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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

mercredi 1 mars 2017

Jeux D/s à quatre dans la cage (4/4)



(suite du récit précédent, Alpha raconte)

…Je me retrouve donc à plat ventre entre les cuisses de Florence qui s’est placée à quatre pattes pour mieux sucer son homme. Je me mets à lui pourlécher la raie de haut en bas, m’attardant tantôt sur son petit trou, tantôt sur ses lèvres humides et gonflées d’excitation. Elle ondule du bassin pour me montrer combien elle est sensible. Ma chérie s’est concentrée sur le torse de Pierre pour le caresser et l’embrasser en même temps.

Puis nous changeons un peu de positions. Florence s’allonge sur le dos et je me mets à lui faire un cunni tandis que ma Caresse entreprend de sucer Pierre. Cela ne dure toutefois pas : le type seul est encore là, en train de se branler et il s’est même rapproché du matelas en commençant à se déshabiller. L’effet sur Florence est encore plus radical que sur ma Caresse : ça la démotive complètement, au point que nous en venons à penser qu’il nous faut changer de pièce. Nous choisissons de passer dans celle d’à-côté, plus petite certes mais qui a l’énorme avantage de pouvoir fermer à clef, tout en restant ouverte sur celle-ci à travers les barreaux de la grille.

Nous ramassons nos vêtements et déménageons. Au passage Florence explique gentiment au monsieur pourquoi nous faisons cela, que ce n’est pas lié à lui, juste que nous ne souhaitons pas jouer de cette façon. Mais l’homme ne semble pas doué d’une grande finesse. Il lui rétorque : « Mais je ne vais quand même pas rester ici tout seul à me branler comme un con ? » Florence reste sans voix et nous rejoint, son absence de réponse est éloquente : « Ben si, monsieur, vous allez devoir rester tout seul à vous branler comme un con, ainsi que vous le dîtes… »

Une fois réinstallés à côté, nous reprenons nos ébats deux par deux. Je refais mon cunni à ma belle et cette fois je parviens à la faire jouir deux fois de suite. Puis nous échangeons de nouveau nos partenaires. Je demande à Florence de se mettre à genoux, dos à la grille, de façon que je puisse lui attacher les mains dans le dos avec une corde attachée aux barreaux. Je lui attache aussi le collier de chien aux barreaux. Une fois ainsi entravée, je lui extirpe les seins du bustier pour les lécher et les suçoter, puis je me mets debout pour qu’elle me suce. Comme cette pièce est aussi équipée d’un grand miroir sur le mur opposé à la grille, elle peut  se contempler dans sa posture de soumise et aussi profiter du spectacle de son homme qui a entrepris de faire un cunni à ma chérie.

Mais Pierre se redresee et a envie de pénétrer ma Caresse en missionnaire. Florence, précautionneuse, lui demande s’il a sollicité l’autorisation. Mais voyant que ma miss et moi ne disons rien qui aille à l’encontre de son envie, elle le voit s’introduire sans plus attendre dans la chatte de ma miss et se mettre à la limer en rythme.

Mais elle n’est pas là que pour regarder. Je lui chuchote à l’oreille qu’il y a beaucoup d’allées et venues dans la pièce voisine que nous avons quittée : des couples et des hommes seuls qui la regardent pendant qu’elle est soumise, à genoux, en train de me sucer… Je sens que cette idée l’excite beaucoup et elle s’applique à bien m’exciter avec sa langue et ses lèvres.

Soudain je sens quelque chose de doux me chatouiller entre les cuisses. Je me demande ce que c’est et je découvre Pierre, passé sous moi pour lécher la chatte de sa Florence, qui se redresse hilare et frotte ses cheveux sur l’intérieur de mes cuisses. Il annonce en rigolant : «  C’est une nouvelle technique de fist… » Son idée saugrenue – me fister avec sa tête – nous fait tous rire et débander. Quel clown… Je détache Florence qui est à genoux depuis un bon moment maintenant.

Son homme décide de lui refaire le cunni qu’il avait commencé. Pour ma part je m’allonge sur le dos et ma Caresse me fait une de ses diaboliques fellations, un délice. Je sens ma queue se raidir sous la stimulation de sa langue coquine qu’elle enroule autour de mon sexe et de mon gland, le malaxant et l’humectant abondamment jusqu’à lui faire quasiment doubler de volume.

Puis elle m’équipe d’un de nos présos et me dit de m’occuper de Florence, plus précisément de la prendre en levrette. Notre amie ne se le fait pas dire deux fois. Elle se place à quatre pattes devant moi, ce qui lui permet de continuer à sucer son homme pendant que je lui saisis les hanches et m’introduis progressivement dans son vagin.  Ma miss a décidé, pour sa part, de s’allonger sur le côté pour profiter du spectacle de son homme en train d’enfiler notre nouvelle amie pendant qu’elle-même suce son mari.

Je me mets à bouger des hanches en cadence, forçant son intimité toujours un peu plus loin jusqu’à venir en butée contre sa vulve enflée. Mmmm… je sens que Florence est très excitée par la situation : elle se met à bouger le bassin pour faciliter ma pénétration et je me mets à la bourriner plus fort, mes couilles enserrées dans le cockring en cuir venant battre contre son clito. De temps à autre, je m’arrête, calé tout au fond de son vagin, de façon à ce qu’elle puisse mieux se concentrer sur la fellation qu’elle est en train de faire à Pierre.

Malheureusement, au bout d’un moment, Florence me demande de me retirer car le rebord de mon préso la gêne sur une cicatrice d’accouchement qui est restée très sensible chez elle. Nous changeons donc à nouveau de configuration : ma Caresse suggère que nous essayions en missionnaire, mais là aussi c’est un peu difficile avec la chaînette de mes tétons qui tombe à la verticale de sa chatte. Finalement je me remets dans les bras de ma chérie, sur le côté gauche, tandis que Pierre et Florence se remettent à se câliner sur le côté droit.

Ma chérie me reprend dans sa bouche puis a envie que je la prenne par-derrière sur le côté. Je ne me fais pas prier et je m’enfonce d’un coup dans son vagin trempé. Rapidement je la fais jouir, deux fois de suite : elle m’a fait redevenir très dur. Elle me fait changer de trou et je m’empresse de la sodomiser. Pendant ce temps, nos amis se font eux aussi des mamours, tout en profitant du spectacle de l’alcôve voisine où deux couples sont venus s’ébattre. Ils les observent en direct et aussi dans le miroir où eux-mêmes se reflètent. Ils nous expliqueront plus tard que les deux couples donnaient l’impression de reproduire un scénario de film porno : d’abord les deux jeunes femmes, complètement nues, qui s’embrassent et se pourlèchent. Puis les deux hommes, chacun derrière la sienne qui les enfilent par-derrière. Mais à un aucun moment nos amis n’ont senti une volonté d’interaction à travers la grille dont les deux couples d’à-côté ne se sont d’ailleurs jamais approchés. Comme Florence et Pierre nous ont avoué avoir un petit côté voyeur, ce spectacle a dû les émoustiller un peu malgré tout.

Au bout d’un moment, ma miss donnant des signes de fatigue, nous décidons de retourner un peu sur la piste de danse, pour un dernier verre. Au passage, les couloirs des coins câlins se sont remplis mais toujours peu d’action dans les alcôves. La grande majorité des gens sont encore sur la piste de danse. Nous dansons un peu avec nos amis puis regagnons le vestiaire et la voiture. Il est déjà 3h30 du matin quand nous quittons le club.

Le dimanche sera marqué par une longue grasse matinée, pour récupérer un peu. Florence fera quelques essayages de tenues de soubrette pour nous aider à la cuisine à midi et je les raccompagnerai ensuite à l’aéroport. Malgré les orages ils rentreront sans encombre chez eux.

Quel intense weekend nous avons encore passé…. Nos nouveaux amis sont délicieux et gagnent sans nul doute à être connus. Vivement qu’on se revoie !





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