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Sur ce blog nous racontons notre vie de libertins. Nos récits parlent de nos sorties et de notre vision du libertinage... Les lieux et endroits sont "améliorés", les repas "enrichis", l'histoire est parfois romancée afin que toute ressemblance avec la réalité ne puisse qu'être fortuite. Bonne lecture.
Caresse et Alpha
On this blog we are unveiling our swinger lifestyle. Our stories tell about our swinger parties and develop our vision of this particular way of life.
Places and meals are sometimes "improved", names are changed and the story itself may be "adapted" or even fully invented...
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Caresse (she) and Alpha (him)

samedi 30 septembre 2017

Un black veut m’épouser !!!


Encore un après-midi qui commence au ralenti. Pourtant il y a pas mal de monde, essentiellement des mecs en plus, ça craque de partout sur les planchers de l’étage. J’entends aussi une voix de femme qui vient du bar, et soudain le pas caractéristique des escarpins d’une trav : ma copine brune, qui apparaît dans les glory holes mais ne fait que passer… sans manquer de m’effleurer de sa douce main tout de même.

Finalement la température va monter assez vite – aurait-il pu en être autrement avec tous ces mecs qui rôdent ? Je me retrouve avec une première queue dans la bouche, pendant un long moment, puis elle se retire quand une autre apparaît dans le trou voisin sur ma gauche. Je la trouve très sombre, j’ai du mal à bien discerner… c’est normal, je m’apercevrai ensuite que c’est la queue d’un black ! En fait, je vais sucer successivement 15 queues dans les glory holes cet après-midi, mais celle-ci, à elle seule reviendra cinq fois me voir ! Je les ai comptées : ce sera la 2ème, la 4ème, la 7ème, la 10ème… et la 15ème fois, pour le bouquet final !

Pour toutes les autres, qui seront des one-shot, pas grand-chose d’original à dire sinon que je les ai trouvées dans l’ensemble plus grosses que la moyenne, à mon grand plaisir. Certaines étaient bien longues et/ou bien épaisses : quel plaisir de les sentir emplir ma bouche, se frayer un chemin vers ma gorge, jusqu’à m’empaler sur toute leur longueur, mes narines enfoncées dans leurs doux poils pubiens… Ah si, tout de même, quelque chose d’étonnant : hormis mon black, aucune ne jouira avec moi, pas même celle qui s’est présentée (la 11ème je crois) directement équipée d’un préso. Je pensais bien arriver à la faire juter pourtant, son propriétaire semblait motivé. Mais non, lui non plus ne m’aspergera pas de son jus. En réalité, j’ai dû en mettre beaucoup en forme, qui ensuite sont allés sodomiser ma copine trav … Elle est en effet revenue me voir vers la fin d’après-midi en me demandant si j’avais eu beaucoup de queues à sucer. Je lui ai retourné la politesse et elle m’a rétorqué : « Oh, moi ce que j’aime surtout, c’est me faire défoncer le cul… » Et apparemment, elle avait encore des étoiles dans les yeux, elle a dû se faire défoncer par 4 ou 5 de mes « mises en bouche » !

Pour l’instant je découvre une grosse queue sombre au goût musqué, légèrement courbée sur sa gauche et dotée d’un gland qui ne cesse de se recalotter. Quand je la serre de mes doigts à la base, le gland reste découvert et je peux lui faire profiter de mes caresses chaudes et humides avec la langue, mais le plus souvent l’homme « reprend la main » pour m’imprimer son mouvement d’avant en arrière et il se charge lui-même de se décalotter. Il me semble assez dominant car il joue avec ma bouche, se retirant presque puis s’enfonçant tout au fond… jusqu’à ce que j’enlève mes mains, me cale contre la fente du mur et maintienne ma bouche ouverte et demandeuse, tel un poisson rouge, au travers du trou. C’est lui, alors, qui décide de me fourrer, à son rythme et jusqu’où bon lui semble.

En me quittant la première fois, et les suivantes aussi, il m’a surpris en me remerciant… et en me caressant gentiment le menton. Je l’ai observé par la fente : c’était donc un black d’une bonne quarantaine ou cinquantaine d’années, bien en chair avec un petit bedon et  une petite barbe bien taillée. Pas trop velu, son pubis était un peu broussailleux mais entretenu et pas trop rêche.

Avec toutes ces queues à sucer, je n’aurai guère le temps de retourner au bar ni au jacuzzi. Un peu avant 18h, je me dis que je partirai au plus tard à 18h15 pour passer faire des courses à la pharmacie avant de rentrer retrouver ma chérie en arrêt de travail. Je remonte une dernière fois, assez repu et sans trop de conviction, dans les glory holes. C’est là qu’apparaît mon numéro 15, que je reconnais de suite. Il est redevenu tout mou le pauvre, je m’échine donc à le remettre en forme, ce qui ne tarde guère. Nous sommes sur la fente du bord droit et je le vois passer le bras en contournant l’arête de la paroi pour me toucher. En fait, il ne veut pas me caresser mais plutôt me saisir la nuque pour me plaquer le visage contre son pubis !

Je n’ai rien contre l’idée mais il faut reconnaître que la cloison est un peu gênante, ce n’est pas pratique pour lui (ni pour moi car j’ai le nez écrasé contre le contreplaqué !). Je me retire et je fais donc le tour pour le retrouver de l’autre côté. Il comprend tout de suite et se retourne pour que je le suce là, comme ça, à genoux devant lui. Mais très vite il me souffle à l’oreille : «  Si on allait dans une cabine ?.... »

Ce sera en effet plus pratique même si le club semble s’être désertifié à cette heure avancée de l’après-midi. Nous nous faufilons vers la petite cabine derrière le « cottage DSK », l’autre à côté avec le ventilo est hélas occupée…

Mon amant black ferme la porte à clef, il veut de l’intimité… Je me remets à le sucer à genoux, il est de nouveau bien gros et bien dur : sa bite est de taille idéale pour m’emplir la bouche sans réellement m’étouffer lorsqu’il se cale tout au fond. Il se met à me titiller les tétons et à parler. Apparemment mes « petits seins » lui plaisent beaucoup, il trouve que j’ai de jolis tétons bien développées et propose de s’allonger sur le matelas haut pour que je m’occupe de lui.

Pendant que je le suce à plat il continue de soupeser mes petits seins dans sa main en coupe, en murmurant que c’est excitant une fille avec un sexe d’homme. Car il a aussi vérifié de ce côté-là, mais sans s’y attarder. A aucun moment il ne me masturbera ni ne me sucera. Il continue de commenter en me disant qu’il est tout à moi, que je peux me lâcher… Puis il me demande si je souhaite qu’il me prenne. Devant mon approbation il me propose de m’asseoir sur lui, toujours allongé. Je l’équipe d’un de nos présos « strong » spécial sodomie, que je lubrifie ainsi que mon orifice anal. Puis je m’accroupis lentement sur sa queue dressée, face à ses pieds.

Ouch ! Je pensais y aller progressivement mais je l’ai senti passer quand même : c’est la première fois depuis bien longtemps que je ressens une telle douleur à me faire sodomiser… Il a dû donner un coup de bassin, je le sens qui va et vient dans mon fondement tandis que je srre les dents en  maintenant mes deux fesses écartées de mes mains. Puis il me dit de bouger mon joli petit cul, de lui montrer que je suis une salope, que j’aime ça… Ce n’est sûrement pas moi qui dirais le contraire !

Il finit par ramollir un peu. Je ressors, croyant qu’il a joui, mais non : il enlève le préso et m’ordonne de recommencer à le sucer. Je le sens redevenir bien dur et volumineux, emplissant toute ma bouche d’une joue à l’autre et de mes lèvres à ma glotte. Puis il se redresse et se met debout, me poussant incliné devant lui. Je prends appui sur mes avant-bras et lui me saisit les hanches, pour aller et venir avec son gros brasquemart tout dur entre mes cuisses glissantes. Il alterne sa prise, de mon bassin aux pointes de mes seins qu’il pinçote doucement. « J’adore tes petits seins, ma salope, tu es toute à moi, il est à moi ce petit cul. On va aller chez moi et je te ferai l’amour toute la nuit, tu es ma chose, ma salope … »

Ce n’est pas  la première fois qu’un homme me demande en mariage, je trouve cela plutôt flatteur… tant que ça reste un jeu ! Quand je suis parti dans un trip de fille comme celui-ci, mon cerveau joue en effet la salope lubrique, la servile qui accepte tout (dans les limites de l’hygiène et de la protection bien sûr) et s’entendre dire qu’on est une fille désirée est particulièrement plaisant.

Mon gros black n’en peut plus, il se réenfile un préso pour revenir dans mon petit trou. Ca passe mieux cette fois, je le sens bien dur qui se fraye un passage entre mes fesses brûlantes (cette température semblait en effet l’émoustiller beaucoup à l’entendre) et me défonce le cul à grands coups de boutoir, tout en continuant à me prendre les seins (des bonnets A) dans ses mains en coupe et à en titiller les pointes. « Tu penses encore les faire grossir ? » me demande-t-il. Je lui réponds que ça ira comme ça…

Nous restons un long moment attelés, moi tortillant des hanches et gémissant de plaisir, lui derrière, ahanant à chaque poussée de son bassin au tréfonds de mon intimité. Mais là encore, il ne jouit pas. Il se retire en me commandant de le sucer à nouveau. « Tu avales le  sperme ? » me demande-t-il. « Ah non » lui dis-je, pas question qu’il jouisse dans ma bouche, mais il peut le faire à l’extérieur  sur mon corps. Comme il commence à être plus que mûr, il me fait cesser mes jeux de langue tout en me maintenant à genoux devant lui de son autre main, et il commence à se masturber vigoureusement sous mes yeux. Je vois son gros gland violet sombre, énorme, au bout se son membre tendu à se rompre. Il vient enfin en râlant de plaisir : son foutre chaud et gluant m’inonde le visage en plusieurs longues coulées que je sens dégouliner sur mes joues, mes lèvres, mon menton, de grosses gouttes venant même s’écraser sur ma poitrine. Puis il frotte longuement son gland contre mes joues, comme pour l’essuyer… Enfin je me relève.

C’est l’heure de la douche. « A tout à l’heure…» me dit-il. Mais moi je dois filer, il est déjà 18h30, je me suis emplafonné d’un quart d’heure !!                                                                                                                                                               



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