dire que ma miss le motive énormément, il doit sentir sa mouille lui couler entre les lèvres. Je sens quant à moi qu’il durcit encore plus que tout à l’heure, il se met aussi à onduler des hanches. Et soudain il se raidit en poussant un cri étouffé : je le sens dégouliner dans ma bouche, son sperme chaud remplit le petit tube de latex entre mes joues… Incroyable, il a joui !

Bon, eh bien c’est le deuxième qui est « game over »…  Cette fois nous décidons de quitter cette pièce pour aller nous rafraîchir au bar du club. Pierre, reconnaissant, nous remercie. On savait qu’il était tombé amoureux de la blonde et la brune il y a déjà presque 3 ans mais il est clair que ce n’est pas aujourd’hui que sa flamme pour nous va faiblir, au contraire !

Au bar il reste encore du monde, pas les mêmes que tout à l’heure, et la machine à café est réparée. C’est là que nous retrouvons la brunette aux cheveux courts avec qui, cette fois, nous entamons la conversation. Elle dit s’appeler Christelle, venir de Clermont-Ferrand et s’être installée à Toulouse depuis un an. Elle est en couple depuis 25 ans avec un chauffeur routier prénommé Jean-Claude mais qui n’arrivera au club que ce soir. Ils vont, dit-elle, mettre le feu et je crois que nous pouvons lui faire confiance là-dessus. Malheureusement nous ne serons plus là pour le voir car nous devons aller à l’anniversaire d’un ami en banlieue toulousaine. Christelle semble momentanément déçue… Mais bon, elle s’en remettra. Apparemment, notre couple atypique lui plaît beaucoup et nous lui souhaitons de bien s’amuser en attendant peut-être de se revoir une autre fois…

Nous retournons vers les coins câlins et je propose à ma miss d’aller dans la cabine où vont souvent les travs car elle a une sorte de hublot pour servir de glory hole. Hélas, cette cabine est occupée et fermée à clef… Nous nous rabattons sur une autre, de nos débuts : l’une des deux petites cabines avec une banquette et une vidéo, qui communique avec sa voisine par une large ouverture circulaire  - un glory hole d’éléphant. Notre vidéo est clairement orientée bi car il s’agit de shemales suçant des queues et se faisant enculer, spectacle ma foi fort divertissant.

Dans le coin voisin, un homme assis se masturbe en contemplant une vidéo mettant en scène deux lesbiennes. J’entreprends justement un cunni lesbien avec mes cheveux blonds qui chatouillent l’entre-cuisses de ma brune assise… mais notre voisin semble préférer le virtuel au réel et se palucher en regardant la télé. Triste… Il finit par sortir et disparaître dans le couloir sans avoir eu la moindre velléité de fourrer sa bite dans notre fenêtre mitoyenne.

Il est immédiatement remplacé par un autre homme qui lui, au contraire, tourne le dos à la télé et se masturbe à 50 cm de notre fenêtre en regardant dans notre direction. Il finit par prendre confiance - sans doute se trouve-t-il présentable en terme d’érection - et il nous présente sa bite dans la fenêtre. Ma chérie me tapote le crâne pour que j’aille y voir de plus près. C’est une bite de taille moyenne, plutôt courte et fine mais bien dure. Je décide de lui mettre un préso au chocolat retrouvé au fond de mon sac doré. L’homme m’aide à l’enfiler jusqu’à la base tandis que je commence à sucer son gland parfumé.

Ces présos au chocolat sont toujours aussi délicieux, ils doivent être de marque belge ou suisse. L’homme bouge peu mais je sens qu’il est fortement excité : il bande bien dur et soupire fort. A un moment, il se retire lentement en arrière et me demande en chuchotant : « Je peux venir avec vous ? » Je me retourne vers ma brune qui me fait signe OK de la tête. Je lui réponds que je lui ouvre la porte du couloir.

L’homme fait le tour et se présente : c’est un petit quinquagénaire grisonnant que je regarde de haut juchée sur mes talons de 15 cm. Il s’installe sur la banquette à côté de ma miss et commence à lui peloter doucement les seins. Je m’agenouille devant lui sur le carrelage et je reprends sa queue en bouche. Son excitation remonte nettement dans les tours malgré l’épisode du transfert d’une pièce à l’autre.

Sa queue est plus petite que celles de Cédric et Pierre. Je n’ai aucun mal à l’enfourner aussi profondément que je veux. L’homme se raidit davantage et dit à ma belle : « Waouh, elle suce bien ta chérie… Elle va me faire jouir » Ma miss a à peine le temps d’acquiescer que l’homme éructe et se tend : il éjacule longuement dans ma bouche et je lui montre ma gratitude en pressurant son sexe avec mes lèvres et ma langue  et en le gardant encore un petit moment dans mon intimité chaude. Puis il se retire et je m’écarte. Il sort après nous avoir remerciées pour ce délicieux moment. Et de trois !

(à suivre…)

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