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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

lundi 10 juillet 2017

Une excellente suceuse


Arrivé dans les glory holes, il fait très sombre. Trop sombre… l’une des quatre fentes verticales ne laisse absolument pas passer de lumière. Je m’approche, un homme est appuyé contre la paroi. Je tends la main : une grosse queue molle pend dans l’ouverture. Je la palpe, l’évalue, la renifle… Bonne pour le service !


Je commence à la prendre entre mes lèvres. Je passe ma langue sur le gland lisse et parfumé.  Pour l’exciter davantage, je tire de la main la peau vers la base du sexe, de façon à complètement décalotter le gland. La peau fait une surépaisseur du côté gauche (pour moi) mais ça ne me gêne pas pour l’instant : je me concentre à lécher le gland. Celui-ci se met à enfler dans des proportions insoupçonnées au départ : un beau gros fruit pulpeux… Je l’enfourne en entier pour le masser de ma langue coquine, et mes lèvres commencent à descendre sur la peau, en franchissant le barrage du bourrelet à la base du gland...


Je sens la bite qui enfle et durcit. Elle devient grosse et surtout épaisse, elle m’emplit la bouche entièrement d’une joue à l’autre ! Je renonce à la tenir dans ma main et je pose mes deux mains à plat sur la paroi, le front appuyé sur le rebord supérieur de la fente, en attendant que l’homme m’imprime son mouvement. Il bouge en effet d’avant en arrière, dosant la poussée de ses hanches et s’enfonçant un peu plus profondément à chaque mouvement. Il se place et se replace pour trouver le meilleur angle et finit par réussir à me l’enfoncer entièrement jusqu’à ce qu’il sente mon nez toucher son pubis et mes lèvres son cockring et ses couilles…



Il est tellement gros que je suis quasiment en apnée quand il est au fond mais je m’efforce de le supporter sans broncher, en brave fille que je suis dans ces moments-là. Pour pouvoir résister à ce bâillon de chair, il me faut doser ma respiration et tenter d’écarter encore un peu plus les lèvres pour respirer par les côtés de la bouche.


Notre petit jeu attire du monde. Deux ou trois nouvelles « suceuses » me rejoignent dans le tunnel, et les trous adjacents se garnissent de nouvelles queues. Mais mes « copines » sont des zapettes. Elles commencent à sucer puis abandonnent, passent à une autre queue ou s’éclipsent. Ma voisine veut échanger sa queue avec la mienne, je me laisse faire mais elle la trouve bien trop grosse pour sa bouche !


Je me retrouve avec une queue plus petite mais très dure et courbée vers le haut. Mes voisines veulent encore zapper mais cette fois je ne lâche plus mon partenaire. D’ailleurs, les autres suçaient tellement bien que les queues se débinent une par une, y compris la grosse que je suçais auparavant ! Seul mon nouveau partenaire reste… Il semble apprécier ma langue et les caresses de ma bouche !


Finalement du monde revient dans le tunnel, des mains me frôlent, me caressent le dos ou me masturbent mollement. Mais la queue courbée finit par se retirer… Je décide alors de passer au jacuzzi. Quand je reviens, c’est encore calme mais je suis bientôt rejoint par une autre suceuse, la serviette sur l’épaule… Toujours pas de clients en vue. Finalement, le petit homme brun commence à venir me caresser. Je me dis qu’après tout on peut s’amuser ensemble, à défaut d’autre chose. Je le caresse aussi, mais il ne bande pas trop bien. Je m’agenouille donc devant lui et j’entreprends de le sucer. Aussitôt il devient dur et se met à gémir de plaisir.


Nous jouons ainsi un long moment et d’autres hommes passent et repassent. Finalement des queues réapparaissent dans les trous du mur. Nous cessons notre jeu et recommençons à sucer à travers le mur. Rapidement cependant, les sucés disparaissent de nouveau un à un. Je me retrouve avec une seule queue, et je la reconnais. C’est la grosse bite de tout à l’heure ! Je la reprends dans ma bouche et la remets en forme. La queue reprend toute son ampleur, le gland  redevient très volumineux et son propriétaire me refait faire des gorges profondes en apnée. C’est vraiment ce qui semble lui plaire le plus.


Au bout d’un moment, l’homme se retire lentement et fait le tour de la cloison par le couloir de gauche. Il jette un coup d’œil vers moi dans le tunnel puis s’éloigne vers un coin câlin. Mais avant que je réagisse un autre homme lui emboîte le pas et le rejoint à l’intérieur. Je me décide à y aller : je les trouve en train de se branloter l’un l’autre…. Mais l’intrus ressort de la cabine en me voyant arriver. Je prends sa place, c’est moi que l’homme attendait. Il est debout, statique, je m’agenouille devant lui et recommence à le sucer. Très vite il redevient dur et se met à soupirer et même à commenter : «  Ah oui, c’est bon… tu suces bien »


Il a laissé la porte de la cabine ouverte. Du coin de l’œil gauche je distingue des silhouettes qui nous matent, certains entrent même. Pour ma part, je suis dans la position d’une vraie salope soumise : à quatre pattes en train de sucer la grosse bite de mon homme en gorge profonde, la croupe relevée et le dos cambré, offrant à nos visiteurs une vue imprenable sur mon petit trou et mes couilles enserrées dans mon cockring en cuir noir.


Mon partenaire a levé sa jambe gauche qu’il appuie sur le matelas haut de la cabine. De cette façon je peux m’insinuer un peu plus loin sous lui, le sucer bien à fond, tandis qu’il se penche en avant sur moi et commence à me doigter l’anus avec son majeur. Il se redresse ensuite pour que le suce un moment pendant qu’il se tient vertical puis recommence son jeu, en enfonçant toujours plus profond son doigt mouillé de salive dans mon intimité. Je finis par gémir la bouche pleine en sentant son long doigt s’enfoncer entièrement dans mon cul en même temps qu’il m’enfonce sa bite dans la bouche jusqu’à la garde. Il arrive à me prendre en DP à lui seul ! Je bande dur comme un âne…


Au final il se redresse et s’installe de côté sur le matelas. Je m’installe le long de son corps et je le reprends dans ma bouche. Des ombres entrent et nous regardent… Puis il pivote un peu pour passer par-dessus moi et se pencher vers mon entre-jambes. A aucun moment toutefois il ne joue avec mon sexe, en revanche il se remet à me doigter l’anus vigoureusement. Encore de la DP… j’en profite pour faire de même avec lui. Malheureusement, si le fait d’avoir la bouche bien pleine d’une bite dure et goûtue me fait indéniablement bander, il n’en va pas de même pour la pénétration anale qui, au contraire, me fait plutôt débander.


Un autre type, plutôt jeune et au crâne rasé, est entré et semble vouloir se joindre à nous. Comme je suis sous mon amant, sa queue toujours en bouche et allongé presque sur le dos, j’offre au regard du nouveau venu mes parties génitales sans protection. Le jeune homme s’en empare et commence à me caresser, puis à me sucer. Il suce pas mal, je me mets à bander de sentir sa bouche chaude aller et venir sur ma queue tandis que je mâche la grosse bite dans ma bouche sans discontinuer. Délicieux moment !


L’homme à la grosse bite finit par se retirer et s’en aller. Je reste avec le jeune homme qui monte à son tour sur le matelas. Il semble avoir envie que je m’occupe de lui… je me mets à le sucer à son tour : il a une queue plus petite que le précédent, avec un gland en forme de champignon. Il est aussi beaucoup plus sensible et réagit énormément à mes caresses buccales.


Nous faisons une pause et il me demande s’il peut disposer de mon petit cul… Agréablement surpris, j’acquiesce et l’équipe d’un préservatif extra strong pendant qu’il prend du lubrifiant. Je me place ensuite debout, jambes écartées, à plat ventre sur le matelas et l’homme se fraye un chemin dans ma raie, entre mes fesses que j’écarte de mes deux mains. Il parvient rapidement à m’enfiler, je sens sa queue dure aller et venir dans mon cul et me soutirer des gémissements de salope en rut. Pour accélérer son mouvement il me saisit par les hanches et se met à ahaner en m’enculant de plus belle. Au bout d’un moment il se retire, j’ai le sentiment qu’il a joui et je m’allonge sur le matelas pour me reposer un peu.


Il me sourit et s’allonge lui aussi un peu plus haut, me présentant sa bite à hauteur du visage. Interloqué, je vois qu’il bande encore bien dur… et il a l’air sec. Je lui demande : « Mais tu n’as pas terminé ? »  Il me sourit en me disant que non, qu’il a juste pris un peu de plaisir. Je me vois donc dans l’obligation de le sucer de nouveau. Il est encore plus sensible que tout à l’heure et donne des coups de boutoir pour enfourner sa queue entièrement dans ma bouche. «  Ah, tu suces bien, c’est bon… » me dit-il puis il me signale qu’il va jouir. Je m’écarte et il se termine à la main, éjaculant quelques perles sur son bas-ventre pendant que je lui lèche les couilles.


En prenant congé, il m’explique qu’il est venu avec sa femme et qu’elle est en train de jouer dans un autre coin câlin avec un copain à eux… «  J’espère que tu ne t’es pas trop ennuyé » lui dis-je. « Pas le moins du monde, bien au contraire ! » me répond-il en riant.





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