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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

vendredi 10 février 2017

Double pénétration et glory holes (2/4)

un weekend libertin entre amis...

(suite du récit précédent, Alpha raconte)

…Ma miss décide de déballer nos petites affaires de notre sac à malices : nos amis ont en effet déjà manifesté leur envie d’en savoir plus. Nous avons même soupçonné Florence d’être plutôt émoustillée à l’idée des jeux de ligotage… Pour l’heure, comme nous ne nous connaissons encore que très peu, c’est moi qui me dévoue pour faire la victime. Ma miss me pare de mon collier de chien à clous et je revêts mon cokring en cuir noir et métal : il impressionne beaucoup Pierre et même Florence, inquiets de savoir si ça me fait mal. Puis ma miss m’allonge sur un côté du lit et me ligote les chevilles au fer forgé du pied de lit, les poignets à la tête du lit.

Je me retrouve ainsi étiré tout en longueur sur le dos. Elle ajoute la corde dite de « karada de couilles », celle qu’elle serre autour de mes testicules pour les tendre ensuite au pied du lit. Puis les pinces japonaises sur les pointes de seins, tendues par-dessous mon sexe avec une chaînette réglable. Elle décide de ne pas me mettre le bâillon-boule car ma bouche pourrait s’avérer utile pendant les jeux…

Je suis ainsi écartelé en longueur sur le lit, offert à la vue de nos amis et des voyeurs qui défilent derrière le fenestron. Ma chérie s’empresse de s’occuper de moi en me masturbant un peu à la main puis en me faisant sa fellation diabolique que je connais bien. Elle humecte abondamment mon gland avec sa bouche et le triture de sa langue experte tandis que Florence fait de même avec Pierre.

Puis ma chérie me lâche et m’abandonne en érection à la vue de tous. Elle propose à Florence de « switcher »…. Aussitôt dit aussitôt fait. Elle l’aide néanmoins à m’enfiler un de nos derniers présos au chocolat car Florence ne veut pas sucer sans préso, à juste titre. Vu la dureté de mon membre excité, les deux femmes n’ont aucun problème à lui dérouler le capuchon de latex parfumé, de couleur chocolat. Mon sexe ressemble maintenant à celui d’un black TBM… !

Mais je ne peux guère m’agiter, entravé que je suis de la tête aux pieds. Florence se régale en me dévisageant, comme une gourmande qu’elle est : à voir ses yeux on dirait qu’elle est sur le point de se jeter sur un gâteau d’anniversaire. Elle prend doucement mon sexe en feu dans sa bouche suave et commence à me sucer délicatement. Elle est très douée à ce jeu et m’expliquera ensuite qu’elle a une longue pratique de gorge profonde avec son ancien mari. Elle parvient ainsi à gober le gland de son partenaire jusque dans le début de son tube digestif et à le titiller ainsi par des mouvements de sa gorge….  Impressionnant ! Il va falloir que j’essaie aussi !

Pierre semble s’occuper à merveille de ma Caresse si j’en juge par les soupirs et les gémissements que je l’entends pousser. Il finit par la faire jouir plusieurs fois de ses doigts et de sa bouche : il est lui aussi très doué, comme ma miss me l’expliquera ensuite.

Florence me suce longuement, en m’avalant de plus en plus profondément, ce qui me fait gémir de plaisir. Puis elle va fureter de sa langue sur mes couilles et même un peu plus bas, vers mon plug anal dont ma chérie m’a également équipé. A un moment, elle se redresse et demande à ma miss si elle peut m’enfourcher. Avec l’assentiment de celle-ci – je n’ai pas trop voix au chapitre ni moyen de résister à vrai dire – elle se place à califourchon sur moi et s’empale sur toute la longueur de ma bite rigide. Vu la façon dont elle s’est empalée quasiment d’un coup, je devine que sa chatte est complètement trempée d’excitation.

Elle commence ses va-et-vient délicieux sur mon membre, je sens sa fine toison pubienne venir me caresser le bas-ventre. Rapidement je l’entends chanter de plaisir et elle jouit une première fois en à peine une minute. Mais soudain, je vois Pierre arriver derrière elle. Il a l’air très excité, la pousse à quatre pattes vers moi et entreprend de la sodomiser – forcément, l’autre orifice est déjà occupé par ma queue… Florence se penche vers moi et m’embrasse goulûment, pendant que Pierre force son petit trou sans trop de difficulté.

Ma chérie en profite pour passer derrière Pierre et lui faire un petit anulingus dont elle a le secret. Je suis toujours dans l’incapacité de bouger, avec maintenant Florence couchée sur moi, ses longs cheveux bruns me noyant le visage. En écartant un peu la tête occasionnellement, je parviens à voir les yeux de Pierre qui me semble comme fou : il est terriblement excité et se met à fourrager l’anus de sa belle avec un vigueur incroyable. Presque au même instant j’entends Florence émettre un râle de jouissance dans mon oreille, elle jouit violemment de se sentir doublement pénétrée, par la queue de son homme et par la mienne. Je sens pour ma part les couilles de Pierre venir battre à intervalles réguliers contre la base de mon sexe. Il ne faut plus très longtemps à notre ami pour jouir à son tour, il décharge violemment dans le cul de sa chérie qui retombe, pantelante, couchée sur ma poitrine.

Ma miss est passée sur le côté et m’a enlevé les pinces japonaises car elle trouvait qu’elles tiraient trop sur mes tétons, avec les mouvements du bassin de Florence. Elle continue et me détache petit à petit. Nos amis s’écartent un peu plus loin sur le matelas pour se remettre de leurs émotions et je finis par me retrouver complètement libéré. Nous nous câlinons un peu, pour nous détendre et discutons avec nos nouveaux amis. Florence est très contente d’être parvenue à jouir en DP, c’est un fantasme qui l’excite beaucoup et elle est heureuse d’avoir pu le réaliser. Nous sortons du coin câlin pour aller nous rafraîchir au bar. Mais la soirée n’est pas encore finie.

Florence a maintenant très envie d’aller tester les glory holes. Nos amis ont eu peu souvent l’occasion de sortir dans des clubs équipés de ces pièces avec des trous dans le mur et ils avaient l’impression que les possibilités ainsi offertes n’étaient que très rarement utilisées – sauf dans nos récits sur ce blog !  Nous leur confirmons qu’en effet, à part nous, il est rare de voir les glory holes utilisés dans les clubs que nous fréquentons. Mais ceux-ci, au Différent, reçoivent régulièrement notre visite et nous avons déjà une « clientèle «  d’habitués qui nous connaissent – l’inverse n’étant pas toujours vrai.

Quand nous arrivons dans la pièce à trous, nous trouvons un homme seul allongé sur le matelas… Ah, bonsoir… Nous lui demandons s’il attend quelque chose ou quelqu’un. Il nous dit que non mais que nous pouvons entrer quand même, du moment que lui peut rester. Nous fermons la porte derrière nous cinq et je m’approche avec Florence des trous dans le mur, en lui expliquant qu’elle doit « appâter » les prétendants en se mettant assez près de la paroi.

L’homme seul se lance dans une discussion avec ma chérie, dont il ressort qu’il est en fait complètement hétéro – alors que ce coin câlin se trouve dans la partie bi du club. Il semble espérer se faire sucer par une des deux femmes mais ma chérie lui explique que ça ne va pas être possible : elle-même est fatiguée et n’en a pas envie, quant à Florence elle est avec moi à guetter des queues dans les trous du mur. Et justement en voici une première, bien dodue, que je saisis et masturbe sous les yeux de notre amie.

Elle est belle et bien grosse, comme d’ailleurs toutes celles que nous verrons passer ici ce soir. Je la revêts d’un joli préso à la fraise et je me mets à la sucer avant de la prêter à Florence. L’homme seul nous regarde d’un air médusé. Je l’entends continuer à argumenter avec ma chérie…. qui lui redit que s’il veut se faire sucer il faut qu’il sorte, fasse le tour de la pièce et vienne présenter sa queue dans un glory hole ! L’homme proteste, presque scandalisé : «  mais je ne veux pas me faire sucer par un homme ! »  « Ah, c’est le risque à prendre » lui dit ma chérie, « tu vois, mon homme et ma copine partagent toutes les queues qu’ils sucent… » et franchement, cela nous sidère toujours que des hommes restent bloqués sur ce sujet quand on sait combien il est délicieux de se faire sucer par une bouche chaude et caressante, quelle qu’elle soit !

Stupidement, l’homme ne fera pas ce que ma chérie lui recommande et il sortira du coin sans avoir participé à rien. Pendant que Florence et moi suçons ardemment toutes les queues qui se présentent (il y en aura 4 ou 5 en tout), Pierre vient derrière sa belle pour la doigter et lui faire un anulingus. Il réussit à la faire jouir de nouveau ce qui interrompt momentanément ses caresses buccales – je suis bien placé pour comprendre combien il est difficile de rester concentré par les deux extrémités à la fois !

Ma chérie décide quant à elle d’ouvrir la porte de notre cabine, elle trouve que la chaleur animale accumulée est trop insupportable, même avec le ventilo à fond. Elle reste néanmoins en faction à la porte où elle voit passer pas mal de monde, dont un couple mixte qui, fasciné, s’attardera à nous regarder, Florence et moi, sucer avidement les belles bites érigées dans les glory holes. Au final, ma complice de fellation parviendra tout de même à faire jouir l’un de nos partenaires à travers les trous (moi pas, ils repartiront avant). Le jeune homme fera d’ailleurs le tour de la pièce pour venir la remercier ensuite ! Un vrai gentleman.

Nous proposons d’aller nous désaltérer au bar mais nos amis ont finalement envie de retourner faire un tour au jacuzzi. Nous les laissons y aller mais nous les voyons peu après nous rejoindre au bar : il y avait encore trop de monde dans l’eau et ils ne se sont pas senti d’y replonger sans nous…

Au bout du compte, nous repassons au vestiaire et nous rentrons pour une bonne nuit de repos bien méritée : il est déjà presque 1h du matin…

(à suivre)

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