Qui êtes-vous ?

Ma photo
Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
Enjoy your readings
Caresse (she) and Alpha (him)

samedi 10 juin 2017

Au pays de la Fée Lation


(suite du récit précédent, Sophia raconte)

… Une fois Thierry disparu, ma chérie dit qu’elle va aller  se doucher. Pour ma part, pas question de me déshabiller donc je me contente du Sopalin et du gel hydro-alcoolique et je retourne dans les glory holes. Comme il y fait sombre, pas besoin de refaire mon rouge à lèvres qui doit être complètement vrillé…

Je reprends ma position dans le couloir sombre devant les 4 fentes du mur. Il y a du passage mais rien de très décisif. La petite trav blonde passe à plusieurs reprises mais ne reste pas. Des hommes tournicotent mais ne s’arrêtent pas. Difficile de comprendre ce qu’ils cherchent. J’en suce un ou deux qui, une fois bien mis en forme, s’éclipsent à la recherche d’un(e) autre partenaire. Finalement, c’est une queue de format modeste, mais décidée, qui s’arrête devant moi et je la suce longuement avec beaucoup de plaisir partagé. Puis une autre apparaît dans le trou à ma droite et je la saisis de la main tout en continuant de sucer la première.

La nouvelle venue est beaucoup plus imposante, bien longue et légèrement pointue, avec une petite courbure vers sa gauche. La petite bite que je suce depuis un moment ramollit soudain… j’essaie de regarder à travers la fente, lorsqu’elle se retire : il me semble qu’elle a joui mais je n’en mettrais pas ma main à couper. Je me concentre donc sur la queue courbe que je me mets à sucer.

Elle m’emplit beaucoup plus la bouche, sans être étouffante cependant. Après l’avoir revêtue d’un préso goût fraise, je la suce avec énergie, aspirant son gland puis la tétant sur toute sa longueur. Je la sens enfler et durcir graduellement : des gargouillis la parcourent de temps à autre…

Mais des ombres se faufilent autour de moi. Des hommes seuls… Certains me regardent en train de sucer l’homme, une main tente de s’insinuer sur ma droite vers mon tanga rouge. Un homme se plante derrière moi et me caresse les épaules, je sens son sexe tout dur contre mes fesses : il commence à aller et venir, ce petit jeu semble l’exciter particulièrement et je ne peux pas dire grand-chose avec la bouche pleine !

A un moment où la queue courbe de mon partenaire se retire un peu, j’en profite pour faire la police derrière moi. L’homme à la queue courbée fait le tour de la cloison et nous rejoint. Je le découvre – un jeune homme au crâne rasé, avec un petit collier blanc autour du cou – et je le reconnais car il porte mon préso à la fraise. Je lui demande s’il souhaite que nous allions dans une cabine… car je suis un peu harcelé sur mes arrières ! Il acquiesce et nous retournons dans le coin où nous étions avec Thierry tout à l’heure.

Nous bouclons la porte derrière nous mais nous n’occultons pas la vitre : les voyeurs pourront en profiter… Mon ami – appelons-le Michael - s’installe sur le matelas et je lui retire le préso fraise car il est tout ratatiné sur son sexe qui a complètement débandé. J’en prépare un autre et je me remets à le sucer à genoux sur le matelas. Rapidement il redevient dur, et montre des velléités de me caresser. Je me rapproche de lui, sans cesser de le sucer, Michael me caresse à travers mon tanga en satin rouge.

Je me redresse et lui demande s’il a envie de me sucer, il me fait signe que oui. Je baisse mon tanga sur mes chevilles et l’enlève, puis je me place en 69, à quatre pattes par-dessus lui. Je reprends ma fellation sur son sexe courbé, son gland est un peu conique, légèrement pointu mais volumineux. Il me prend lui aussi dans sa bouche, je sens une chaleur humide et une langue coquine m’envelopper… Un délice.

Nous restons un long moment à nous faire mutuellement plaisir de cette façon lorsque soudain des éclats de voix se font entendre au rez-de-chaussée. Je tends l’oreille, je m’attends à entendre chanter « happy birthday… » mais non, rien. Cela étant, je me redresse et suggère à Michael de faire une pause : il me semble qu’il doit y avoir du gâteau en bas ! Il sourit, nous nous rhabillons et je redescends. Chaque fois que je descends le grand escalier, j’ai l’impression de faire le spectacle en bas avec mes talons de 15 cm…

Je retrouve ma chérie sur la banquette devant le coin fumeurs, assise à côté d’un homme musclé et bronzé : un nommé Carlo. Nous faisons connaissance et ma miss va gentiment nous chercher des cafés. Ma miss a rencontré Carlo dans la douche tout à l’heure. Elle se sentait un peu harcelée par des hommes lourdingues qui voulaient la toucher… Elle a identifié Carlo comme un type cool et respectueux et s’est donc rapprochée de lui, ce qui a eu pour effet de disperser les autres ! C’est assez étonnant et impressionnant de voir comment une femme supposée seule peut être rapidement ennuyée, même dans un club libertin respectueux comme celui-ci.

Puis Carlo s’éclipse et nous restons à deux, je prends ma miss dans mes bras.

Soudain, un groupe hétéroclite d’une dizaine de personnes commence à remonter à l’étage : des femmes seules, des hommes seuls, des travs… Je décide de remonter dans les glory holes pour aller voir s’il y a de l’action. En fait, ils sont tous allés dans le grand coin câlin en L avec des miroirs, où nous nous étions amusés la première fois que nous étions venues au Container en 2012. L’accès est quasiment impossible, il y a trop de monde ! Je suppose que c’est le début d’une partouze tous azimuts mais comme je ne suis pas voyeuse je préfère retourner aux glory holes.

Je prépare mon équipement : un ou deux présos pré-déballés que je mets dans mon soutien-gorge… Pratique les vêtements féminins. Ca zappe encore beaucoup dans les glory holes jusqu’à ce qu’apparaissent un type qui me semble nerveux, brusque… Il s’arrête à l’entrée du couloir, me voit dans l’ombre et se précipite de l’autre côté de la cloison. Il ôte immédiatement sa serviette blanche, ne prend même pas le temps de se masturber en regardant le film de shemales et me présente de suite sa queue déjà en érection dans l’une des fentes !

Je l’examine, la trouve pas spécialement parfumée mais pas trop poilue non plus et pas trop grosse… heureusement, comme nous allons le voir. Je choisis un préso fruité, l’emballe et le prends dans ma bouche. Tout de suite, il se met à donner des coups de boutoir sans discontinuer. Pas utile que je bouge la tête, c’est lui qui fait tout le travail : tantôt il fait des va-et-vient sur un rythme assez frénétique, tantôt il recule jusqu’au bord de mes lèvres, attend, puis me fourre d’un coup toute sa bite dans la bouche en essayant d’aller le plus loin possible. Une fois au fond, il se bloque quelques secondes puis recommence son manège.

Par chance, il n’est pas trop gros ni trop long, mais il me fait suffoquer plusieurs fois à cause du réservoir du préso qui se colle sur ma luette. J’ai des réflexes incontrôlés de déglutition qui me font verser des larmes. Je me dis qu’il ne doit pas souvent se faire sucer par une femme car je pense qu’aucune n’apprécierait vraiment cette façon de faire. J’ai souvent constaté que des hommes avaient en effet des comportements sexuels plus brutaux avec les travs qu’avec les femmes, ça doit faire partie du jeu pour eux…

Nous jouons ainsi un bon moment jusqu’à ce que l’homme se retire et fasse brusquement le tour de la cloison. Je le vois arriver vers moi, il s’arrête à 50 cm… Je le regarde de côté, je me demande ce qu’il va faire : partir vers d’autres aventures ou continuer avec moi ? Je me tourne vers lui, il me regarde sans rien dire, jambes écartées, sexe dur dans sa main droite… le message est clair, il ne va pas partir !

Je me mets donc à genoux sur le sol et je recommence à le sucer Aussitôt il reprend son petit jeu d’avant, mais cette fois en me prenant la tête à deux mains… Gulp ! il me force à lui faire des gorges profondes et je ne profite plus de la cloison pour « gérer » mes respirations… Ca devient parfois un peu difficile, il faut vraiment avoir une envie de soumission pour continuer de jouer ainsi. Des ombres vont et viennent autour de nous, d’autres types s’arrêtent pour nous mater, j’entends les femmes seules hurler d’excitation et de plaisir dans les autres coins câlins…

Finalement, l’homme s’arrête et se retire sans avoir joui. Il recule, me regarde et me remercie… Puis il s’en va. L’un des autres est passé de l’autre côté de la cloison. Quand je me relève, sa queue frétille déjà, bien dure dans la fente centrale. Je m’y colle à nouveau et je la prends dans ma bouche avec un joli préso noir au chocolat. Sa queue est plus épaisse que la précédente et l’homme adopte quasi le même comportement, en moins frénétique toutefois. De nouveau je subis dans ma bouche les assauts de la bite à travers le mur…

Une deuxième bite apparaît à droite mais j’ai aussi une autre suceuse qui est apparue : la trav blonde avec une jolie tenue de soubrette noire et blanche. Elle se met à sucer goulûment la nouvelle venue, je la regarde du coin de l’œil : elle a l’air de savoir y faire. Rapidement l’homme qu’elle suce fait lui aussi le tour de la cloison et la met à genoux pour se faire sucer. Puis il la relève et l’emmène dans une cabine, sans doute pour la sodomiser…

Mon galant s’est mis à s’exciter pour de bon, il donne de furieux coups de hanches contre la cloison qui bouge dangereusement… Finalement, il se retire et fait lui aussi le tour : il arrive devant moi, la bite en érection et cette fois je comprends instantanément le message : je me mets à genoux et le reprends dans ma bouche.

L’homme recommence ses mouvements excités en me tenant la tête lui aussi. Vu le nombre de gorges profondes et de nausées que cela m’a occasionnées depuis tout à l’heure, je me dis que mon maquillage doit être complètement détruit… Finalement l’homme rugit et se bloque au fond de ma gorge : il jouit longuement puis se retire, le préso rempli de crème blanche… Il me remercie et disparaît.

Je me retrouve seule, en vrac… J’essaie de me recoiffer un peu, mon maquillage doit être mort. Je décide de redescendre retrouver ma Caresse. De nouveau, ma descente d’escalier fait le spectacle. Je trouve ma miss allongée sur la grande banquette en cuir noir, dans les bras de Carlo, son protecteur. Le gâteau d’anniversaire est bien arrivé mais il n’en reste déjà presque plus. Je parviens quand même à en saisir une part avant de m’asseoir à côté d’elle.

Ma miss me raconte que les femmes en couples et la petite trav brune très fine ont passé tout leur temps à se trémousser sur la piste de danse depuis mon départ. A un moment, me dit-elle, ils ont passé une chanson humoristique de Kenn’v : « Conte de fées » dont le refrain était :

J'préfère la fée "Lation"
La fée "Lation" c'est ma copine
Et quand elle passe à l'action
Elle me soulage où tu devines

Il commence à se faire tard, nous songeons à rentrer. Mais le patron, nous voyant partir, nous propose un nouveau verre de punch… pour rester encore un peu. Finalement, nous repartons après le punch, il est déjà minuit et demi.

Je reste habillée en fille, avec mes bottes et l’imperméable mais sans le pantalon, les cuisses gainées de résille à l’air. Un épais brouillard est tombé sur Bordeaux, on sent que l’automne arrive… La voiture n’est pas loin, 20 mn après nous sommes rentrées à la maison et nous nous jetons dans notre lit confortable pour un gros dodo reconstituant ! Cette nuit changement d’horaire et demain, grasse matinée !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Nous adorons vos commentaires, alors n’hésitez pas à nous donner votre avis...