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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

vendredi 30 juin 2017

Pris par tous les trous...

Je vous ai souvent raconté les nombreuses fellations que j’ai pratiquées dans les glory holes ou dans les cabines coquines, jusqu’à 10 mecs à la suite dans la même séance… Mais je ne vous ai pas parlé d’autres rencontres où je fais aussi la fille pour ces hommes... et pas avec la bouche seulement.


A Toulouse, lorsque je sortais très souvent travesti en blonde sexy (Sophia pour les intimes), il m’est arrivé plus d’une fois que les préliminaires de fellations se poursuivent en cabine avec le ou les heureux bénéficiaires et que je me fasse ainsi sodomiser en levrette, parfois en même temps que je suçais une autre queue… Il y a eu quelques parties mémorables, dont l’une avec nos amis espagnols Rob et Maria. Je me souviens qu’à un certain moment, j’étais sur le dos dans l’angle des glory holes, mes longs cheveux blonds épars autour de moi, en train de me faire enculer par un type très bien membré (je ne suis plus sûr que ce fût Roberto) pendant que je suçais une autre queue sur mon côté gauche et que j’en masturbais une à travers un glory hole sur la droite. Et, cerise sur le gâteau, plusieurs bouches féminines (Caresse, Maria…) en avaient profité pour me sucer en même temps. Je garde en mémoire ce moment comme une représentation tangible de ce que pourrait être le Paradis…


Lors de mes sorties en solitaire à Bordeaux, j’ai le plus souvent renoncé à la blonditude et je sors juste comme je suis, en quinquagénaire grisonnant. On m’a en effet souvent dit – femmes, trans ou hommes – que j’étais sexy et « appétissant », au point même que certaines trans ou certains hommes disent vouloir m’épouser ! Je les déçois quand je leur réponds que je ne cherche personne car je suis déjà en couple et, circonstance aggravante, avec une femme (bio) !!!


Il n’empêche, je rencontre certains partenaires avec qui cela va au-delà d’une simple branlette manuelle ou d’une fellation éjaculatrice dans les glory holes. Quelques-uns en effet, après avoir été passablement excités par mes soins (et surtout ma langue et mes mandibules) me proposent de passer dans une cabine où nous nous enfermons à deux pour ne pas être systématiquement dérangés par les hommes seuls ou les travs qui tournicotent à l’étage.


Il y a un côté « surprise » car on ne distingue pas très bien son partenaire à travers les fentes du mur. Je me souviens ainsi d’un homme très petit, que j’avais longuement sucé et qui bandait bien dur. Sa taille m’a surpris quand il a fait le tour de la paroi pour me rejoindre : je le dominais d’une tête et ceci sans mes escarpins de blonde ! D’habitude, quand je suis dans l’esprit de faire « la fille » je m’attends à des partenaires dominants, plus grands que moi.





Nous passons dans le coin câlin et je m’agenouille pour le remettre en forme ce qui me prend très peu de temps. Me surprenant une deuxième fois, il me fait arrêter en me demandant s’il peut me prendre. Surpris mais ravi, j’acquiesce et m’empresse de l’équiper d’un de nos présos extra strong puis de me lubrifier la raie des fesses. Il me demande de me pencher en avant sur le matelas haut, lui reste debout derrière moi. Il réussit rapidement à m’enfiler mais je dois écarter mes jambes assez largement pour être à la bonne hauteur en raison de sa petite taille. Eh bien, croyez-le ou non, contre toute attente, mon petit amant s’est avéré très efficace pour me faire jouir analement et lui-même n’a guère tardé à éjaculer dans mon intimité. En vrai gentleman, il a pris congé en me remerciant… Comme quoi, on en peut jamais jurer de rien à l’avance !




Un autre, que j’avais pareillement sucé presque jusqu’au point de non-retour, m’a proposé de passer dans le coin câlin aux glory holes (sans ventilo). Il était nettement plus jeune, la trentaine, un peu bedonnant, mais avec un visage souriant. Il s’allonge sur le matelas, je le suce longuement tandis que des queues apparaissent dans les trous de la paroi, ce qui me permet de les caresser à la main. Finalement, mon « ami » souhaite lui aussi me prendre. Je l’équipe et lui demande dans quelle position il souhaite m’enculer : il me dit qu’il préfère rester allongé sur le dos et me demande de m’asseoir sur lui… Alexandre le bienheureux !




Je n’ai pas trop l’habitude, j’essaie de m’enfiler sur sa bite dure en me tenant à genoux de part et d’autre de ses cuisses mais ça ne marche pas. Finalement je m’accroupis sur mes pieds et parviens à enfiler sa queue dans mon petit trou en m’aidant de la main droite. Il m’aide aussi en me tenant par les hanches et se met à me donner des coups de bassin. C’est une position assez nouvelle mais que j’ai trouvée excitante pour moi car plus humiliante que quand je me fais enculer en levrette. L’homme ne tarde pas à jouir dans mon intimité et, après une toilette succinte, me remercie lui aussi pour ce délicieux moment.




Un autre partenaire plutôt taciturne m’avait invité un jour à aller dans ce même coin aux glory holes et nous avions passé un long moment à nous sucer mutuellement en 69. In fine, je l’avais fait jouir à la main.




Parmi ces gentlemen du libertinage bisexuel, François s’est avéré un partenaire très intéressant, qui m’a fait découvrir lui aussi une nouvelle position. Après l’avoir longuement sucé dans les glory holes et constaté qu’il était très bien membré, nous sommes passés aussi dans la cabine climatisée. Après que je l’eusse de nouveau sucé en m’agenouillant devant lui, il avait adopté un style dominant car il me trouvait assez « soumis », surtout quand je lui avais confirmé avoir des jeux de type D/s avec ma Caresse. François m’aurait, lui aussi, bien doté d’un collier de soumis dont il aurait gardé la clef… Une forme de demande en mariage ?




Finalement, il me demande de m’allonger sur le dos sur le matelas haut… Mais lui reste debout à côté. Je ne comprends pas trop bien ce qu’il veut. Il me fait me placer au bord, la nuque sur le rebord du matelas et la tête un peu en arrière dans le vide. Il me présente alors sa bite en érection et me la fourre dans la bouche, tout en bloquant mes bras avec les siens. Je comprends alors qu’il va me faire faire des gorges profondes à l’envers ! Et c’est en effet ce qu’il fait, alternant le teasing de son gland volumineux sur mes lèvres avides et les poussées de son braquemart jusqu’à la garde au fond de ma gorge où il demeure quelques instants pendant que je suis en apnée ! Un jeu très excitant… que je ne demande maintenant qu’à renouveler !!!




Après avoir longuement joué à deux dans la cabine, nous avons ensuite pris ensemble un pot au bar du rez-de-chaussée ce qui nous a permis de mieux faire connaissance et d’échanger nos numéros. Un partenaire précieux, à conserver !!!





P.S.: Deux ans plus tard... bien qu'assez assidu au Container, je n'ai jamais revu François!

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